22/07/2010
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Re: 22/07/2010
Rappel du premier message :
Merci Bennis & MC pour le doc mais je n'y vois nulle part de mention "masi à +30%" ?!
Merci Bennis & MC pour le doc mais je n'y vois nulle part de mention "masi à +30%" ?!
Aratchouf- V.I.P.
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Re: 22/07/2010
bnjr
rien a cirer je préfère regarder le tour de France que cet joutiya
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Mohamed amine- Nombre de messages : 338
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Re: 22/07/2010
des infos sur nakl-tunis ?
merci
merci
M.C.- Nombre de messages : 14243
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msekkat- Nombre de messages : 109
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Re: 22/07/2010
ATI annonce le « retour de confiance » sur le marché boursier
Après une année 2009 marquée par d'hésitation», les analystes d'Attijari Intermédiation annoncent «le retour de confiance» sur le marché boursier. Pour eux, de rallye haussier qu'a connu le MASI sur les cinq premiers mois de l'année en cours, ne représente que le début d'une réaction positive, durable et structurelle de la part du marché». Le MASI devrait, selon leurs prévisions, toucher la barre des 1 400 points durant le premier trimestre 2001. Mieux, à leur avis, cette reprise du marché boursier est basée sur des fondamentaux solides. Ainsi, du point de vue de l'analyse fondamentale, tous les indicateurs vont dans le sens d'un retour à la confiance qui est essentielle pour l'évolution favorable d'un marché boursier. D'abord, après avoir résister en 2009 avec une croissance de 5,2 %, le Maroc devrait confirmer cette année. Et contrairement à l'exercice précédent, la croissance sera tirée cette année par le secteur non agricole dont le pm devrait se situer au dessus de 4,0 %. Par ailleurs, la demande intérieure demeure dynamique grâce à la baisse opérée sur l'impôt sur le revenu (IR), aux revenus générés par la bonne campagne agricole et la demande publique qui reste vigoureuse avec un volume d'investissement global de 160 milliards de dirhams programmés dans le cadre de la Loi de Finances 2010. Par ailleurs, les indicateurs du secteur industriel sont plutôt rassurants avec un indice de la production industrielle en hausse durant les six derniers mois et un taux d'utilisation des capacités de production se situant au-dessus de la barre des 70 %, selon l'enquête de Bank Al-Maghrib. De même, l'amélioration durating Maroc par les agences de notation avec l'attribution de la notation «Investment Grade» de la part de Standard & Poor's témoigne de la confiance croissante de l'étranger en la qualité de la signature souveraine du Maroc. Ce rating améliore la prime de risque du Royaume et lui permet d'emprunter à un taux plus favorable. Et dans une conjoncture nationale marquée par un «assèchement» des liquidités du secteur bancaire, ce recours devient une nécessité. Toutefois, «il est difficile de sortir actuellement sur le marché international du fait d'une conjoncture compliquée par la situation de la Grèce, de l'Espagne et du Portugal», a laissé entendre M. Abdelaziz Lahlou, Directeur de la Recherche chez Attijari Intermédiation. Cette notation peut également avoir un positif sur le marché boursier. En effet, des investisseurs étrangers qui souhaitent investir dans le marché actions au Maroc seraient amenés à appliquer une prime de risque moins élevée comparée aux années précédentes», expliquent les analystes. Du coup, «en termes d'arbitrage avec d'autres places financières comparables, le Maroc se retrouve aujourd'hui mieux positionné». En plus de l'évolution favorable des indicateurs macro-économiques, le marché boursier devrait bénéficier fortement de l'impact de l'opération stratégique SNI/ONA. Sur le court terme cette opération se traduit par un afflux supplémentaire de liquidités consécutif au retrait des deux holdings de la cote suite aux offres publiques de retrait (OPR). Les analystes estiment qu'environ 30 % à 40 % du montant généré par cette opération seront réinjectés sur le marché, soit 11 milliards de dirhams. Ce qui ne manquera pas de contribuer à la dynamisation du marché-actions. Par ailleurs, l'annonce de la cession du contrôle de certaines entreprises du pôle agroalimentaire (Centrale Laitière, Cosumar et Lesieur) entraînera une augmentation du flottant de ces entreprises en Bourse et donc plus de liquidités pour ces valeurs et, par ricochet, pour le marché. A moyen