JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
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Club privé de la Bourse de Casablanca - Forum By Moulchkara :: Espace opportunistes et spéculateurs (DAY & SWING TRADERS) :: Séances boursières quotidiennes
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Je pense que MASI finira Décembre :
JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
Bonjour à tous,
Je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas la main pour participer au sondage?
Par ailleurs j'ai beaucoup plus de 25% de moins values. Rien que sur la SNEP qui represente 40% de mon portefeuille , je suis à 65% de moins value. En ce moment je suis coincé partout et je n'ai aucune position gagnante. Il y a vraiment de quoi etre degouté de cette saloperie. Allah yjib lfaraj.
Je ne comprends pas pourquoi je n'ai pas la main pour participer au sondage?
Par ailleurs j'ai beaucoup plus de 25% de moins values. Rien que sur la SNEP qui represente 40% de mon portefeuille , je suis à 65% de moins value. En ce moment je suis coincé partout et je n'ai aucune position gagnante. Il y a vraiment de quoi etre degouté de cette saloperie. Allah yjib lfaraj.
doukka- Nombre de messages : 126
Age : 59
Localisation : rabat
Date d'inscription : 04/02/2009
JEUDI 031109,QUE DU BROUILLARD!
Bismillah,
Bonne journée et bonnes plus values
Les maquillages que nous attendons , ont déjà commencé (IAM hier).
Bonne journée et bonnes plus values
Les maquillages que nous attendons , ont déjà commencé (IAM hier).
Dernière édition par M.C. le Jeu 3 Déc - 14:59, édité 3 fois
M.C.- Nombre de messages : 14243
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Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
Bonne journée et bonnes plus values à toutes et tous.
Elu18- Nombre de messages : 160
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Date d'inscription : 02/06/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
Sbah lkhir
Nouvelle phase de cotation.
Trading At Last (15h30-15h35)
ouverte au niveau du Site.
Possibilité d'émettre, sur les
valeurs du Continu, des ordres
libellés au dernier cours (de
clôture ou de référence). Seuls les
ordres de type Limite au dernier
cours sont acceptés.
warner brothers
@Mc
les grosses cap ont mis trop de maquillage ce matin
Nouvelle phase de cotation.
Trading At Last (15h30-15h35)
ouverte au niveau du Site.
Possibilité d'émettre, sur les
valeurs du Continu, des ordres
libellés au dernier cours (de
clôture ou de référence). Seuls les
ordres de type Limite au dernier
cours sont acceptés.
warner brothers
@Mc
les grosses cap ont mis trop de maquillage ce matin
Dernière édition par merrakchi le Jeu 3 Déc - 10:49, édité 2 fois
Invité- Invité
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
MORNING NEWS du 03122009
* IMMOBILIER TOURISTIQUE : Inauguration prochaine du golf de SAMANAH COUNTRY CLUB à Marrakech
* INFRASTRUCTURES : Signature d’un accord de collaboration entre l’ANP et l’autorité portuaire de MOTRIL (Espagne)
* RECETTES TOURISTIQUES : retrait de 7,7% à MAD 4,2 Md en octobre 2009
Nouvelles de sociétés:
* MAROC TELECOM : Baisse substantielle de ses tarifs internationaux
* OTIS MAROC : Prise de contrôle par l’espagnol ZARDOYA OTIS
* ANOUAR AL MOUSTAKBAL : Augmentation de capital de M MAD 35 pour le porter à M MAD 130
BMCE Cap
bonjour
encore une baisse pour l'international. c'est moins cher appeler Paris ou Madrid qu'appeler Benguerir
* IMMOBILIER TOURISTIQUE : Inauguration prochaine du golf de SAMANAH COUNTRY CLUB à Marrakech
* INFRASTRUCTURES : Signature d’un accord de collaboration entre l’ANP et l’autorité portuaire de MOTRIL (Espagne)
* RECETTES TOURISTIQUES : retrait de 7,7% à MAD 4,2 Md en octobre 2009
