MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
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MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
Rappel du premier message :
Salam,
Execellente journée à toutes et à tous.
J'ai rencontré des retraités et d'autres professionnels encore en activité, je dois vous dire que l'unanimité est faite qu'on est uniquement en période de reprise technique, on dirait que les 7500 sont attendus par tous!.
Ignorer tous ces avis découlerait de la parano,donc je vous invite à prévoir et à déclencher le plan B à la moindre alerte, même si je reste optimiste et non convaincu du mode de raisonnement qui a conduit à cette conclusion.Le prophète que la prière et le salut soient sur lui , n'a-t-il pas dit" ma ijtamaâte oummati âala dhalalah"
Il ne faut jamais nager contre le courant (et seul!!) ,donc je vous rappelle à la prudence.Certes ADH pourrait nous donner des moments heureux inchaallah,IAM pourrait aussi se réveiller , mais il faut garder à l'esprit que nous évoluons en terrain miné.
CAC40 ce matin était au vert et appuie toujours mon euphorie (extrème?), je reste tout de même optimiste pour les 11600, après qui vivra verra.
La suite dans peu de temps inchaallah.
Salam,
Execellente journée à toutes et à tous.
J'ai rencontré des retraités et d'autres professionnels encore en activité, je dois vous dire que l'unanimité est faite qu'on est uniquement en période de reprise technique, on dirait que les 7500 sont attendus par tous!.
Ignorer tous ces avis découlerait de la parano,donc je vous invite à prévoir et à déclencher le plan B à la moindre alerte, même si je reste optimiste et non convaincu du mode de raisonnement qui a conduit à cette conclusion.Le prophète que la prière et le salut soient sur lui , n'a-t-il pas dit" ma ijtamaâte oummati âala dhalalah"
Il ne faut jamais nager contre le courant (et seul!!) ,donc je vous rappelle à la prudence.Certes ADH pourrait nous donner des moments heureux inchaallah,IAM pourrait aussi se réveiller , mais il faut garder à l'esprit que nous évoluons en terrain miné.
CAC40 ce matin était au vert et appuie toujours mon euphorie (extrème?), je reste tout de même optimiste pour les 11600, après qui vivra verra.
La suite dans peu de temps inchaallah.
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
Salut tout le monde
Je commence à m'interesser à la bourse que derniérement.
Je voulais juste votre avis par rapport à ADH
est il toujours favorable d'acheter ou non?
merci pour votre réponse
Je commence à m'interesser à la bourse que derniérement.
Je voulais juste votre avis par rapport à ADH
est il toujours favorable d'acheter ou non?
merci pour votre réponse
zemmour redouane- Nombre de messages : 11
Date d'inscription : 02/03/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
Bourse : sur quoi se baser, l’analyse fondamentale ou graphique ?
Contradiction
: marché boursier à fort potentiel, selon l’analyse fondamentale,
baisse jusqu’à 47% d’ici fin 2010, d’après l’analyse graphique.
L’approche fondamentale est à privilégier pour
le moyen et le long terme.
L’analyse graphique pour le choix du timing, celle économique pour le choix des valeurs.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Mars 2007. Fort d’une succession d’effets d’annonce, le raffineur coté
à la Bourse de Casablanca, Samir, s’octroie les faveurs des analystes
financiers. Ces derniers, séduits par les fondamentaux du titre, le
recommandent unanimement à l’achat avec un cours cible de 1 800 DH. Un
peu moins de deux ans plus tard, la conjoncture aura démenti leurs
prédictions. En date du lundi 16 févier 2009, l’action Samir cotait 644
DH. Depuis l’émission de la recommandation à l’achat, la valeur n’aura
en fait jamais pu dépasser la barre des 1 000 DH. Triste pour certains
investisseurs… Mais ce n’est pas faute d’avoir été averti. Le même mars
2007, s’appuyant sur la psychologie du marché qui ressort des
graphiques d’évolution des cours, les tenants de l’analyse technique
contredisaient les recommandations à l’achat et appelaient tout au
contraire à liquider ses positions sur l’action Samir.
Quelques mois plus tard, en décembre 2007, les adeptes de cette
approche frappaient encore plus fort en avertissant du retournement
prochain du marché. S’inscrivant jusque-là à la hausse, le Masi devrait
connaître, selon leurs prévisions, un retournement lorsqu’il
atteindrait le plafond des 15 000 points. La prophétie se réalisera à
14 954 points le 13 mars 2008, date reconnue actuellement comme point
de départ du cycle baissier qui plombe à ce jour le marché boursier.
Pour longtemps, les signaux de baisse durable identifiés par les
analystes techniques n’étaient interprétés dans le camp des
fondamentalistes que comme une mauvaise passe pour le marché, la Bourse
étant caractérisée après tout par «de bons fondamentaux».
Aujourd’hui même, les deux camps, adeptes de l’analyse graphique et
inconditionnels de l’approche fondamentale, n’ont toujours pas unifié
leur discours. Pour les seconds, bien que la croissance de la capacité
bénéficiaire des sociétés cotées connaisse un tassement au titre de
2008, le marché reste correctement valorisé et n’est plus dans une
situation de cherté globale. De fait, son attractivité et son potentiel
de croissance ne font aucun doute.
L’analyse technique déduit à quel moment la dynamique des prix va changer
S’agissant des pronostics du camp technique (analyse graphique), Adnane
Cherkaoui, responsable du département Analyse Technique à TPS Fin, fait
savoir que «le Masi est actuellement capturé par le seuil des 9 400
points, mais s’il parvient à dépasser les 10 200 points, ce qui est en
train de se négocier, on peut espérer le voir augmenter jusqu’à 10 600
points». Les effets d’anticipation des résultats annuels justifieraient
en l’occurrence cette embellie. Pour autant, à plus long terme, c’est
bien de baisse qu’il s’agira. Celle-ci ferait dégringoler le Masi
jusqu’à 5 500 points (soit près de 47% de baisse par rapport à son
niveau de 10 345 points observé le 16 mars) et devrait être consommée
d’ici fin 2010.