terme, l’engagement du groupe SNI/ONA à céder régulièrement au marché le contrôle des entreprises ayant atteint leur vitesse de croisière ne manquera pas de dynamiser davantage le marché. Enfin, en termes de placements financiers, la conjoncture est aujourd'hui plutôt favorable à un arbitrage en faveur du support action. Après avoir représenté une alternative à l'investissement boursier sur la période 2006-2008, le placement immobilier a beaucoup perdu de son attrait depuis 2009 suite à la flambée des prix et à la crise qui s'en est suivie. Aujourd'hui, cette classe d'actif ne semble plus offrir un potentiel de hausse intéressant et le financement bancaire devenu beaucoup plus difficile. Conséquence, et partant du fait que les autres véhicules de placement n'offrent pas de rendement meilleur, l'arbitrage en termes de placement devrait logiquement favoriser davantage le marché actions. Toutefois, au niveau international, l’attrait e la place Casablancaise reste biaisé par la faible représentativité du Maroc au sein de l’indice MSCI Maroc. En effet, après le reclassement de BMCE Bank et de la CGI en 2009. 2010 va voir la sortie de la holding ONA après sa radiation à la Bourse de Casablanca en août prochain ramenant le portefeuille MSCI Maroc à seulement trois valeurs :Maroc Telecom, Attijariwafa bank et Addoha. C'est dire que la place casablancaise est sous représentée au sein des marchés financiers émergents. Or, la plupart des investisseurs étrangers ne portent leurs intérêts que sur les valeurs de l'indice MSCI Maroc qui globalement offrent des niveaux de valorisation et de liquidité corrects. Dans ce cadre, il est très probable que l'organisme MSCI Barra réintègre de nouvelles valeurs marocaines dans le portefeuille MSCI Maroc et suscite ainsi plus d'intérêt pour le marché marocain. Pour Abdelaziz Lahlou. « Lafarge Ciments, la BCP, la Sonasid et Delta Holding figurent parmi les meilleurs profils pour intégrer l’indice MSCI Maroc ».
(Source : La Nouvelle Tribune)
Après une année 2009 marquée par d'hésitation», les analystes d'Attijari Intermédiation annoncent «le retour de confiance» sur le marché boursier. Pour eux, de rallye haussier qu'a connu le MASI sur les cinq premiers mois de l'année en cours, ne représente que le début d'une réaction positive, durable et structurelle de la part du marché». Le MASI devrait, selon leurs prévisions, toucher la barre des 1 400 points durant le premier trimestre 2001. Mieux, à leur avis, cette reprise du marché boursier est basée sur des fondamentaux solides. Ainsi, du point de vue de l'analyse fondamentale, tous les indicateurs vont dans le sens d'un retour à la confiance qui est essentielle pour l'évolution favorable d'un marché boursier. D'abord, après avoir résister en 2009 avec une croissance de 5,2 %, le Maroc devrait confirmer cette année. Et contrairement à l'exercice précédent, la croissance sera tirée cette année par le secteur non agricole dont le pm devrait se situer au dessus de 4,0 %. Par ailleurs, la demande intérieure demeure dynamique grâce à la baisse opérée sur l'impôt sur le revenu (IR), aux revenus générés par la bonne campagne agricole et la demande publique qui reste vigoureuse avec un volume d'investissement global de 160 milliards de dirhams programmés dans le cadre de la Loi de Finances 2010. Par ailleurs, les indicateurs du secteur industriel sont plutôt rassurants avec un indice de la production industrielle en hausse durant les six derniers mois et un taux d'utilisation des capacités de production se situant au-dessus de la barre des 70 %, selon l'enquête de Bank Al-Maghrib. De même, l'amélioration durating Maroc par les agences de notation avec l'attribution de la notation «Investment Grade» de la part de Standard & Poor's témoigne de la confiance croissante de l'étranger en la qualité de la signature souveraine du Maroc. Ce rating améliore la prime de risque du Royaume et lui permet d'emprunter à un taux plus favorable. Et dans une conjoncture nationale marquée par un «assèchement» des liquidités du secteur bancaire, ce recours devient une nécessité. Toutefois, «il est difficile de sortir actuellement sur le marché international du fait d'une conjoncture compliquée par la situation de la Grèce, de l'Espagne et du Portugal», a laissé entendre M. Abdelaziz Lahlou, Directeur de la Recherche chez Attijari Intermédiation. Cette notation peut également avoir un positif sur le marché boursier. En effet, des investisseurs étrangers qui souhaitent investir dans le marché actions au Maroc seraient