MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
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MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
SALAM
l'effet post-sardi s'estompe mais le mou-temps est toujours là. Les intentions des market makers ne sont pas encore claires. Certains parlent d'un rebond qui se prépare avec une portée de deux semaines surtout avec une locomotive prénommée Adoukha qui chauffe autour de 100. D'autres parlent d'un silence qui précéde une seconde tempête. Qui a tort qui a raison ? Personne ne sait..la mer est très agitée mais c'est la plus poisonneuse seulement pour les amateurs de la pêche en haute mer et les patients.
Courage..le plus dur est peut être derrière
l'effet post-sardi s'estompe mais le mou-temps est toujours là. Les intentions des market makers ne sont pas encore claires. Certains parlent d'un rebond qui se prépare avec une portée de deux semaines surtout avec une locomotive prénommée Adoukha qui chauffe autour de 100. D'autres parlent d'un silence qui précéde une seconde tempête. Qui a tort qui a raison ? Personne ne sait..la mer est très agitée mais c'est la plus poisonneuse seulement pour les amateurs de la pêche en haute mer et les patients.
Courage..le plus dur est peut être derrière
ABOUAYOUB- Nombre de messages : 1882
Age : 54
Localisation : CASA
Date d'inscription : 06/02/2009
AID MOUBAREK SAID
EXCELENT DEBUT DE JOURNEE LES AMIS
salut abouayoub.
le marche est tres delicat. UNE bonne partie des grosses capitalisations se derige vers les plus bas de 2009. les volumes sont petits, la peur du risque est a son maximum, les moins values ne font que continuees, nos poches sont vides, les fetes de fin d-annees sont de plus en plus proches...
salut abouayoub.
le marche est tres delicat. UNE bonne partie des grosses capitalisations se derige vers les plus bas de 2009. les volumes sont petits, la peur du risque est a son maximum, les moins values ne font que continuees, nos poches sont vides, les fetes de fin d-annees sont de plus en plus proches...
manal- Nombre de messages : 1555
Date d'inscription : 02/02/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Salam
Désolé de parler encore de ces perspectives sombres, maisc'est toujours utile d'essayer de comprendre.
A chauqe fois que j'essaie d'anticiper , je me rend compte que le marché fait l'inverse de mes attentes.
Pour cette fois il ya plusieurs éventualités:
-Les gens attendent ce rebond pour sortir,il se peut qu'il n y ait pas de rebond tout simplement parceque les zz peuvent pour la plupart d'entre eux supporter des moins values et enregistrer des provisions.Ce n'est pas la première fois que cela arrivera.
-Les zz pourraient faire flamber, masi à quoi cela leur servirait ?,sinon qu'à perdre de l'argent , pour soutenir des valeurs qui baisseront ensuite.
D'ailleurs ce n'est pas de leur interet de soutenir maintenant , puisqu'ils veulent encore (et toujours) ramasser pour des jours meilleurs , excépté quelques cas particuliers (BCE/CGI/FBR/CMA).
-Les pp , comme à l'accoutumée , pourraient ne pas attendre les derniers jours pour sortir , d'ailleurs cela a été fait tout au long de l'année 2008-2009 , on a vu des sorties massives et anticipées fin decembre, fin mai, fin juin.Rien ne les empechera de sortir encore une fois "avant les autres".
Le sondae d'hier aura le merite de nous montrer que 64% des pp sont "bel et bien coincée " et ne pourra certainement pas sortir (contre son gré).
25% (14+11) , pourront éventuellement sortir en essuyant des pertes +/- légeres (si vous appelez 15% du leger).
Enfin 8 % , sont des boursicoteurs à ne pas craindre.
En conclusion , 75% de boursicoteurs "hors d'état de nuire".
Souhaitons nous une agréable , mais courte coincite.
Allaho aâlam
Désolé de parler encore de ces perspectives sombres, maisc'est toujours utile d'essayer de comprendre.
A chauqe fois que j'essaie d'anticiper , je me rend compte que le marché fait l'inverse de mes attentes.
Pour cette fois il ya plusieurs éventualités:
-Les gens attendent ce rebond pour sortir,il se peut qu'il n y ait pas de rebond tout simplement parceque les zz peuvent pour la plupart d'entre eux supporter des moins values et enregistrer des provisions.Ce n'est pas la première fois que cela arrivera.