C’est donc le règne de la divergence. «Les cas où les investisseurs
sont confrontés à des avis contradictoires émis sur la base d’analyses
techniques ou fondamentales ne manquent pas», soulève Kamal Bennani,
directeur commercial d’Orange Asset Management. Pourquoi les deux
méthodes ne s’accordent-elles pas ? Comment arbitrer entre leurs
conclusions respectives ?
Si elles divergent, c’est qu’à la base les deux approches adoptent des
démarches différentes. «Elles préconisent des processus de décisions
d’investissement bien distincts», résume Adnane Cherkaoui.
Les «fondamentalistes» s’attachent à connaître l’environnement
économique et financier de l’entreprise, ses résultats financiers et
ses perspectives futures. A cet effet, l’économie, le secteur, la santé
financière de l’entreprise sont étudiés, de même que le chiffre
d’affaires, les comptes de résultat et le bilan. L’objectif premier
étant de déterminer la valeur intrinsèque du titre étudié.
Se contenter d’une seule démarche d’analyse est hasardeux
A l’inverse, pour l’analyste technique (graphique), toutes ces
informations sont déjà prises en compte dans les valorisations du
marché. «Elles n’aident en rien à prédire les cours», simplifie M.
Cherkaoui. L’approche technique s’attache donc à étudier les marchés
plutôt que l’économie ou l’entreprise. Ce faisant, elle accorde
beaucoup plus d’importance à la dimension psychologique des
investisseurs. De cette façon, elle cerne mieux les comportements des
intervenants sur le marché ainsi que leur état d’esprit.
La prise en compte de cette part «irrationnelle» fait que l’analyse
technique peut prétendre déduire à quel moment la dynamique des prix va
changer à court terme.
Pour sa part, l’analyse fondamentale s’intéresse aux raisons qui
pourraient expliquer l’évolution des cours. Plus concrètement,
l’analyste qui s’y adonne est en mesure de faire des projections en
fonction des informations financières de l’entreprise et de son secteur
d’activité à moyen long terme.
Partant, les recommandations des analyses techniques et fondamentales
s’adressent à des profils d’investisseurs différenciés, notamment en
termes d’horizon de placement. «Il est clair que l’analyse fondamentale
est parfaitement adaptée aux investisseurs institutionnels qui ont un
horizon de placement à long terme, comme les compagnies d’assurance ou
les caisses de retraite. A l’inverse, et sur un court terme, l’approche
technique s’avère beaucoup plus efficace et adaptée aux profils
d’investisseurs actifs», explicite Kamal Bennani.
Mais cela ne signifie pas pour autant que les deux outils sont
contradictoires. Loin de là. «Nombreux sont les investisseurs qui
associent les deux méthodologies», note en fait Adnane Cherkaoui.
Certes, des puristes continuent à préconiser l’utilisation exclusive de
l’une ou l’autre méthode.
Comme le cours est censé intégrer toute l'information, certains
estiment en effet que l'analyse technique peut dispenser l'investisseur
d'une étude approfondie des résultats de l'entreprise, autrement dit du
recours à l’approche fondamentale. Or, ce faisant, l’investisseur n'a
jamais la garantie d'un diagnostic fiable car il n'est pas en mesure de
traiter l'ensemble des informations intervenant dans le processus de
formation des prix. Entre autres, parce que son analyse n'est pas à
l'abri d'évènements imprévisibles internes à l'entreprise (rachats,
scandales…) ou externes (crise internationale) qui auront un impact sur
le bénéfice.
A l’autre extrême, l’usage exclusif de la seule analyse fondamentale
s’avère tout aussi hasardeux. «L’analyse fondamentale a un rayon
d’action bien spécifique principalement parce que le marché a une vie
indépendante de celle des entreprises. De fait et à court terme, cette
approche n’est pas suffisamment efficiente», justifie Kamal Bennani.
«La faiblesse principale de l’approche fondamentaliste réside dans le
fait que la valeur intrinsèque d’une entreprise est difficilement
calculable et manque de précision au vu des différentes méthodes
d’évaluation utilisées», renchérit M. Cherkaoui.
Une démarche plus pragmatique consisterait dès lors à combiner les deux
méthodes. En fait, c’est la nature même du marché qui impose cela. «De
manière générale, à long terme, les marchés sont davantage guidés par
les fondamentaux de l’économie, du secteur et de l’entreprise, alors
qu’à court terme la composante psychologique est la plus importante»,
rappelle un analyste financier.
En ligne directe, la démarche proposée consiste à s’aider de l’analyse
fondamentale pour se positionner au départ sur des valeurs qui offrent
de bonnes perspectives, dans un secteur et une économie en croissance.
Une sorte de premier tri.
Une fois les valeurs détectées, il s’agit de s’en remettre à l’analyse
technique pour déterminer le timing d’achat ou de vente. Le quoi et le
comment étant fixés, il ne reste plus qu’à déterminer le combien. A ce
stade, c’est l’analyse fondamentale qui doit être utilisée, et,
notamment, les outils de construction de porte- feuille qu’elle
fournit. L’idée étant de moduler les pondérations des titres retenus
afin d’optimiser le couple risque/ rendement du portefeuille.
Encore faut-il que les conditions optimales pour l’application des
méthodes fondamentale et technique soient réunies. Pour la première, la
nécessité est de disposer d’éléments comptables et historiques
exploitables. La fiabilité et la fréquence des publications financières
y contribuent. S’agissant de l’analyse technique, le besoin se
manifeste au niveau des volumes de transaction. Celui-ci se doit d’être
significatif. Des intervenants indépendants et un marché obéissant à
une tendance (à la hausse ou à la baisse) sont également des
conditions qui doivent être remplies.
Principes :L’analyse graphique en quatre points
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Quatre principes fondent l’analyse technique. Primo, «le marché prend
tout en compte». En effet, un prix de négociation est le reflet de
toutes les informations, anticipations, sentiments à l'instant même de
la transaction. Le prix est donc toujours justifié et il n'existe pas
de cotations n'ayant pas de sens.