amenés à appliquer une prime de risque moins élevée comparée aux années précédentes», expliquent les analystes. Du coup, «en termes d'arbitrage avec d'autres places financières comparables, le Maroc se retrouve aujourd'hui mieux positionné». En plus de l'évolution favorable des indicateurs macro-économiques, le marché boursier devrait bénéficier fortement de l'impact de l'opération stratégique SNI/ONA. Sur le court terme cette opération se traduit par un afflux supplémentaire de liquidités consécutif au retrait des deux holdings de la cote suite aux offres publiques de retrait (OPR). Les analystes estiment qu'environ 30 % à 40 % du montant généré par cette opération seront réinjectés sur le marché, soit 11 milliards de dirhams. Ce qui ne manquera pas de contribuer à la dynamisation du marché-actions. Par ailleurs, l'annonce de la cession du contrôle de certaines entreprises du pôle agroalimentaire (Centrale Laitière, Cosumar et Lesieur) entraînera une augmentation du flottant de ces entreprises en Bourse et donc plus de liquidités pour ces valeurs et, par ricochet, pour le marché. A moyen terme, l’engagement du groupe SNI/ONA à céder régulièrement au marché le contrôle des entreprises ayant atteint leur vitesse de croisière ne manquera pas de dynamiser davantage le marché. Enfin, en termes de placements financiers, la conjoncture est aujourd'hui plutôt favorable à un arbitrage en faveur du support action. Après avoir représenté une alternative à l'investissement boursier sur la période 2006-2008, le placement immobilier a beaucoup perdu de son attrait depuis 2009 suite à la flambée des prix et à la crise qui s'en est suivie. Aujourd'hui, cette classe d'actif ne semble plus offrir un potentiel de hausse intéressant et le financement bancaire devenu beaucoup plus difficile. Conséquence, et partant du fait que les autres véhicules de placement n'offrent pas de rendement meilleur, l'arbitrage en termes de placement devrait logiquement favoriser davantage le marché actions. Toutefois, au niveau international, l’attrait e la place Casablancaise reste biaisé par la faible représentativité du Maroc au sein de l’indice MSCI Maroc. En effet, après le reclassement de BMCE Bank et de la CGI en 2009. 2010 va voir la sortie de la holding ONA après sa radiation à la Bourse de Casablanca en août prochain ramenant le portefeuille MSCI Maroc à seulement trois valeurs :Maroc Telecom, Attijariwafa bank et Addoha. C'est dire que la place casablancaise est sous représentée au sein des marchés financiers émergents. Or, la plupart des investisseurs étrangers ne portent leurs intérêts que sur les valeurs de l'indice MSCI Maroc qui globalement offrent des niveaux de valorisation et de liquidité corrects. Dans ce cadre, il est très probable que l'organisme MSCI Barra réintègre de nouvelles valeurs marocaines dans le portefeuille MSCI Maroc et suscite ainsi plus d'intérêt pour le marché marocain. Pour Abdelaziz Lahlou. « Lafarge Ciments, la BCP, la Sonasid et Delta Holding figurent parmi les meilleurs profils pour intégrer l’indice MSCI Maroc ».
(Source : La Nouvelle Tribune)
adil79- Nombre de messages : 1634
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Re: 22/07/2010
Bamoulay a écrit:M.C. a écrit:
wb aussi dispose d'un service tel.
pour le co détaillé, à quoi il sert maintenant ?
par contre DT offre des fonctions pour la saisie des ordres cachés, revolving... et prochainement un logiciel performant..
ceci n'empeche pas qu'ils restent trop cher et leur service (accueuil et service aux clients) minable.
Non pour le tel je parle de l'accès via wap ou web pour les PDA.
C'est pratique quand on est en voyage ou en déplacement.
Pour WB les infos s'affichent mais impossible de passer les ordres.
Je parle en connaissance de cause.
si vs permeetter mon avis modeste;
ce qui importe se sont les commissions et le service, personnelement jai quitter dartawfir car je trouve qu'ils etaient chere que ça soit en commision ou en frais en ligne, 2 eme chose c qu"il nont pas de service clientel a la hauuteur sauf pr les VIP ( 5M de dhs)
je trouve insensé de faire payer les gens un abonnement + un surplus de transaction sinon tu paie une franchise de 150 dh en plus (250 dh au total)
en ce qui concerne lacces pda! maintenant les smartphones sont equipé de vrai browser capable dafficher tte la page! au lieu de payer ses frai supplementaire tu te procupre un bon telephone wifi + 3G et tu rentre ds tes frai des la premiere année.
pour info, integra facture lacces en ligne a 55 dh TTC par moi.