Nouvelles de sociétés:
* MAROC TELECOM : Baisse substantielle de ses tarifs internationaux
* OTIS MAROC : Prise de contrôle par l’espagnol ZARDOYA OTIS
* ANOUAR AL MOUSTAKBAL : Augmentation de capital de M MAD 35 pour le porter à M MAD 130
BMCE Cap
bonjour
encore une baisse pour l'international. c'est moins cher appeler Paris ou Madrid qu'appeler Benguerir
Dorrahim- Nombre de messages : 1871
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Date d'inscription : 12/02/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
Dorrahim a écrit:MORNING NEWS du 03122009
* IMMOBILIER TOURISTIQUE : Inauguration prochaine du golf de SAMANAH COUNTRY CLUB à Marrakech
* INFRASTRUCTURES : Signature d’un accord de collaboration entre l’ANP et l’autorité portuaire de MOTRIL (Espagne)
* RECETTES TOURISTIQUES : retrait de 7,7% à MAD 4,2 Md en octobre 2009
Nouvelles de sociétés:
* MAROC TELECOM : Baisse substantielle de ses tarifs internationaux
* OTIS MAROC : Prise de contrôle par l’espagnol ZARDOYA OTIS
* ANOUAR AL MOUSTAKBAL : Augmentation de capital de M MAD 35 pour le porter à M MAD 130
BMCE Cap
bonjour
encore une baisse pour l'international. c'est moins cher appeler Paris ou Madrid qu'appeler Benguerir
Bonjour
Tu appelles Paris ou Madrid et tu leur demandes d'appeler Benguerir à ta place.
Ne t'inquiètes pas , ça va venir
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
salamo alikom.bayn lia inchallah auj8 .festa.fi adh
dublin- Nombre de messages : 174
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Localisation : rabat
Date d'inscription : 11/06/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
Paris ouvre tres vert
Avons nous le droit d'esperer ici que la course aux PV soit iminente ?
Avons nous le droit d'esperer ici que la course aux PV soit iminente ?
Dorrahim- Nombre de messages : 1871
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Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
M.C. a écrit:Dorrahim a écrit:MORNING NEWS du 03122009
* IMMOBILIER TOURISTIQUE : Inauguration prochaine du golf de SAMANAH COUNTRY CLUB à Marrakech
* INFRASTRUCTURES : Signature d’un accord de collaboration entre l’ANP et l’autorité portuaire de MOTRIL (Espagne)
* RECETTES TOURISTIQUES : retrait de 7,7% à MAD 4,2 Md en octobre 2009
Nouvelles de sociétés:
* MAROC TELECOM : Baisse substantielle de ses tarifs internationaux
* OTIS MAROC : Prise de contrôle par l’espagnol ZARDOYA OTIS
* ANOUAR AL MOUSTAKBAL : Augmentation de capital de M MAD 35 pour le porter à M MAD 130
BMCE Cap
bonjour
encore une baisse pour l'international. c'est moins cher appeler Paris ou Madrid qu'appeler Benguerir
Bonjour
Tu appelles Paris ou Madrid et tu leur demandes d'appeler Benguerir à ta place.
Ne t'inquiètes pas , ça va venir
L'ANRT travaille sur un projet de réduction des prix de communication qui reste au Maroc trés élevé comparativement à des pays voisins tunisie ou egypte ...
Invité- Invité
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
bon + value a all.
dublin- Nombre de messages : 174
Age : 40
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Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
merrakchi a écrit:M.C. a écrit:Dorrahim a écrit:MORNING NEWS du 03122009
* * MAROC TELECOM : Baisse substantielle de ses tarifs internationaux
bonjour
encore une baisse pour l'international. c'est moins cher appeler Paris ou Madrid qu'appeler Benguerir
Bonjour
Tu appelles Paris ou Madrid et tu leur demandes d'appeler Benguerir à ta place.
Ne t'inquiètes pas , ça va venir
L'ANRT travaille sur un projet de réduction des prix de communication qui reste au Maroc trés élevé comparativement à des pays voisins tunisie ou egypte ...