Secundo, «les prix évoluent selon des tendances». Le marché ne suit pas
une seule et même direction, il fluctue. Les fluctuations du marché
s’apparentent à une succession de vagues marquant tour à tour des hauts
et des bas.
Tercio, «l’histoire se répète». Les disciples de l’analyse technique
partent du principe que le comportement des hommes face à la peur, à
l'espoir ou au doute évolue peu à travers le temps. De fait, les
réactions des intervenants reproduisent généralement des schémas
similaires. Sur les graphiques, cela se traduit par des configurations
récurrentes. Les marchés financiers sont cycliques et «à une phase
euphorique suit une phase de dépression».
Quarto, à mesure qu’elle se répand parmi les investisseurs, l’analyse
technique devient auto-réalisatrice et ce, même si ceux qui y ont
recours n’ont pas le même horizon d’investissement.
Apprentissage :L’analyse graphique est-elle accessible au grand public ?
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Pour ceux qui s’y sont déjà essayés, la question est récurrente : «la
théorie de l’analyse technique est une chose mais essayer de
l’appliquer ce n’est pas évident, comment s’y prendre ?». Les
professionnels de l’analyse technique n’en font pas mystère, la liste
des règles d’application de la théorie est longue. Certes, il existe
des cycles de formation pratique à l’exemple de celui mis en place par
TPS Fin. Mais que l’on ne s’y trompe pas, suivre une formation aussi
concentrée et pratique soit-elle, ne permet pas d’acquérir une
autonomie dans la pratique de l’analyse technique. «Une poignée de
cours ne pourra jamais suffire pour faire acquérir à des débutants les
ficelles du métier que l’on apprend par la pratique quotidienne d’une
théorie aux contours largement subjectifs», reconnaît un professionnel.
A chacun donc de faire son chemin…
Néanmoins, si tout est fait comme il faut, des formateurs certifient
qu’au bout de 4 mois un débutant peut parvenir à un taux de réalisation
de 80% de ses prévisions.
J'ai trouvé cet article intéressant et je voulais vous le faire partager en espérant qu'il se trompe quelque part
Contradiction
: marché boursier à fort potentiel, selon l’analyse fondamentale,
baisse jusqu’à 47% d’ici fin 2010, d’après l’analyse graphique.
L’approche fondamentale est à privilégier pour
le moyen et le long terme.
L’analyse graphique pour le choix du timing, celle économique pour le choix des valeurs.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Mars 2007. Fort d’une succession d’effets d’annonce, le raffineur coté
à la Bourse de Casablanca, Samir, s’octroie les faveurs des analystes
financiers. Ces derniers, séduits par les fondamentaux du titre, le
recommandent unanimement à l’achat avec un cours cible de 1 800 DH. Un
peu moins de deux ans plus tard, la conjoncture aura démenti leurs
prédictions. En date du lundi 16 févier 2009, l’action Samir cotait 644
DH. Depuis l’émission de la recommandation à l’achat, la valeur n’aura
en fait jamais pu dépasser la barre des 1 000 DH. Triste pour certains
investisseurs… Mais ce n’est pas faute d’avoir été averti. Le même mars
2007, s’appuyant sur la psychologie du marché qui ressort des
graphiques d’évolution des cours, les tenants de l’analyse technique
contredisaient les recommandations à l’achat et appelaient tout au
contraire à liquider ses positions sur l’action Samir.
Quelques mois plus tard, en décembre 2007, les adeptes de cette
approche frappaient encore plus fort en avertissant du retournement
prochain du marché. S’inscrivant jusque-là à la hausse, le Masi devrait
connaître, selon leurs prévisions, un retournement lorsqu’il
atteindrait le plafond des 15 000 points. La prophétie se réalisera à
14 954 points le 13 mars 2008, date reconnue actuellement comme point
de départ du cycle baissier qui plombe à ce jour le marché boursier.
Pour longtemps, les signaux de baisse durable identifiés par les
analystes techniques n’étaient interprétés dans le camp des
fondamentalistes que comme une mauvaise passe pour le marché, la Bourse
étant caractérisée après tout par «de bons fondamentaux».
Aujourd’hui même, les deux camps, adeptes de l’analyse graphique et
inconditionnels de l’approche fondamentale, n’ont toujours pas unifié
leur discours. Pour les seconds, bien que la croissance de la capacité
bénéficiaire des sociétés cotées connaisse un tassement au titre de
2008, le marché reste correctement valorisé et n’est plus dans une
situation de cherté globale. De fait, son attractivité et son potentiel
de croissance ne font aucun doute.
L’analyse technique déduit à quel moment la dynamique des prix va changer
S’agissant des pronostics du camp technique (analyse graphique), Adnane
Cherkaoui, responsable du département Analyse Technique à TPS Fin, fait
savoir que «le Masi est actuellement capturé par le seuil des 9 400
points, mais s’il parvient à dépasser les 10 200 points, ce qui est en
train de se négocier, on peut espérer le voir augmenter jusqu’à 10 600
points». Les effets d’anticipation des résultats annuels justifieraient
en l’occurrence cette embellie. Pour autant, à plus long terme, c’est
bien de baisse qu’il s’agira. Celle-ci ferait dégringoler le Masi
jusqu’à 5 500 points (soit près de 47% de baisse par rapport à son
niveau de 10 345 points observé le 16 mars) et devrait être consommée
d’ici fin 2010.
C’est donc le règne de la divergence. «Les cas où les investisseurs
sont confrontés à des avis contradictoires émis sur la base d’analyses
techniques ou fondamentales ne manquent pas», soulève Kamal Bennani,
directeur commercial d’Orange Asset Management. Pourquoi les deux
méthodes ne s’accordent-elles pas ? Comment arbitrer entre leurs
conclusions respectives ?