-Les zz pourraient faire flamber, masi à quoi cela leur servirait ?,sinon qu'à perdre de l'argent , pour soutenir des valeurs qui baisseront ensuite.
D'ailleurs ce n'est pas de leur interet de soutenir maintenant , puisqu'ils veulent encore (et toujours) ramasser pour des jours meilleurs , excépté quelques cas particuliers (BCE/CGI/FBR/CMA).
-Les pp , comme à l'accoutumée , pourraient ne pas attendre les derniers jours pour sortir , d'ailleurs cela a été fait tout au long de l'année 2008-2009 , on a vu des sorties massives et anticipées fin decembre, fin mai, fin juin.Rien ne les empechera de sortir encore une fois "avant les autres".
Le sondae d'hier aura le merite de nous montrer que 64% des pp sont "bel et bien coincée " et ne pourra certainement pas sortir (contre son gré).
25% (14+11) , pourront éventuellement sortir en essuyant des pertes +/- légeres (si vous appelez 15% du leger).
Enfin 8 % , sont des boursicoteurs à ne pas craindre.
En conclusion , 75% de boursicoteurs "hors d'état de nuire".
Souhaitons nous une agréable , mais courte coincite.
Allaho aâlam
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
manal a écrit:EXCELENT DEBUT DE JOURNEE LES AMIS
salut abouayoub.
le marche est tres delicat. UNE bonne partie des grosses capitalisations se derige vers les plus bas de 2009. les volumes sont petits, la peur du risque est a son maximum, les moins values ne font que continuees, nos poches sont vides, les fetes de fin d-annees sont de plus en plus proches...
SALAM MANAL
c'est très normal que les big caps dévissent après que les mid et small ont donné tout leur jus depuis des années et des mois. C'est bon signe..Maintenant, la question est de dénicher les creux là ou il y en a et d'attendre le signal ( vision optimiste bien entendu). La problématique actuelle est la suivante : les vendeurs se font de plus en plus rares mais les acheteurs aussi. Psychologie oblige..
ABOUAYOUB- Nombre de messages : 1882
Age : 54
Localisation : CASA
Date d'inscription : 06/02/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
M.C. a écrit:Salam
Désolé de parler encore de ces perspectives sombres, maisc'est toujours utile d'essayer de comprendre.
A chauqe fois que j'essaie d'anticiper , je me rend compte que le marché fait l'inverse de mes attentes.
Pour cette fois il ya plusieurs éventualités:
-Les gens attendent ce rebond pour sortir,il se peut qu'il n y ait pas de rebond tout simplement parceque les zz peuvent pour la plupart d'entre eux supporter des moins values et enregistrer des provisions.Ce n'est pas la première fois que cela arrivera.
-Les zz pourraient faire flamber, masi à quoi cela leur servirait ?,sinon qu'à perdre de l'argent , pour soutenir des valeurs qui baisseront ensuite.
D'ailleurs ce n'est pas de leur interet de soutenir maintenant , puisqu'ils veulent encore (et toujours) ramasser pour des jours meilleurs , excépté quelques cas particuliers (BCE/CGI/FBR/CMA).
-Les pp , comme à l'accoutumée , pourraient ne pas attendre les derniers jours pour sortir , d'ailleurs cela a été fait tout au long de l'année 2008-2009 , on a vu des sorties massives et anticipées fin decembre, fin mai, fin juin.Rien ne les empechera de sortir encore une fois "avant les autres".
Le sondae d'hier aura le merite de nous montrer que 64% des pp sont "bel et bien coincée " et ne pourra certainement pas sortir (contre son gré).
25% (14+11) , pourront éventuellement sortir en essuyant des pertes +/- légeres (si vous appelez 15% du leger).
Enfin 8 % , sont des boursicoteurs à ne pas craindre.
En conclusion , 75% de boursicoteurs "hors d'état de nuire".
Souhaitons nous une agréable , mais courte coincite.