ARNT est plus presse de satisfaire les caprices de ses patrons qui ont leurs rejetons a l'etranger que satisfaire oulad bled. Rien de 9
Dorrahim- Nombre de messages : 1871
Age : 44
Localisation : Rabat PC
Date d'inscription : 12/02/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
ils ont intéret à se bouger le c... les consommateurs grondent, les opérateurs n'ont rien à y perdre, la baisse des prix sera compensée par le volume.Dorrahim a écrit:merrakchi a écrit:M.C. a écrit:Dorrahim a écrit:MORNING NEWS du 03122009
* * MAROC TELECOM : Baisse substantielle de ses tarifs internationaux
bonjour
encore une baisse pour l'international. c'est moins cher appeler Paris ou Madrid qu'appeler Benguerir
Bonjour
Tu appelles Paris ou Madrid et tu leur demandes d'appeler Benguerir à ta place.
Ne t'inquiètes pas , ça va venir
L'ANRT travaille sur un projet de réduction des prix de communication qui reste au Maroc trés élevé comparativement à des pays voisins tunisie ou egypte ...
ARNT est plus presse de satisfaire les caprices de ses patrons qui ont leurs rejetons a l'etranger que satisfaire oulad bled. Rien de nouveau
Dernière édition par merrakchi le Jeu 3 Déc - 9:51, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
bmce 233.5 avec 4.38./.
dublin- Nombre de messages : 174
Age : 40
Localisation : rabat
Date d'inscription : 11/06/2009
que des inquietudes
Des salariés piégés par la baisse des cours de leurs sociétés
Ils
se sont endettés, pour certains à hauteur de 24 mois de salaire brut,
pour participer aux introductions en Bourse de leurs sociétés.
Dans l’euphorie de la hausse du marché, les décotes offertes et les
expériences Addoha et CGI, ils n’ont pas pensé au risque d’une baisse
des cours.
Beaucoup d’entre eux seront bientôt obligés de vendre
à perte pour rembourser leurs crédits.
C’est
un climat d’inquiétude qui règne actuellement au sein du personnel de
plusieurs entreprises cotées. Des centaines de salariés suivent
quotidiennement, et surtout avec angoisse, l’évolution du cours de
leurs sociétés, dans un marché baissier qui n’affiche aucun signe de
reprise. Avec angoisse, car ces salariés sont également actionnaires,
vu qu’ils ont participé aux opérations d’introduction en Bourse des
sociétés qui les emploient. Ils s’attendaient à se faire un petit
pécule, à l’instar des employés de certaines entreprises comme Addoha
et CGI. Là... certains pourraient, bien au contraire, perdre des sommes
conséquentes.
Elles sont à ce jour neuf sociétés à avoir rejoint la cote
casablancaise depuis 2007 et dont le cours actuel est inférieur au prix
d’achat initial des actions. Au moment de leur introduction, toutes ont
consacré une partie de leur offre à leurs salariés et collaborateurs,
dans des cas à hauteur de 3% du capital.
Le personnel de ces sociétés a souscrit avec force. Atlanta, introduite
en octobre 2007, compte 410 salariés ayant participé à son opération et
qui ont acheté plus de 150 000 actions (avant le split du capital qui a
multiplié le nombre de titres par dix). Alliances a pour sa part séduit
519 de ses collaborateurs en juillet 2008 qui ont souscrit pour 55 000
actions. Avant elle, Salafin, en décembre 2007, a attiré pour son
opération 128 de ses salariés, et la Snep, un mois plus tôt, a drainé
370 de ses employés pour 33 600 actions souscrites.
Plusieurs facteurs ont encouragé ces personnes à investir dans les
titres de leurs employeurs sans trop penser aux risques qu’ils étaient
en train de prendre. Il y a d’abord le contexte du marché boursier à
l’époque. La place casablancaise venait de clôturer l’année 2006 avec
une performance record de +71% et a démarré 2007 en force. Quasiment,
tous les titres de la cote étaient en hausse en cette période, ce qui a
fini par attirer beaucoup d’investisseurs, même les plus craintifs.
La baisse des cours a consommé les décotes offertes au départ aux salariés
Il y a ensuite les conditions de prix avantageuses que les sociétés
introduites en Bourse avaient mis en place pour leur personnel. En
effet, en plus de la décote offerte au grand public par rapport à la
valorisation théorique des actions, qui a atteint des fois les 30%, ces
entreprises ont accordé à leurs salariés des décotes supplémentaires
allant jusqu’à 20%, à condition toutefois de conserver les titres
acquis pendant une certaine durée. Par exemple, les titres Atlanta,
dont le prix grand public était de 1 200 DH, ont été cédés aux employés
à 960 DH à condition qu’ils les gardent pendant 3 ans. Les actions
d’Alliances, elles, étaient proposées aux salariés à 616,5 DH, soit 10%
de moins que le prix du public (650 DH), avec l’obligation de les
conserver pendant 2 ans.