Si elles divergent, c’est qu’à la base les deux approches adoptent des
démarches différentes. «Elles préconisent des processus de décisions
d’investissement bien distincts», résume Adnane Cherkaoui.
Les «fondamentalistes» s’attachent à connaître l’environnement
économique et financier de l’entreprise, ses résultats financiers et
ses perspectives futures. A cet effet, l’économie, le secteur, la santé
financière de l’entreprise sont étudiés, de même que le chiffre
d’affaires, les comptes de résultat et le bilan. L’objectif premier
étant de déterminer la valeur intrinsèque du titre étudié.
Se contenter d’une seule démarche d’analyse est hasardeux
A l’inverse, pour l’analyste technique (graphique), toutes ces
informations sont déjà prises en compte dans les valorisations du
marché. «Elles n’aident en rien à prédire les cours», simplifie M.
Cherkaoui. L’approche technique s’attache donc à étudier les marchés
plutôt que l’économie ou l’entreprise. Ce faisant, elle accorde
beaucoup plus d’importance à la dimension psychologique des
investisseurs. De cette façon, elle cerne mieux les comportements des
intervenants sur le marché ainsi que leur état d’esprit.
La prise en compte de cette part «irrationnelle» fait que l’analyse
technique peut prétendre déduire à quel moment la dynamique des prix va
changer à court terme.
Pour sa part, l’analyse fondamentale s’intéresse aux raisons qui
pourraient expliquer l’évolution des cours. Plus concrètement,
l’analyste qui s’y adonne est en mesure de faire des projections en
fonction des informations financières de l’entreprise et de son secteur
d’activité à moyen long terme.
Partant, les recommandations des analyses techniques et fondamentales
s’adressent à des profils d’investisseurs différenciés, notamment en
termes d’horizon de placement. «Il est clair que l’analyse fondamentale
est parfaitement adaptée aux investisseurs institutionnels qui ont un
horizon de placement à long terme, comme les compagnies d’assurance ou
les caisses de retraite. A l’inverse, et sur un court terme, l’approche
technique s’avère beaucoup plus efficace et adaptée aux profils
d’investisseurs actifs», explicite Kamal Bennani.
Mais cela ne signifie pas pour autant que les deux outils sont
contradictoires. Loin de là. «Nombreux sont les investisseurs qui
associent les deux méthodologies», note en fait Adnane Cherkaoui.
Certes, des puristes continuent à préconiser l’utilisation exclusive de
l’une ou l’autre méthode.
Comme le cours est censé intégrer toute l'information, certains
estiment en effet que l'analyse technique peut dispenser l'investisseur
d'une étude approfondie des résultats de l'entreprise, autrement dit du
recours à l’approche fondamentale. Or, ce faisant, l’investisseur n'a
jamais la garantie d'un diagnostic fiable car il n'est pas en mesure de
traiter l'ensemble des informations intervenant dans le processus de
formation des prix. Entre autres, parce que son analyse n'est pas à
l'abri d'évènements imprévisibles internes à l'entreprise (rachats,
scandales…) ou externes (crise internationale) qui auront un impact sur
le bénéfice.
A l’autre extrême, l’usage exclusif de la seule analyse fondamentale
s’avère tout aussi hasardeux. «L’analyse fondamentale a un rayon
d’action bien spécifique principalement parce que le marché a une vie
indépendante de celle des entreprises. De fait et à court terme, cette
approche n’est pas suffisamment efficiente», justifie Kamal Bennani.
«La faiblesse principale de l’approche fondamentaliste réside dans le
fait que la valeur intrinsèque d’une entreprise est difficilement
calculable et manque de précision au vu des différentes méthodes
d’évaluation utilisées», renchérit M. Cherkaoui.
Une démarche plus pragmatique consisterait dès lors à combiner les deux
méthodes. En fait, c’est la nature même du marché qui impose cela. «De
manière générale, à long terme, les marchés sont davantage guidés par
les fondamentaux de l’économie, du secteur et de l’entreprise, alors
qu’à court terme la composante psychologique est la plus importante»,
rappelle un analyste financier.
En ligne directe, la démarche proposée consiste à s’aider de l’analyse
fondamentale pour se positionner au départ sur des valeurs qui offrent
de bonnes perspectives, dans un secteur et une économie en croissance.
Une sorte de premier tri.
Une fois les valeurs détectées, il s’agit de s’en remettre à l’analyse
technique pour déterminer le timing d’achat ou de vente. Le quoi et le
comment étant fixés, il ne reste plus qu’à déterminer le combien. A ce
stade, c’est l’analyse fondamentale qui doit être utilisée, et,
notamment, les outils de construction de porte- feuille qu’elle
fournit. L’idée étant de moduler les pondérations des titres retenus
afin d’optimiser le couple risque/ rendement du portefeuille.
Encore faut-il que les conditions optimales pour l’application des
méthodes fondamentale et technique soient réunies. Pour la première, la
nécessité est de disposer d’éléments comptables et historiques
exploitables. La fiabilité et la fréquence des publications financières
y contribuent. S’agissant de l’analyse technique, le besoin se
manifeste au niveau des volumes de transaction. Celui-ci se doit d’être
significatif. Des intervenants indépendants et un marché obéissant à
une tendance (à la hausse ou à la baisse) sont également des
conditions qui doivent être remplies.
Principes :L’analyse graphique en quatre points
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]
Quatre principes fondent l’analyse technique. Primo, «le marché prend
tout en compte». En effet, un prix de négociation est le reflet de
toutes les informations, anticipations, sentiments à l'instant même de
la transaction. Le prix est donc toujours justifié et il n'existe pas
de cotations n'ayant pas de sens.
Secundo, «les prix évoluent selon des tendances». Le marché ne suit pas
une seule et même direction, il fluctue. Les fluctuations du marché
s’apparentent à une succession de vagues marquant tour à tour des hauts
et des bas.