Re: 22/07/2010
Je crois qu'elle ne traite pas, elle est RBM.C. a écrit:des infos sur nakl-tunis ?
merci
CTO 10.70 DT
lamdaouar- Nombre de messages : 307
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Re: 22/07/2010
| 56 | 64 753 | Max. | Mar. | 433 222 | 4 018 | |
| 3 | 460 | Ouv. | Ouv. | 9 173 | 41 | |
25 | 118 | 199 676 | 10,70 | 14,70 | 458 | 1 | |
| | | | 14,80 | 194 | 4 | |
| | | | 14,90 | 2 800 | 5 | |
lamdaouar- Nombre de messages : 307
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Re: 22/07/2010
Tour de vis pour les rachats d’actions
Le ton est donné. Annoncé depuis quelques mois, le durcissement de la réglementation autour de ces opérations de rachat d'action se confirme. Suite à l'adoption par le conseil du gouvernement, en mai dernier, d'un projet de décret fixant les nouvelles conditions dans lesquelles peuvent s'effectuer les rachats d'actions en Bourse, le Premier ministre vient de publier dans le dernier bulletin officiel un nouveau texte devant servir de base à la nouvelle réglementation. Un signe de plus que le lancement par le CDVM de la nouvelle circulaire régissant ces opérations est plus que jamais proche. D'ailleurs, on murmure dans les couloirs du gendarme du marché que celle-ci serait prête depuis plusieurs semaines et serait incessamment mise en consultation, comme le veut la tradition, auprès du public et des professionnels. Concrètement, le législateur a introduit dans le décret l'obligation pour les sociétés cotées de confier l'exécution de leurs programmes de rachat d'actions à une seule société de Bourse. Les autres amendements concernent, entre autres, l’obligation de publication de la note d’information relative au programme, et incitent la société gestionnaire de la Bourse de Casablanca à informer le CDVM de tout agissement entravant le bon fonctionnement du marché. Ces points, bien que communément admis (le CDVM régissant ces volets dans son ancienne circulaire), étaient en effet négligés dans l'ancienne version du texte de loi, ce dernier datant de 2003: Cependant, ce dispositif réglementaire ne précise toujours pas les modalités d'intervention des entreprises cotées et des sociétés de Bourse qu'elles mandatent sur leurs propres titres, ce qui induit la nécessité de le compléter par la circulaire du CDVM. Celle-ci devrait ainsi, selon des professionnels, «délimiter la période d'intervention des programmes de rachat». Il s'agit en fait d'interdire l'exécution de ces programmes pendant la période de formation des cours de clôture, notamment pour les sociétés dont les actions sont cotées en continu. Cette mesure devrait ainsi empêcher que les sociétés interviennent pour orienter les cours de leurs titres à la hausse en se positionnant à l'achat à la clôture des séances. «La trésorerie réservée au programme de rachat devrait également être mise sous la loupe pour les sociétés dont la situation financière affiche un endettement important», ajoute un gestionnaire d'une société de Bourse de la place. Dans le même sens, les volumes de transaction pour chaque société devraient être limités à des niveaux raisonnables pour que ces opérations ne faussent pas la tendance du marché. Il faut dire que «les interventions massives de certaines entreprises dans le cadre de leur programmes de rachat d'actions, comme cela a été le cas en 2008, peuvent amener une réduction du flottant en Bourse», explique la même source. Dans ce contexte, la liquidité des titres s'en trouve forcément influencée, notamment quand il s'agit d'exécuter les programmes de rachat d'actions à des fins autres que celles de régulariser le cours de l'action et de ne pas réinjecter les titres rachetés dans le circuit boursier. En effet, dans certains cas, le rachat d'actions devient un outil stratégique. Cela a notamment été le cas en début d'année pour BMCE Bank. À cette époque, la banque bleue avait utilisé les 8 millions de titres rachetés sur le marché afin de conclure son méga deal stratégique avec la CDG. Après la publication de la nouvelle circulaire, ce genre de pratique ne serait plus toléré, puisque le CDVM prévoit d'interdire l'exécution des programmes de rachat sur le marché de blocs. Par ailleurs, d'autres volets seraient également à l'ordre du jour dans la nouvelle circulaire et concerneraient notamment la réglementation des prix d'intervention par les cours sur le marché. C’est dire que le marché boursier est en phase de se doter, enfin, d’une réglementation adéquate pour les programmes de rachat d’actions. Cependant, une fois officialisée, le CDVM aura-t-il les moyens de sanctionner ceux qui vont l'entraver? Rien n'est moins sûr, puisque la sanction n'a, historiquement, pas été le point fort du gendarme de la Bourse. (Source : LES ECHOS)