Les conditions de financement mises en place ont également favorisé la
participations des salariés aux introductions. Toutes les sociétés ont
en effet convenu avec les banques de la place d’accorder à leur
personnel des prêts pour l’acquisition des actions. Des prêts
remboursables in fine, au moment de la cession des titres achetés,
c’est-à-dire à la fin de la durée obligatoire de conservation, avec des
taux d’intérêt d’environ 5% et des montants qui atteignent l’équivalent
de 24 mois de salaire brut.
Les employés n’avaient donc rien à débourser au départ, ce qui était
très motivant. «La quasi-totalité de ces souscripteurs a opté pour le
financement à crédit», affirme un banquier. «De plus, raconte-il, ils
étaient tous convaincus de pouvoir réaliser des gains importants comme
dans les cas d’Addoha et de la CGI, sans supporter aucun frais ni aucun
risque». Rappelons que l’introduction en Bourse de ces deux sociétés
avait fait beaucoup d’heureux parmi leurs salariés. Leurs cours avaient
doublé en l’espace de quelques mois, ce qui a permis aux employés de
vendre leurs actions avant même la fin de la durée obligatoire de
conservation des titres, c’est-à-dire en renonçant à la décote offerte
par l’employeur, et d’empocher une plus-value nette conséquente.
Cette fin heureuse ne risque pas de se produire pour les sociétés dont
nous parlons (voir tableau). Pour Atlanta, par exemple, l’échéance du
crédit accordé aux salariés arrivera en octobre 2010. Aujourd’hui, le
cours de l’action est de 87,60 DH (876 DH avant l’opération de split),
soit un niveau inférieur au prix d’introduction, même en tenant compte
de la décote offerte au personnel. Si la situation ne se redresse pas
pour la valeur d’ici octobre de l’année prochaine, les employés de la
compagnie d’assurance seront obligés de vendre à perte pour rembourser
leurs crédits. Et ils auront du mal à le faire puisque le produit de la
vente ne suffira pas pour couvrir le principal, les frais et les
intérêts.
Pour le personnel d’autres sociétés, la situation sera bien pire. Les
salariés de Microdata, qui ont acheté les actions de leur société à 768
DH, se retrouvent actuellement avec des titres qui valent 439 DH, soit
une perte potentielle de plus de 40%. Il ne leur reste plus qu’un an
pour vendre et rembourser leurs crédits, et le cours de la valeur ne
présente toujours aucun signe de redressement. Quant aux employés de la
Snep, leur perte sera probablement beaucoup plus importante, le cours
de l’action étant aujourd’hui de 490 DH alors qu’ils ont acheté à 1 125
DH.
Fait à relever, il n’existait pas de garantie de vendre au cours
d’achat pour les employés de ces entreprises, comme ce fut le cas pour
le personnel de la BMCE lors d’une opération précédente.
La faute est en partie aux actionnaires majoritaires qui ont cédé leurs titres à des prix élevés
Y a-t-il un recours pour ces centaines de salariés qui risquent de
perdre des dizaines de milliers de dirhams ? Apparemment, non. «En
signant les bulletins de souscription lors des introductions en Bourse,
ces employés, comme tous les autres souscripteurs, ont automatiquement
accepté les prix proposés. Et vu que la baisse des cours ayant suivi
les cotations résulte d’une situation de marché, ils ne peuvent se
retourner contre personne», explique un juriste.
Tout ce que ces salariés peuvent espérer est donc le redressement des
cours de leurs actions d’ici à l’échéance des crédits. Mais vu les
pronostics des analystes, la reprise n’est pas pour bientôt.
Cela dit, les dirigeants des sociétés concernées pourraient prendre des
mesures pour alléger cette perte à leur personnel, même s’ils ne sont
pas obligés de le faire d’un point de vue juridique. Tel est le cas par
exemple de Salafin qui se dit prête à aider ses salariés s’ils sont
amenés à vendre leurs actions à perte. «En temps opportun et si la
reprise n’est pas au rendez-vous, nous trouverons les mécanismes
adéquats pour satisfaire les contraintes de nos salariés», affirme
Amine Bouabid, directeur général de la société de financement. Espérons
que les autres sociétés se montreront aussi solidaires avec leurs
employés.