Tercio, «l’histoire se répète». Les disciples de l’analyse technique
partent du principe que le comportement des hommes face à la peur, à
l'espoir ou au doute évolue peu à travers le temps. De fait, les
réactions des intervenants reproduisent généralement des schémas
similaires. Sur les graphiques, cela se traduit par des configurations
récurrentes. Les marchés financiers sont cycliques et «à une phase
euphorique suit une phase de dépression».
Quarto, à mesure qu’elle se répand parmi les investisseurs, l’analyse
technique devient auto-réalisatrice et ce, même si ceux qui y ont
recours n’ont pas le même horizon d’investissement.
Apprentissage :L’analyse graphique est-elle accessible au grand public ?
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Pour ceux qui s’y sont déjà essayés, la question est récurrente : «la
théorie de l’analyse technique est une chose mais essayer de
l’appliquer ce n’est pas évident, comment s’y prendre ?». Les
professionnels de l’analyse technique n’en font pas mystère, la liste
des règles d’application de la théorie est longue. Certes, il existe
des cycles de formation pratique à l’exemple de celui mis en place par
TPS Fin. Mais que l’on ne s’y trompe pas, suivre une formation aussi
concentrée et pratique soit-elle, ne permet pas d’acquérir une
autonomie dans la pratique de l’analyse technique. «Une poignée de
cours ne pourra jamais suffire pour faire acquérir à des débutants les
ficelles du métier que l’on apprend par la pratique quotidienne d’une
théorie aux contours largement subjectifs», reconnaît un professionnel.
A chacun donc de faire son chemin…
Néanmoins, si tout est fait comme il faut, des formateurs certifient
qu’au bout de 4 mois un débutant peut parvenir à un taux de réalisation
de 80% de ses prévisions.
J'ai trouvé cet article intéressant et je voulais vous le faire partager en espérant qu'il se trompe quelque part
doukka- Nombre de messages : 126
Age : 59
Localisation : rabat
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
LE PROGRAMME DE RACHAT
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le pr ne vise pas seulement à stabiliser le cours d'une action donnée, mais il peut aussi engendrer des +/- values.
Les actions détenues ne donnent pas droit au dividende.
Si on examine les statistiques publiées par CDVM on sera étonné de voir que certains programmes sont vierges.Comment le peuvent-ils s'ils ne vendent pas ? (sauf s'ils n'ont rien acheté comme le cas de SNP).La gestion est toujours confiée à une société de bourse (d'ou les recommandations bidon).
La vente est une pratique courante , parfois dans la journée même, mais en général peu de temps après la remontée du cours, on nous refile ce qu'on nous a acheté avec un prix superieur.
CDG est conuue pour un maitre dans l'art du metier ( CIH-CGI-ATL).
Pour le cas présent , les pr peuvent acheter et vendre sans restriction aucune d'ici la fin mars.
ADH pourrait dégager selon plusieurs estimations entre 120 et 160 millions de dhs uniquement sur les titres détenues .
Enfin , je vous laisse ce lien pour télécharger cette note BMCE sur le pr, forte interessante d'ailleurs.
[Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le pr ne vise pas seulement à stabiliser le cours d'une action donnée, mais il peut aussi engendrer des +/- values.
Les actions détenues ne donnent pas droit au dividende.
Si on examine les statistiques publiées par CDVM on sera étonné de voir que certains programmes sont vierges.Comment le peuvent-ils s'ils ne vendent pas ? (sauf s'ils n'ont rien acheté comme le cas de SNP).La gestion est toujours confiée à une société de bourse (d'ou les recommandations bidon).
La vente est une pratique courante , parfois dans la journée même, mais en général peu de temps après la remontée du cours, on nous refile ce qu'on nous a acheté avec un prix superieur.
CDG est conuue pour un maitre dans l'art du metier ( CIH-CGI-ATL).
Pour le cas présent , les pr peuvent acheter et vendre sans restriction aucune d'ici la fin mars.
ADH pourrait dégager selon plusieurs estimations entre 120 et 160 millions de dhs uniquement sur les titres détenues .
Enfin , je vous laisse ce lien pour télécharger cette note BMCE sur le pr, forte interessante d'ailleurs.
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M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
zemmour redouane a écrit:Salut tout le monde
Je commence à m'interesser à la bourse que derniérement.
Je voulais juste votre avis par rapport à ADH
est il toujours favorable d'acheter ou non?
merci pour votre réponse
Soyez le bienvenu parmi nous cher ami.
Malheureusement pour vous (ou heureusement) vous tombez pile au moment ou personne ne sait plus ou donner la tête.Croire les avis des alarmistes qui voient encore une chute potentielle de plus de 45%, ou les fous naîfs qui esperent encore une montée!
Par prudence, je vous demanderais d'abord de vous enregistrer sur le site BVC et de vous entrainer sur un porte-feuille fictif avant de vous aventurer avec du cash que vous risquez de ne plus jamais revoir.
Quand à votre élue, je pense que personne ne pourra vous donner une réponse quelconque et c'est ce qui explique ce silence radio.
Lorsque vous serez capables de dégager une bonne plus value et surtout de maitriser votre peur, nous vous dirons "bienvenue au monde des zinzins , prédateurs et autres monstres de la bourse".
Dernière édition par Moul.Chkara le Mar 3 Mar - 22:33, édité 1 fois
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
LA BAISSE ,CAUSE OU CONSEQUENCE ?
J'aurais aimé vous parler d'autre chose de plus agréable, mais croyez moi , si je le fais c'est après maintes reprises et hesitations.
Quel est le mécanisme de la baisse?
Quand on a besoin d'argent liquide pour une raison ou une autre, on envisage de vendre.Le fait de proposer une quantité anormale par rapport à un marché plus ou moins en équilibre , cela pousse les acheteurs à baisser le prix ce qui est tout à fait normal.Pourquoi offrir à un vendeur le prix qu'il désire ?
Le vendeur , pour subvenir à son besoin pressant ,n'a d'autre moyen que de se soumettre à la volonté du premier acheteur venu.