Allaho aâlam
Salam
Je pense que le gros probleme : on ne comprends rien a ce qui se passe. est personne ne soutient le marche, les gros bonnets, par le biais, de notes et avis attendent un MASI a moins 10000.
manal- Nombre de messages : 1555
Date d'inscription : 02/02/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Sbah lkhir
je vois qu'il régne un pessimisme d'enfer dans le forum ce matin ...attendons lfaraj il arrive quand on l'attend le moins n'est ce pas Mr Mc
je reviens à l'article pulblié hier par l'Economiste sur la chute des recettes fiscales ce qui a attiré mon attention c'est la baisse de -20% des Recettes/TVA ce qui indique bel est bien que la consommation interne sur laquelle Mezouar compte pour soutenir l'économie est deja souffrante ... les pays développés le savent trés bien "pas de croissance sans consommation".
@Mc
ton analyse de Bce/Canni est trés logique, n'oublions pas que la volonté de CDG de mettre main basse sur CIH a couté à Bakkori son poste, ils se peut que le management a tjrs en tete le plan de s'offrir une banque ...
je vois qu'il régne un pessimisme d'enfer dans le forum ce matin ...attendons lfaraj il arrive quand on l'attend le moins n'est ce pas Mr Mc
je reviens à l'article pulblié hier par l'Economiste sur la chute des recettes fiscales ce qui a attiré mon attention c'est la baisse de -20% des Recettes/TVA ce qui indique bel est bien que la consommation interne sur laquelle Mezouar compte pour soutenir l'économie est deja souffrante ... les pays développés le savent trés bien "pas de croissance sans consommation".
@Mc
ton analyse de Bce/Canni est trés logique, n'oublions pas que la volonté de CDG de mettre main basse sur CIH a couté à Bakkori son poste, ils se peut que le management a tjrs en tete le plan de s'offrir une banque ...
Invité- Invité
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
merrakchi a écrit:Sbah lkhir
je vois qu'il régne un pessimisme d'enfer dans le forum ce matin ...attendons lfaraj il arrive quand on l'attend le moins n'est ce pas Mr Mc
je reviens à l'article pulblié hier par l'Economiste sur la chute des recettes fiscales ce qui a attiré mon attention c'est la baisse de -20% des Recettes/TVA ce qui indique bel est bien que la consommation interne sur laquelle Mezouar compte pour soutenir l'économie est deja souffrante ... les pays développés le savent trés bien "pas de croissance sans consommation"
Le pessimisme n'a jamais conduit personne au succès.
Il faut essayer de comprendre (anticiper si possible) pour tirer profit de la situation ou au moins éviter de faire massacrer.
Je crois qu'il y a déjà consensus sur la coincite (donc les gens avisés ne suiveront pas le mouvement baissier si mouvement il y a) en sachant qu'après tout crash , il y a une forte hausse.
Les baisses que nous voyons maintenant se font sur de très faibles volumes , donc sans signification.
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Message 2 :
News Valeur: Mercredi 2 Décembre
LGMC a fixé la date de détachement
de son coupon (44DH soit un
rendement de 12%) au 8 Décembre. La
date de paiement est arrêtée au 17
du même mois.
News Valeur: Mercredi 2 Décembre
LGMC a fixé la date de détachement
de son coupon (44DH soit un
rendement de 12%) au 8 Décembre. La
date de paiement est arrêtée au 17
du même mois.
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
mLE
Ca sent la magouille à la ronde
Achat Vente
Qté Cours --Cours Qté
40 362.10 --362.10 25
10 362.00 --370.00 1
25 361.05 --373.95 12
100 361.00 --379.00 10
1 000 357.15 --380.00 168
un discount de 7.9dh trés généreux ... le canni fait les mains et pieds pour casser le cours en attendant le 7-11
Ca sent la magouille à la ronde
Achat Vente
Qté Cours --Cours Qté
40 362.10 --362.10 25
10 362.00 --370.00 1
25 361.05 --373.95 12
100 361.00 --379.00 10
1 000 357.15 --380.00 168
un discount de 7.9dh trés généreux ... le canni fait les mains et pieds pour casser le cours en attendant le 7-11
Invité- Invité
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Bonjour et merci a vous trois pour vos precieuses contributions
Dorrahim- Nombre de messages : 1871
Age : 44
Localisation : Rabat PC
Date d'inscription : 12/02/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Dorrahim a écrit:Bonjour et merci a vous trois pour vos precieuses contributions
on est 4 ce matin a avoir posté
ca se voit que t'as pas encore pris ton café
Invité- Invité
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Mle -5.99% une bonne blague vive la magouille
Invité- Invité
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
@3P
Tu maintiens toujours que ce n'est pas Canni qui soutient CGI?