En tout cas, même si un investisseur en Bourse, quel qu’il soit, doit
prendre ses responsabilités et assumer ses décisions, cette baisse des
cours pour les salariés des sociétés introduites soulève une
problématique d’équité lors de l’élaboration des offres publiques de
vente. En effet, 960 DH hors décote pour les titres de Microdata ou 1
250 DH pour ceux de la Snep sont des prix d’introduction jugés trop
élevés par les analystes, même si ces derniers ne l’ont pas clamé lors
des périodes de souscription, sans doute pour des considérations
commerciales. Ceux qui ont acheté ces titres ont donc été en partie
pénalisés par les prix élevés. Ceci renvoit à la nécessité de mettre en
place une réglementation sérieuse pour encadrer l’évaluation des
entreprises candidates à la cote.
Valorisation :Les valeurs cédées à un prix correct n’ont pas déçu les salariés qui les ont achetées
Contrairement aux sociétés citées ci-haut, certaines valeurs
introduites en 2007 et 2008 ont vu leurs cours bien se porter malgré la
tendance baissière du marché boursier. Tel est le cas par exemple de la
Compagnie minière de Touissit (CMT). L’entreprise a rejoint la cote
casablancaise en juin 2008 au prix de 613 DH. Malgré toutes les
turbulences qu’a connues le marché en général et le secteur minier en
particulier, le cours de la valeur n’a pas cessé de progresser pour
atteindre aujourd’hui 900 DH. Les salariés ayant acheté les actions CMT
peuvent réaliser actuellement une plus-value de 47% hors décote s’ils
cèdent leurs titres. Un gain pour le moins réjouissant quand on voit
les pertes que risquent de subir les employés d’autres sociétés
introduites durant la même période.
Les analystes financiers sont unanimes quant à la raison de ce bon
parcours, l’action CMT a rejoint la cote à un prix correct. En effet, à
613 DH, le titre présentait des multiples boursiers intéressants, comme
un PER proche de 10. Ce qui n’était pas le cas d’autres introductions
comme celles de la Snep ou de Microdata.
CMT n’est pas la seule société à avoir été correctement valorisée.
Label’vie, introduite en juillet 2008 au prix de 1?029 DH, en tenant
compte de la décote pour salariés, résiste aussi bien à la baisse du
marché et affiche actuellement un cours de 1 125 DH
Ils
se sont endettés, pour certains à hauteur de 24 mois de salaire brut,
pour participer aux introductions en Bourse de leurs sociétés.
Dans l’euphorie de la hausse du marché, les décotes offertes et les
expériences Addoha et CGI, ils n’ont pas pensé au risque d’une baisse
des cours.
Beaucoup d’entre eux seront bientôt obligés de vendre
à perte pour rembourser leurs crédits.
C’est
un climat d’inquiétude qui règne actuellement au sein du personnel de
plusieurs entreprises cotées. Des centaines de salariés suivent
quotidiennement, et surtout avec angoisse, l’évolution du cours de
leurs sociétés, dans un marché baissier qui n’affiche aucun signe de
reprise. Avec angoisse, car ces salariés sont également actionnaires,
vu qu’ils ont participé aux opérations d’introduction en Bourse des
sociétés qui les emploient. Ils s’attendaient à se faire un petit
pécule, à l’instar des employés de certaines entreprises comme Addoha
et CGI. Là... certains pourraient, bien au contraire, perdre des sommes
conséquentes.
Elles sont à ce jour neuf sociétés à avoir rejoint la cote
casablancaise depuis 2007 et dont le cours actuel est inférieur au prix
d’achat initial des actions. Au moment de leur introduction, toutes ont
consacré une partie de leur offre à leurs salariés et collaborateurs,
dans des cas à hauteur de 3% du capital.