Le ton est donné. Annoncé depuis quelques mois, le durcissement de la réglementation autour de ces opérations de rachat d'action se confirme. Suite à l'adoption par le conseil du gouvernement, en mai dernier, d'un projet de décret fixant les nouvelles conditions dans lesquelles peuvent s'effectuer les rachats d'actions en Bourse, le Premier ministre vient de publier dans le dernier bulletin officiel un nouveau texte devant servir de base à la nouvelle réglementation. Un signe de plus que le lancement par le CDVM de la nouvelle circulaire régissant ces opérations est plus que jamais proche. D'ailleurs, on murmure dans les couloirs du gendarme du marché que celle-ci serait prête depuis plusieurs semaines et serait incessamment mise en consultation, comme le veut la tradition, auprès du public et des professionnels. Concrètement, le législateur a introduit dans le décret l'obligation pour les sociétés cotées de confier l'exécution de leurs programmes de rachat d'actions à une seule société de Bourse. Les autres amendements concernent, entre autres, l’obligation de publication de la note d’information relative au programme, et incitent la société gestionnaire de la Bourse de Casablanca à informer le CDVM de tout agissement entravant le bon fonctionnement du marché. Ces points, bien que communément admis (le CDVM régissant ces volets dans son ancienne circulaire), étaient en effet négligés dans l'ancienne version du texte de loi, ce dernier datant de 2003: Cependant, ce dispositif réglementaire ne précise toujours pas les modalités d'intervention des entreprises cotées et des sociétés de Bourse qu'elles mandatent sur leurs propres titres, ce qui induit la nécessité de le compléter par la circulaire du CDVM. Celle-ci devrait ainsi, selon des professionnels, «délimiter la période d'intervention des programmes de rachat». Il s'agit en fait d'interdire l'exécution de ces programmes pendant la période de formation des cours de clôture, notamment pour les sociétés dont les actions sont cotées en continu. Cette mesure devrait ainsi empêcher que les sociétés interviennent pour orienter les cours de leurs titres à la hausse en se positionnant à l'achat à la clôture des séances. «La trésorerie réservée au programme de rachat devrait également être mise sous la loupe pour les sociétés dont la situation financière affiche un endettement important», ajoute un gestionnaire d'une société de Bourse de la place. Dans le même sens, les volumes de transaction pour chaque société devraient être limités à des niveaux raisonnables pour que ces opérations ne faussent pas la tendance du marché. Il faut dire que «les interventions massives de certaines entreprises dans le cadre de leur programmes de rachat d'actions, comme cela a été le cas en 2008, peuvent amener une réduction du flottant en Bourse», explique la même source. Dans ce contexte, la liquidité des titres s'en trouve forcément influencée, notamment quand il s'agit d'exécuter les programmes de rachat d'actions à des fins autres que celles de régulariser le cours de l'action et de ne pas réinjecter les titres rachetés dans le circuit boursier. En effet, dans certains cas, le rachat d'actions devient un outil stratégique. Cela a notamment été le cas en début d'année pour BMCE Bank. À cette époque, la banque bleue avait utilisé les 8 millions de titres rachetés sur le marché afin de conclure son méga deal stratégique avec la CDG. Après la publication de la nouvelle circulaire, ce genre de pratique ne serait plus toléré, puisque le CDVM prévoit d'interdire l'exécution des programmes de rachat sur le marché de blocs. Par ailleurs, d'autres volets seraient également à l'ordre du jour dans la nouvelle circulaire et concerneraient notamment la réglementation des prix d'intervention par les cours sur le marché. C’est dire que le marché boursier est en phase de se doter, enfin, d’une réglementation adéquate pour les programmes de rachat d’actions. Cependant, une fois officialisée, le CDVM aura-t-il les moyens de sanctionner ceux qui vont l'entraver? Rien n'est moins sûr, puisque la sanction n'a, historiquement, pas été le point fort du gendarme de la Bourse. (Source : LES ECHOS)
adil79- Nombre de messages : 1634
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Re: 22/07/2010
bennis.karim a écrit:Bamoulay a écrit:M.C. a écrit:
wb aussi dispose d'un service tel.
pour le co détaillé, à quoi il sert maintenant ?
par contre DT offre des fonctions pour la saisie des ordres cachés, revolving... et prochainement un logiciel performant..
ceci n'empeche pas qu'ils restent trop cher et leur service (accueuil et service aux clients) minable.