Les autres détenteurs du titre , surtout ceux qui croient en l'analyse technique, quand ils voient la baisse ne comprennent pas mais "coupent court" leur position pour "se mettre à l'abri", ce qui va entrainer encore et encore la baisse.Dans ce cas on dira que la baisse est un phénomène auto-entretenu.
Ils diront qu'ils sont sortis par respect du stop-loss, que c'est une perte calculée mais ils ne reconnaitront jamais qu'ils ont participé à accentuer la baisse.On attendra qu'il ne reste plus de vendeur pour esperer une reprise.
Tous les fonds du monde sont réputés pour etre l'acteur qui cause la baisse le plus fréquemment , bien que les pp sont les plus incriminés.En effet quand il s'agit de gros investissements , une fois la décision prise, peu importe le prix de sortie, mais le délai.
La décision est souvent prise sur simple consensus d'analystes et gerants de ptf, mais aux US et en europe ce que nous avons vu en 2008 a été dicté par un manque aigu de liquidités et non par décision stratégique comme ça a été le cas chez nous.
Qui profite de la baisse ?
La réponse la plus simple serait : personne, mais en fait ce sont les acteurs liquides qui profitent le mieux puisque plus ça baissera , mieux ça vaudra et le profit ne pourra etre que plus important.
C'est ça donc la vision de nos fonds et de nos SDB qui prévoient encore la descente aux enfers.Ils sont liquides et n'esperent pas plus d'une secousse aussi violente que possible .
Prévoire une baisse de 45%, equivaudrait à voir ADH à 66,IAM à 88,ATW à 143, BMCE à 133 et ONA à 715.
C'est inutile de continuer à citer les prévisions pour les smalls.
CAC40 en moins de 15 mois est passé de 6000 à 2562, mais IAM qui y réside est toujours à +/-14.5EUR, et comme on dit "tout est compris dans le cours".Il m'est difficile d'imaginer IAM à 8.00EU ET CAC40 à 1400, C'EST DE LA PURE SCIENCE FICTION
Quelles prévisions pour la baisse?
En fait prévoir ou pas n'est pas la question la plus imortante, mais quand sortir?
Je dirais que la baisse(et la hausse) est toujours possible (50% pour chaque sens )mais qu'il ne faut pas exagerer et surtout agir selon les conditions du marché.Fixer des objectifs et des points de sortie en fonction du graph (je donne plus d'importance à la B-? mais le bris de la mm20 est aussi un signe de grande valeur).
MASI est descendu d'un seul trait de presque 15 000 à 9406.
Selon Eliott,on devrait gagner au moins la moitié de cette perte ce qui nous amène aux environs de 11550 qui coincide aussi avec les min des 3ème et 4ème onde baissière et devrait constituer aussi une nouvelle resistance.
L'approche des resultats qui sont excellents dans l'ensemble et les dividendes qui risquent d'etre extra pour la simple raison que les actionnaires étrangers vont devoir pomper le maximum pour répondre aux besoins oh combien pressants de leurs maisons mères, devraient nous amener a une deuxième onde haussière , et pourquoi pas un test et même un dépassement de cette "resistance" montée de toutes pièces.'
Si on arrive pas à franchir cette barrière,la baisse viendra certianement (pour les raisons citées plus haut), mais elle ne sera pas trop importante (la moitié de ce qu'on a gagné, donc vers10300) pour recommncer un nouveau cycle haussier, ainsi dira Eliott.
Et la conclusion ?
Après Mars, je crois qu'on pourrait concevoir la baisse, mais elle ne sera JAMAIS aussi violente que ce qu'on a vu, puisque les fonds sont déja liquides (ou presque), donc ils ne pourront pas provoquer de baisse et ils sont deja un acteur à la touche et non dans le terrain.
Les pp et autres ppp livrés à eux mêmes vont certainement causer quelques désastres , mais ce ne sera pas long.La saison agricole s'annonce bonne inshaallah , les investisseurs commencent déja à délocaliser leurs sites vers le maroc(le fameux fabricant français de chemises et autres voituriers) et pourquoi pas ne vearrait on pas aussi des fonds venir vers la place la plus verte au monde!!
Une économie aussi forte que la notre dégagera encore quelques milliards de dirhams dont une partie, forcément, atterira vers BVC.
Un avis comme un autre , mais je tiens à le partager au risque de me trromper bien sur.L'avenir nous dira.
J'aurais aimé vous parler d'autre chose de plus agréable, mais croyez moi , si je le fais c'est après maintes reprises et hesitations.
Quel est le mécanisme de la baisse?
Quand on a besoin d'argent liquide pour une raison ou une autre, on envisage de vendre.Le fait de proposer une quantité anormale par rapport à un marché plus ou moins en équilibre , cela pousse les acheteurs à baisser le prix ce qui est tout à fait normal.Pourquoi offrir à un vendeur le prix qu'il désire ?
Le vendeur , pour subvenir à son besoin pressant ,n'a d'autre moyen que de se soumettre à la volonté du premier acheteur venu.
Les autres détenteurs du titre , surtout ceux qui croient en l'analyse technique, quand ils voient la baisse ne comprennent pas mais "coupent court" leur position pour "se mettre à l'abri", ce qui va entrainer encore et encore la baisse.Dans ce cas on dira que la baisse est un phénomène auto-entretenu.
Ils diront qu'ils sont sortis par respect du stop-loss, que c'est une perte calculée mais ils ne reconnaitront jamais qu'ils ont participé à accentuer la baisse.On attendra qu'il ne reste plus de vendeur pour esperer une reprise.
Tous les fonds du monde sont réputés pour etre l'acteur qui cause la baisse le plus fréquemment , bien que les pp sont les plus incriminés.En effet quand il s'agit de gros investissements , une fois la décision prise, peu importe le prix de sortie, mais le délai.
La décision est souvent prise sur simple consensus d'analystes et gerants de ptf, mais aux US et en europe ce que nous avons vu en 2008 a été dicté par un manque aigu de liquidités et non par décision stratégique comme ça a été le cas chez nous.