Le personnel de ces sociétés a souscrit avec force. Atlanta, introduite
en octobre 2007, compte 410 salariés ayant participé à son opération et
qui ont acheté plus de 150 000 actions (avant le split du capital qui a
multiplié le nombre de titres par dix). Alliances a pour sa part séduit
519 de ses collaborateurs en juillet 2008 qui ont souscrit pour 55 000
actions. Avant elle, Salafin, en décembre 2007, a attiré pour son
opération 128 de ses salariés, et la Snep, un mois plus tôt, a drainé
370 de ses employés pour 33 600 actions souscrites.
Plusieurs facteurs ont encouragé ces personnes à investir dans les
titres de leurs employeurs sans trop penser aux risques qu’ils étaient
en train de prendre. Il y a d’abord le contexte du marché boursier à
l’époque. La place casablancaise venait de clôturer l’année 2006 avec
une performance record de +71% et a démarré 2007 en force. Quasiment,
tous les titres de la cote étaient en hausse en cette période, ce qui a
fini par attirer beaucoup d’investisseurs, même les plus craintifs.
La baisse des cours a consommé les décotes offertes au départ aux salariés
Il y a ensuite les conditions de prix avantageuses que les sociétés
introduites en Bourse avaient mis en place pour leur personnel. En
effet, en plus de la décote offerte au grand public par rapport à la
valorisation théorique des actions, qui a atteint des fois les 30%, ces
entreprises ont accordé à leurs salariés des décotes supplémentaires
allant jusqu’à 20%, à condition toutefois de conserver les titres
acquis pendant une certaine durée. Par exemple, les titres Atlanta,
dont le prix grand public était de 1 200 DH, ont été cédés aux employés
à 960 DH à condition qu’ils les gardent pendant 3 ans. Les actions
d’Alliances, elles, étaient proposées aux salariés à 616,5 DH, soit 10%
de moins que le prix du public (650 DH), avec l’obligation de les
conserver pendant 2 ans.
Les conditions de financement mises en place ont également favorisé la
participations des salariés aux introductions. Toutes les sociétés ont
en effet convenu avec les banques de la place d’accorder à leur
personnel des prêts pour l’acquisition des actions. Des prêts
remboursables in fine, au moment de la cession des titres achetés,
c’est-à-dire à la fin de la durée obligatoire de conservation, avec des
taux d’intérêt d’environ 5% et des montants qui atteignent l’équivalent
de 24 mois de salaire brut.
Les employés n’avaient donc rien à débourser au départ, ce qui était
très motivant. «La quasi-totalité de ces souscripteurs a opté pour le
financement à crédit», affirme un banquier. «De plus, raconte-il, ils
étaient tous convaincus de pouvoir réaliser des gains importants comme
dans les cas d’Addoha et de la CGI, sans supporter aucun frais ni aucun
risque». Rappelons que l’introduction en Bourse de ces deux sociétés
avait fait beaucoup d’heureux parmi leurs salariés. Leurs cours avaient
doublé en l’espace de quelques mois, ce qui a permis aux employés de
vendre leurs actions avant même la fin de la durée obligatoire de
conservation des titres, c’est-à-dire en renonçant à la décote offerte
par l’employeur, et d’empocher une plus-value nette conséquente.
Cette fin heureuse ne risque pas de se produire pour les sociétés dont
nous parlons (voir tableau). Pour Atlanta, par exemple, l’échéance du
crédit accordé aux salariés arrivera en octobre 2010. Aujourd’hui, le
cours de l’action est de 87,60 DH (876 DH avant l’opération de split),
soit un niveau inférieur au prix d’introduction, même en tenant compte
de la décote offerte au personnel. Si la situation ne se redresse pas
pour la valeur d’ici octobre de l’année prochaine, les employés de la
compagnie d’assurance seront obligés de vendre à perte pour rembourser
leurs crédits. Et ils auront du mal à le faire puisque le produit de la
vente ne suffira pas pour couvrir le principal, les frais et les
intérêts.
Pour le personnel d’autres sociétés, la situation sera bien pire. Les
salariés de Microdata, qui ont acheté les actions de leur société à 768
DH, se retrouvent actuellement avec des titres qui valent 439 DH, soit
une perte potentielle de plus de 40%. Il ne leur reste plus qu’un an
pour vendre et rembourser leurs crédits, et le cours de la valeur ne
présente toujours aucun signe de redressement. Quant aux employés de la
Snep, leur perte sera probablement beaucoup plus importante, le cours
de l’action étant aujourd’hui de 490 DH alors qu’ils ont acheté à 1 125
DH.