Non pour le tel je parle de l'accès via wap ou web pour les PDA.
C'est pratique quand on est en voyage ou en déplacement.
Pour WB les infos s'affichent mais impossible de passer les ordres.
Je parle en connaissance de cause.
si vs permeetter mon avis modeste;
ce qui importe se sont les commissions et le service, personnelement jai quitter dartawfir car je trouve qu'ils etaient chere que ça soit en commision ou en frais en ligne, 2 eme chose c qu"il nont pas de service clientel a la hauuteur sauf pr les VIP ( 5M de dhs)
je trouve insensé de faire payer les gens un abonnement + un surplus de transaction sinon tu paie une franchise de 150 dh en plus (250 dh au total)
en ce qui concerne lacces pda! maintenant les smartphones sont equipé de vrai browser capable dafficher tte la page! au lieu de payer ses frai supplementaire tu te procupre un bon telephone wifi + 3G et tu rentre ds tes frai des la premiere année.
pour info, integra facture lacces en ligne a 55 dh TTC par moi.
Pour les com t'as pas tort mais tout est négociable. Par contre, une petite précision, pour l'histoire du PDA il faut bien que le site soit adapté au navigateur du mobile (opera mobile ou IE mobile).
Pour Info, j'ai un smartphone équipé de windows mobile et des 2 navigateurs web mobile mais aucun ne permet de faire des transactions sur WB.
Les navigateur mobiles ont des fonctionnalités réstraintes, certaines applets ne peuvent pas s'y executer.
Bamoulay- Nombre de messages : 359
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messi- Nombre de messages : 102
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Re: 22/07/2010
CIH est au plus bas depuis +2ans!! l'effet de larticle economiste a donné ses fruit!!! quelle presse de merde!
Re: 22/07/2010
je pense à 315 c'est un bon cours d'entréebennis.karim a écrit:CIH est au plus bas depuis +2ans!! l'effet de larticle economiste a donné ses fruit!!! quelle presse de merde!
spootnik- Modérateur
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Re: 22/07/2010
Bamoulay a écrit:bennis.karim a écrit:Bamoulay a écrit:M.C. a écrit:
wb aussi dispose d'un service tel.
pour le co détaillé, à quoi il sert maintenant ?
par contre DT offre des fonctions pour la saisie des ordres cachés, revolving... et prochainement un logiciel performant..
ceci n'empeche pas qu'ils restent trop cher et leur service (accueuil et service aux clients) minable.
Non pour le tel je parle de l'accès via wap ou web pour les PDA.
C'est pratique quand on est en voyage ou en déplacement.
Pour WB les infos s'affichent mais impossible de passer les ordres.
Je parle en connaissance de cause.
si vs permeetter mon avis modeste;
ce qui importe se sont les commissions et le service, personnelement jai quitter dartawfir car je trouve qu'ils etaient chere que ça soit en commision ou en frais en ligne, 2 eme chose c qu"il nont pas de service clientel a la hauuteur sauf pr les VIP ( 5M de dhs)
je trouve insensé de faire payer les gens un abonnement + un surplus de transaction sinon tu paie une franchise de 150 dh en plus (250 dh au total)
en ce qui concerne lacces pda! maintenant les smartphones sont equipé de vrai browser capable dafficher tte la page! au lieu de payer ses frai supplementaire tu te procupre un bon telephone wifi + 3G et tu rentre ds tes frai des la premiere année.
pour info, integra facture lacces en ligne a 55 dh TTC par moi.
Pour les com t'as pas tort mais tout est négociable. Par contre, une petite précision, pour l'histoire du PDA il faut bien que le site soit adapté au navigateur du mobile (opera mobile ou IE mobile).
Pour Info, j'ai un smartphone équipé de windows mobile et des 2 navigateurs web mobile mais aucun ne permet de faire des transactions sur WB.