Qui profite de la baisse ?
La réponse la plus simple serait : personne, mais en fait ce sont les acteurs liquides qui profitent le mieux puisque plus ça baissera , mieux ça vaudra et le profit ne pourra etre que plus important.
C'est ça donc la vision de nos fonds et de nos SDB qui prévoient encore la descente aux enfers.Ils sont liquides et n'esperent pas plus d'une secousse aussi violente que possible .
Prévoire une baisse de 45%, equivaudrait à voir ADH à 66,IAM à 88,ATW à 143, BMCE à 133 et ONA à 715.
C'est inutile de continuer à citer les prévisions pour les smalls.
CAC40 en moins de 15 mois est passé de 6000 à 2562, mais IAM qui y réside est toujours à +/-14.5EUR, et comme on dit "tout est compris dans le cours".Il m'est difficile d'imaginer IAM à 8.00EU ET CAC40 à 1400, C'EST DE LA PURE SCIENCE FICTION
Quelles prévisions pour la baisse?
En fait prévoir ou pas n'est pas la question la plus imortante, mais quand sortir?
Je dirais que la baisse(et la hausse) est toujours possible (50% pour chaque sens )mais qu'il ne faut pas exagerer et surtout agir selon les conditions du marché.Fixer des objectifs et des points de sortie en fonction du graph (je donne plus d'importance à la B-? mais le bris de la mm20 est aussi un signe de grande valeur).
MASI est descendu d'un seul trait de presque 15 000 à 9406.
Selon Eliott,on devrait gagner au moins la moitié de cette perte ce qui nous amène aux environs de 11550 qui coincide aussi avec les min des 3ème et 4ème onde baissière et devrait constituer aussi une nouvelle resistance.
L'approche des resultats qui sont excellents dans l'ensemble et les dividendes qui risquent d'etre extra pour la simple raison que les actionnaires étrangers vont devoir pomper le maximum pour répondre aux besoins oh combien pressants de leurs maisons mères, devraient nous amener a une deuxième onde haussière , et pourquoi pas un test et même un dépassement de cette "resistance" montée de toutes pièces.'
Si on arrive pas à franchir cette barrière,la baisse viendra certianement (pour les raisons citées plus haut), mais elle ne sera pas trop importante (la moitié de ce qu'on a gagné, donc vers10300) pour recommncer un nouveau cycle haussier, ainsi dira Eliott.
Et la conclusion ?
Après Mars, je crois qu'on pourrait concevoir la baisse, mais elle ne sera JAMAIS aussi violente que ce qu'on a vu, puisque les fonds sont déja liquides (ou presque), donc ils ne pourront pas provoquer de baisse et ils sont deja un acteur à la touche et non dans le terrain.
Les pp et autres ppp livrés à eux mêmes vont certainement causer quelques désastres , mais ce ne sera pas long.La saison agricole s'annonce bonne inshaallah , les investisseurs commencent déja à délocaliser leurs sites vers le maroc(le fameux fabricant français de chemises et autres voituriers) et pourquoi pas ne vearrait on pas aussi des fonds venir vers la place la plus verte au monde!!
Une économie aussi forte que la notre dégagera encore quelques milliards de dirhams dont une partie, forcément, atterira vers BVC.
Un avis comme un autre , mais je tiens à le partager au risque de me trromper bien sur.L'avenir nous dira.
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
@moul chkara
je suis d'accord avec les deux intervenant qui disent que la derogation de Mr mezouar ne permet de vendre dans un programme de rachat en dessous du prix minimum.
en effet, les compagnies ont le droit d'acheter leurs actions meme en dessous du prix minimum jusqu'au 31 mars. mais pas vendre a un prix inferieur au prix minimum. a titre d'exemple vous trouvez ci-dessous un extrait du programme de rachat de ADI:
je suis d'accord avec les deux intervenant qui disent que la derogation de Mr mezouar ne permet de vendre dans un programme de rachat en dessous du prix minimum.
en effet, les compagnies ont le droit d'acheter leurs actions meme en dessous du prix minimum jusqu'au 31 mars. mais pas vendre a un prix inferieur au prix minimum. a titre d'exemple vous trouvez ci-dessous un extrait du programme de rachat de ADI:
ADI - Programme de rachat | |
Le CDVM a visé en date du 22 Janvier 2009, la notice d’information relative à un programme de rachat d’actions en vue de régulariser le marché des actions Alliances Développement Immobilier. Ce programme sera soumis à l’autorisation de l’Assemblée Générale Ordinaire prévue le 9 Février 2009. Les principales caractéristiques du programme susmentionné sont : <LI>Nombre maximum d’actions à détenir : 605 000 actions (soit 5% du capital) ; <LI>Montant maximum du programme : 605 000 000 DH ; <LI>Délai de l’autorisation : 18 mois ; <LI>Calendrier de l’opération : Du 17 février 2009 au 17 août 2010 ; <LI>Fourchettes d’intervention (*) : Du 17 février 2009 au 31 mars 2009 : - Prix minimum unitaire de vente : 600 DH - Prix maximum unitaire d’achat et de vente : 1 000 DH Période du 1er avril 2009 à la fin du programme : - Prix minimum unitaire d’achat et de vente : 600 DH - Prix maximum unitaire d’achat et de vente : 1 000 DH (Source CDVM)</LI> | |
Invité- Invité
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
MASI 5500 est une joke, faut pas etre expert pour le voir. 8500 meme les 7500 sont possibles,et je parie que les volumes vont etre trop faible, parceque tout est un cirque (secouer le cocotier tant que ca donne des resultats merci moul chkara pour lexpression)
T-888- Nombre de messages : 405
Age : 47
Localisation : Rabat
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
abk a écrit:@moul chkara
je suis d'accord avec les deux intervenant qui disent que la derogation de Mr mezouar ne permet de vendre dans un programme de rachat en dessous du prix minimum.
en effet, les compagnies ont le droit d'acheter leurs actions meme en dessous du prix minimum jusqu'au 31 mars. mais pas vendre a un prix inferieur au prix minimum. a titre d'exemple vous trouvez ci-dessous un extrait du programme de rachat de ADI:
ADI - Programme de rachat Le CDVM a visé en date du 22 Janvier 2009, la notice d’information relative à un programme de rachat d’actions en vue de régulariser le marché des actions Alliances Développement Immobilier.