Fait à relever, il n’existait pas de garantie de vendre au cours
d’achat pour les employés de ces entreprises, comme ce fut le cas pour
le personnel de la BMCE lors d’une opération précédente.
La faute est en partie aux actionnaires majoritaires qui ont cédé leurs titres à des prix élevés
Y a-t-il un recours pour ces centaines de salariés qui risquent de
perdre des dizaines de milliers de dirhams ? Apparemment, non. «En
signant les bulletins de souscription lors des introductions en Bourse,
ces employés, comme tous les autres souscripteurs, ont automatiquement
accepté les prix proposés. Et vu que la baisse des cours ayant suivi
les cotations résulte d’une situation de marché, ils ne peuvent se
retourner contre personne», explique un juriste.
Tout ce que ces salariés peuvent espérer est donc le redressement des
cours de leurs actions d’ici à l’échéance des crédits. Mais vu les
pronostics des analystes, la reprise n’est pas pour bientôt.
Cela dit, les dirigeants des sociétés concernées pourraient prendre des
mesures pour alléger cette perte à leur personnel, même s’ils ne sont
pas obligés de le faire d’un point de vue juridique. Tel est le cas par
exemple de Salafin qui se dit prête à aider ses salariés s’ils sont
amenés à vendre leurs actions à perte. «En temps opportun et si la
reprise n’est pas au rendez-vous, nous trouverons les mécanismes
adéquats pour satisfaire les contraintes de nos salariés», affirme
Amine Bouabid, directeur général de la société de financement. Espérons
que les autres sociétés se montreront aussi solidaires avec leurs
employés.
En tout cas, même si un investisseur en Bourse, quel qu’il soit, doit
prendre ses responsabilités et assumer ses décisions, cette baisse des
cours pour les salariés des sociétés introduites soulève une
problématique d’équité lors de l’élaboration des offres publiques de
vente. En effet, 960 DH hors décote pour les titres de Microdata ou 1
250 DH pour ceux de la Snep sont des prix d’introduction jugés trop
élevés par les analystes, même si ces derniers ne l’ont pas clamé lors
des périodes de souscription, sans doute pour des considérations
commerciales. Ceux qui ont acheté ces titres ont donc été en partie
pénalisés par les prix élevés. Ceci renvoit à la nécessité de mettre en
place une réglementation sérieuse pour encadrer l’évaluation des
entreprises candidates à la cote.
Valorisation :Les valeurs cédées à un prix correct n’ont pas déçu les salariés qui les ont achetées
Contrairement aux sociétés citées ci-haut, certaines valeurs
introduites en 2007 et 2008 ont vu leurs cours bien se porter malgré la
tendance baissière du marché boursier. Tel est le cas par exemple de la
Compagnie minière de Touissit (CMT). L’entreprise a rejoint la cote
casablancaise en juin 2008 au prix de 613 DH. Malgré toutes les
turbulences qu’a connues le marché en général et le secteur minier en
particulier, le cours de la valeur n’a pas cessé de progresser pour
atteindre aujourd’hui 900 DH. Les salariés ayant acheté les actions CMT
peuvent réaliser actuellement une plus-value de 47% hors décote s’ils
cèdent leurs titres. Un gain pour le moins réjouissant quand on voit
les pertes que risquent de subir les employés d’autres sociétés
introduites durant la même période.
Les analystes financiers sont unanimes quant à la raison de ce bon
parcours, l’action CMT a rejoint la cote à un prix correct. En effet, à
613 DH, le titre présentait des multiples boursiers intéressants, comme
un PER proche de 10. Ce qui n’était pas le cas d’autres introductions
comme celles de la Snep ou de Microdata.
CMT n’est pas la seule société à avoir été correctement valorisée.
Label’vie, introduite en juillet 2008 au prix de 1?029 DH, en tenant
compte de la décote pour salariés, résiste aussi bien à la baisse du
marché et affiche actuellement un cours de 1 125 DH
manal- Nombre de messages : 1555
Date d'inscription : 02/02/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
dublin a écrit:salamo alikom.bayn lia inchallah auj8 .festa.fi adh
C'est ce que toute la place souhaite , mais le souhait n'est pas toujours réalité.