Les navigateur mobiles ont des fonctionnalités réstraintes, certaines applets ne peuvent pas s'y executer.
avec un nokia tu as plus de 5 navigateur! et meme le navigateur integré te permet de tout faire.
la prochaine fois opte soit pour un nokia soit un soft equipé d'android (htc ou samsung ou lg) mais surtout evite celui avec windowsCe.
pour ton cas, essai de modifier les parametres du browser, normalement tu devra trouver: "vue mobile" que tu doi decoché.
sinon je te recommande opéra mobile et pa le opera mini:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Re: 22/07/2010
pour ADH je pense qu'on a fait baisser le cours, on a provoqué les vendeurs de DPS. on leur a même offert un bonus hier à +5% pour s'assurer qu'ils vont vendre. racasié, on fait flamber maintenant le cours...
je sais pas qu'en pensez vous?
je sais pas qu'en pensez vous?
spootnik- Modérateur
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Re: 22/07/2010
bennis.karim a écrit:Bamoulay a écrit:bennis.karim a écrit:Bamoulay a écrit:M.C. a écrit:
wb aussi dispose d'un service tel.
pour le co détaillé, à quoi il sert maintenant ?
par contre DT offre des fonctions pour la saisie des ordres cachés, revolving... et prochainement un logiciel performant..
ceci n'empeche pas qu'ils restent trop cher et leur service (accueuil et service aux clients) minable.
Non pour le tel je parle de l'accès via wap ou web pour les PDA.
C'est pratique quand on est en voyage ou en déplacement.
Pour WB les infos s'affichent mais impossible de passer les ordres.
Je parle en connaissance de cause.
si vs permeetter mon avis modeste;
ce qui importe se sont les commissions et le service, personnelement jai quitter dartawfir car je trouve qu'ils etaient chere que ça soit en commision ou en frais en ligne, 2 eme chose c qu"il nont pas de service clientel a la hauuteur sauf pr les VIP ( 5M de dhs)
je trouve insensé de faire payer les gens un abonnement + un surplus de transaction sinon tu paie une franchise de 150 dh en plus (250 dh au total)
en ce qui concerne lacces pda! maintenant les smartphones sont equipé de vrai browser capable dafficher tte la page! au lieu de payer ses frai supplementaire tu te procupre un bon telephone wifi + 3G et tu rentre ds tes frai des la premiere année.
pour info, integra facture lacces en ligne a 55 dh TTC par moi.
Pour les com t'as pas tort mais tout est négociable. Par contre, une petite précision, pour l'histoire du PDA il faut bien que le site soit adapté au navigateur du mobile (opera mobile ou IE mobile).
Pour Info, j'ai un smartphone équipé de windows mobile et des 2 navigateurs web mobile mais aucun ne permet de faire des transactions sur WB.
Les navigateur mobiles ont des fonctionnalités réstraintes, certaines applets ne peuvent pas s'y executer.
avec un nokia tu as plus de 5 navigateur! et meme le navigateur integré te permet de tout faire.
la prochaine fois opte soit pour un nokia soit un soft equipé d'android (htc ou samsung ou lg) mais surtout evite celui avec windowsCe.
pour ton cas, essai de modifier les parametres du browser, normalement tu devra trouver: "vue mobile" que tu doi decoché.
sinon je te recommande opéra mobile et pa le opera mini:
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Mon SE XPERIA est équipé d'origine d'IE et d'Opera Mobile. IE permet l'accès au cpte sans accéder au CO et Opéra ne marche pas!!
En fait, je ne vois nulle part l'option "vue mobile" dont tu parle.
Bamoulay- Nombre de messages : 359
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Re: 22/07/2010
spootnik a écrit:pour ADH je pense qu'on a fait baisser le cours, on a provoqué les vendeurs de DPS. on leur a même offert un bonus hier à +5% pour s'assurer qu'ils vont vendre. racasié, on fait flamber maintenant le cours...
je sais pas qu'en pensez vous?
ou est ce que tu vois un flambage?
l'operation de souscription a ADH ne devient interessante qu'au dela d'un cours a 120 et encore! pas vraiment si on compte le temps et l immobilisation supplementaire d'argent.
Moi personnellement je ne souscrirais que si ADH est au dela de 125 et pourtant j ai 550 DS, sinon je me contenterai de les vendre
doukka- Nombre de messages : 126
Age : 59
Localisation : rabat
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: 22/07/2010
Bamoulay a écrit:Mon SE XPERIA est équipé d'origine d'IE et d'Opera Mobile. IE permet l'accès au cpte sans accéder au CO et Opéra ne marche pas!!