Ce programme sera soumis à l’autorisation de l’Assemblée Générale Ordinaire prévue le 9 Février 2009.
Les principales caractéristiques du programme susmentionné sont :Nombre maximum d’actions à détenir : 605 000 actions (soit 5% du capital) ; Montant maximum du programme : 605 000 000 DH ; Délai de l’autorisation : 18 mois ; Calendrier de l’opération : Du 17 février 2009 au 17 août 2010 ; Fourchettes d’intervention (*) :
Du 17 février 2009 au 31 mars 2009 :
- Prix minimum unitaire de vente : 600 DH
- Prix maximum unitaire d’achat et de vente : 1 000 DH
Période du 1er avril 2009 à la fin du programme :
- : 600 DH
- Prix maximum unitaire d’achat et de vente : 1 000 DH
(Source CDVM)
Le cas du pr ADI est une exception , puisu'il a été voté APRES le plan mezouar et il doit donc préciser.
Pour les autres pr, veuillez noter que la dérogation cencerne toute la ligne
"Prix minimum unitaire d’achat et de vente" et il n y a pas de distiction 'avant"-"après".
wallaho aâlam
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
Salam
Les gens de dartaw ecrivent aujourdhui qu il y a essouflement de mouvement vendeur et que la majorité des prises de benefice est epuisée.
Je crois M Moulchkara qu ils ont raison car depuis le 1 jour de baisse c etait
la 1ere diminution de volatilité
WALLAHO AALAM
Les gens de dartaw ecrivent aujourdhui qu il y a essouflement de mouvement vendeur et que la majorité des prises de benefice est epuisée.
Je crois M Moulchkara qu ils ont raison car depuis le 1 jour de baisse c etait
la 1ere diminution de volatilité
WALLAHO AALAM
YACHO- Nombre de messages : 705
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
Commentaire technique quotidien:
Sur un volume relativement faible de 150 millions de Dhs (en double), le marché enregistre une
contre-performance de –0,74% à 23 086,63 points.
Graphiquement, après une ouverture stable à 23 250 pts, l’indice atteint un plus haut à 23 307 pts avant
de se replier et clôturer au plus bas de la journée.
Du côté des indicateurs mathématiques, le comportement de la volatilité laisserait présager un essoufflement
du mouvement vendeur.
Par conséquent, nous estimons que l'essentiel du mouvement de prise de bénéfice entamé le 26 Fevrier
est épuisé et qu'une reprise du marché à court terme demeure imminente.
DT
Sur un volume relativement faible de 150 millions de Dhs (en double), le marché enregistre une
contre-performance de –0,74% à 23 086,63 points.
Graphiquement, après une ouverture stable à 23 250 pts, l’indice atteint un plus haut à 23 307 pts avant
de se replier et clôturer au plus bas de la journée.
Du côté des indicateurs mathématiques, le comportement de la volatilité laisserait présager un essoufflement
du mouvement vendeur.
Par conséquent, nous estimons que l'essentiel du mouvement de prise de bénéfice entamé le 26 Fevrier
est épuisé et qu'une reprise du marché à court terme demeure imminente.
DT
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
YACHO a écrit:Salam
Les gens de dartaw ecrivent aujourdhui qu il y a essouflement de mouvement vendeur et que la majorité des prises de benefice est epuisée.
Je crois M Moulchkara qu ils ont raison car depuis le 1 jour de baisse c etait
la 1ere diminution de volatilité
WALLAHO AALAM
C'est ce que je ne cesse de vous répéter depuis jeudi dernier.
Tant que MASI est au dessus de sa mm20, pas de souci à se faire , c'est une phrase que j'ai écrite plusieurs fois.
En plus il ne faut jamais se précipiter, soit il ya un support qui casse et on sort soit il ya une mauvaise nouvelle et on quitte à perte , mais vendre sans raison c'est de la folie.
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
M Moulchkara ; je le dis tjs vous etes un pro. et on vous respecte
ce que vous dites va en parallele avec les autres conseillers ; il ne faut pas se precipiter a la moindre baisse et c est ce que j apprends a faire
et merci
ce que vous dites va en parallele avec les autres conseillers ; il ne faut pas se precipiter a la moindre baisse et c est ce que j apprends a faire
et merci
YACHO- Nombre de messages : 705
Date d'inscription : 28/01/2009
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
moulchkara,est ce qu'il y aura une reprise d'ADI àcourt terme?merci
ihdina- Nombre de messages : 34
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
bonsoir
svp
il y a du nouveau pour fertima?
svp
il y a du nouveau pour fertima?
finnancier- Nombre de messages : 491
Localisation : casablanca
Date d'inscription : 04/02/2009
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
bonsoir tt le monde
je vs remerci ts pour vos efforts enormes fournis ds ce forum et surtout nos vedettes moulchkara et lmarrakchi....
svp moulchkara j'ai atlanta a 120 dh. je patiente ou je quitte?
merci
je vs remerci ts pour vos efforts enormes fournis ds ce forum et surtout nos vedettes moulchkara et lmarrakchi....
svp moulchkara j'ai atlanta a 120 dh. je patiente ou je quitte?
merci
Invité- Invité
Re: MARDI 3 MARS 2009, ADH JUSQU'OU IRA-T-ELLE?
mon ami moul chkra
meme le communiqué du ministere des finances ne mentionne que l'acquisition et non la vente en dessous du seuil minimum:
meme le communiqué du ministere des finances ne mentionne que l'acquisition et non la vente en dessous du seuil minimum:
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Invité- Invité
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