ADH a testé à la baisse hier pour la 4ème fois la barrière des 100 , il reste théoriquement 2 tests avant de prendre une direction....théoriquement parlant.
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
MNG+ CIH
retour des acheteurs
retour des acheteurs
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
adh fa9t mn n3as.ADH GUIDE LE MASIM.C. a écrit:dublin a écrit:salamo alikom.bayn lia inchallah auj8 .festa.fi adh
C'est ce que toute la place souhaite , mais le souhait n'est pas toujours réalité.
ADH a testé à la baisse hier pour la 4ème fois la barrière des 100 , il reste théoriquement 2 tests avant de prendre une direction....théoriquement parlant.
dublin- Nombre de messages : 174
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Date d'inscription : 11/06/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
Adh on ramasse tout ce qui tombe à 100 et on passe ce qui est au dessus ...
le distributeur revient à la charge à 100 il n'a pas attendu que le cours monte, ca l'air d'un gros ptf de dubairote qui ne cherche qu'a vendre
le distributeur revient à la charge à 100 il n'a pas attendu que le cours monte, ca l'air d'un gros ptf de dubairote qui ne cherche qu'a vendre
Dernière édition par merrakchi le Jeu 3 Déc - 10:22, édité 1 fois
Invité- Invité
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
Les faiseurs de marché en mode d'économie de cartouches. Ils ne font que contrer les excès de panique du très peut de PP qui trade encore.
41 sociétés n'ont pas traité du tout à l'ouverture.
Même les PR son en mode de mise en veille. Il ne sont activés que pour stoper les dérapages sans plus.
Il ont encore 19 séances de côtation à encadrer habilement (soutient au strict minimum + maquillage de fin d'année pour certaines valeurs).
41 sociétés n'ont pas traité du tout à l'ouverture.
Même les PR son en mode de mise en veille. Il ne sont activés que pour stoper les dérapages sans plus.
Il ont encore 19 séances de côtation à encadrer habilement (soutient au strict minimum + maquillage de fin d'année pour certaines valeurs).
3P- Nombre de messages : 180
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Date d'inscription : 15/05/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
le site de la BVC est en panne ?
il affiche les donnees d'hier.
Et moi qui croyais que l'effet mouton etait fini
il affiche les donnees d'hier.
Et moi qui croyais que l'effet mouton etait fini
Dorrahim- Nombre de messages : 1871
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Localisation : Rabat PC
Date d'inscription : 12/02/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
@ MC
priere de corriger la 2eme alternative du sondage on y inserant le signe - ( moins)
priere de corriger la 2eme alternative du sondage on y inserant le signe - ( moins)
Dorrahim- Nombre de messages : 1871
Age : 44
Localisation : Rabat PC
Date d'inscription : 12/02/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
Dorrahim a écrit:le site de la BVC est en panne ?
il affiche les donnees d'hier.
Et moi qui croyais que l'effet mouton etait fini
il ont fini par se reveiller, ou est ce le phenomene du decallage de 15 minutes ?
Dorrahim- Nombre de messages : 1871
Age : 44
Localisation : Rabat PC
Date d'inscription : 12/02/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
La recommandation maladroite est étroite de ATW relative à BPC risque, en ces temps moroses, de créer une pression vendeuse artificielle pouvant créer une situation de panique.
Actuellement (10H24), on est à 2% du stop losse que ATW a recommandé. Normalement, un bon CT doit impérativement respecter son stop losse.
Actuellement (10H24), on est à 2% du stop losse que ATW a recommandé. Normalement, un bon CT doit impérativement respecter son stop losse.
3P- Nombre de messages : 180
Age : 32
Localisation : Partout
Date d'inscription : 15/05/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
WA9ILA NMCHI LKHADMA .LHOMA 50EURO OLA
dublin- Nombre de messages : 174
Age : 40
Localisation : rabat
Date d'inscription : 11/06/2009
Re: JEUDI 031209,QUE DU BROUILLARD!
dublin a écrit:WA9ILA NMCHI LKHADMA LHOMA 50 EURO OLA
wa sirrrrr
Invité- Invité
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