En fait, je ne vois nulle part l'option "vue mobile" dont tu parle.
Excusez l'hors sujet :
Android 2.1 ne permet pas d'executer les applets java, il faut avoir android 2.2 (froyo)
Je viens d'acheter le nouveau Samsung galaxy S (ecran 4 pouces) et pour lequel j'attends le froyo qui ne sera disponible qu'à la fin aout pour le marché européen.
Autrement, très belle bête pour ceux que ça peut intéresser...
Aratchouf- V.I.P.
- Nombre de messages : 1633
Age : 62
Localisation : Face à mon ecran
Date d'inscription : 11/02/2009
Re: 22/07/2010
spootnik a écrit:je pense à 315 c'est un bon cours d'entréebennis.karim a écrit:CIH est au plus bas depuis +2ans!! l'effet de larticle economiste a donné ses fruit!!! quelle presse de merde!
difficile de savoir !
ceux qui ont acahté entre 332 et 320 ont aussi pensé la même chose.
il faut que masi se rattrape sinon.....fchchchchch
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: 22/07/2010
Salam;
Quelle bourse: CIH 315; DIC 105 ATL 83....
Oua rbhna bkri!!
Quelle bourse: CIH 315; DIC 105 ATL 83....
Oua rbhna bkri!!
fouad- Nombre de messages : 489
Age : 43
Localisation : Rabat
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: 22/07/2010
enfin la bvc corrige pour de bon pourvu que cela dure pour le bien de tout le monde car une bourse tres chere est nefaste
Invité- Invité
Re: 22/07/2010
je trouve impoli de la part de l admin de maintenir ce SIC pour moi.incroyable et enfantin
Invité- Invité
Re: 22/07/2010
ENNAKL GHADI TWELI 2 DRAHEM F TUNIS !!!!
valultra- Nombre de messages : 4933
Age : 42
Localisation : fés
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: 22/07/2010
un renversement de la tendance de ENNAKL n'est pas à écarter!!
fouad- Nombre de messages : 489
Age : 43
Localisation : Rabat
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: 22/07/2010
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]Rappelons une affaire ayant récemment éclatée, voilà qu’un intrus profite de l’occasion qui lui a été donnée, pour ouvrir le feu sur les capacités des compétences comptables tunisiennes, devant un auditoire de près d’un millier de personne, composé essentiellement de financiers, d’experts comptables, d’hommes d’affaires et de journalistes et ce lors du séminaire organisé au siège de l’UTICA sous thème « Les Nouvelles Mesures en Faveur de la Restructuration Financière des PME ».
Ce marocain installé en Tunisie, est un conseiller financier. Il a eu le courage de critiquer ouvertement les services fournis par les professionnels comptables tunisiens en étoffant que « Les Cabinets comptables ne maîtrisent pas l’outil pour pouvoir conseiller les entreprises tunisiennes », les qualifiant « de mauvais conseillers ». Selon lui, le constat puise ses sources dans le fait que « ces professionnels obligent les investisseurs à partager la totalité des bénéfices réalisés par les entreprises qui ont adhéré au projet de mise à niveau ». Et cet expert de continuer « cette situation risque de fragiliser les fonds propres des entreprises, alors que la décision de partage des dividendes est une décision souveraine des associés et des assemblés associés, et n’est nullement une décision comptable ». Encore une fois, voilà qu’un intrus s’acharne encore sur des compétences tunisiennes, nuisant ainsi à l’image de marque de tout le corps des professionnels en comptabilité tunisien
MAGAZINE TUNISIEN
Ce marocain installé en Tunisie, est un conseiller financier. Il a eu le courage de critiquer ouvertement les services fournis par les professionnels comptables tunisiens en étoffant que « Les Cabinets comptables ne maîtrisent pas l’outil pour pouvoir conseiller les entreprises tunisiennes », les qualifiant « de mauvais conseillers ». Selon lui, le constat puise ses sources dans le fait que « ces professionnels obligent les investisseurs à partager la totalité des bénéfices réalisés par les entreprises qui ont adhéré au projet de mise à niveau ». Et cet expert de continuer « cette situation risque de fragiliser les fonds propres des entreprises, alors que la décision de partage des dividendes est une décision souveraine des associés et des assemblés associés, et n’est nullement une décision comptable ». Encore une fois, voilà qu’un intrus s’acharne encore sur des compétences tunisiennes, nuisant ainsi à l’image de marque de tout le corps des professionnels en comptabilité tunisien
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