Alors tu te trompes....lourdement.
La réanimation est intensive 247/247.
Tu maintiens toujours que ce n'est pas Canni qui soutient CGI?
Alors tu te trompes....lourdement.
La réanimation est intensive 247/247.
Dernière édition par M.C. le Mer 2 Déc - 10:23, édité 1 fois
M.C.- Nombre de messages : 14243
Date d'inscription : 28/01/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Maroc : Sogébourse - Synthèse du marché au 01/12/2009
.La place casablancaise clôture la séance du jour sur une note négative. En effet, le MASI a régressé de -0.07% à 10 200.99 points. De même, le MADEX a perdu -0.08% à 8 259 points. Leur performance year-to-date ressort à -7.13% pour le MASI et -8.85% pour le MADEX. Par ailleurs, la capitalisation boursière de la place s’établit à 498.86 Md MAD. La volumétrie de la journée s’affiche à 128.48 MMAD sur le marché global. Notons que sur le marché central, les échanges sur les titres ALLIANCES, ATTIJARIWAFA BANK et MAROC TELECOM ont représenté 63.01% du volume global avec des flux respectifs de 41.83 MMAD, 23.16 MMAD et 20.46 MMAD. Concernant les plus fortes hausses de la journée, nous relevons le bon comportement des valeurs suivantes : PAPELERA qui a enregistré une progression de 4.77% à 143.75 MAD, suivie de CGI, DELTA HOLDING et MOX qui ont enregistré des performances respectives de 3.30%, 3.23% et 1.31% faisant ainsi progresser leurs cours respectivement à 1 720 MAD, 73.46 MAD et 189 MAD. Les variations à la baisse, quant à elles, ont concerné les valeurs : CTM qui a perdu 4.21% à 4.21 MAD, DELATTRE LEVIVIER MAROC qui a cédé 4.13% à 603 MAD, CDM qui a régressé de 3.64% à 741 MAD et enfin SCE qui a reculé de 3.52% à 326.05 MAD. (Source : Sogébourse)
.La place casablancaise clôture la séance du jour sur une note négative. En effet, le MASI a régressé de -0.07% à 10 200.99 points. De même, le MADEX a perdu -0.08% à 8 259 points. Leur performance year-to-date ressort à -7.13% pour le MASI et -8.85% pour le MADEX. Par ailleurs, la capitalisation boursière de la place s’établit à 498.86 Md MAD. La volumétrie de la journée s’affiche à 128.48 MMAD sur le marché global. Notons que sur le marché central, les échanges sur les titres ALLIANCES, ATTIJARIWAFA BANK et MAROC TELECOM ont représenté 63.01% du volume global avec des flux respectifs de 41.83 MMAD, 23.16 MMAD et 20.46 MMAD. Concernant les plus fortes hausses de la journée, nous relevons le bon comportement des valeurs suivantes : PAPELERA qui a enregistré une progression de 4.77% à 143.75 MAD, suivie de CGI, DELTA HOLDING et MOX qui ont enregistré des performances respectives de 3.30%, 3.23% et 1.31% faisant ainsi progresser leurs cours respectivement à 1 720 MAD, 73.46 MAD et 189 MAD. Les variations à la baisse, quant à elles, ont concerné les valeurs : CTM qui a perdu 4.21% à 4.21 MAD, DELATTRE LEVIVIER MAROC qui a cédé 4.13% à 603 MAD, CDM qui a régressé de 3.64% à 741 MAD et enfin SCE qui a reculé de 3.52% à 326.05 MAD. (Source : Sogébourse)
omel_27- Nombre de messages : 955
Age : 44
Localisation : Meknès
Date d'inscription : 29/04/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Maroc : Les cimentiers rassurés
.L’année devrait se terminer en légère croissance positive pour les cimentiers. Le cumul des ventes à fin novembre affiche une évolution de +2.4%. Toutefois, par rapport aux 11 premiers mois de l’année et ceux de 2008, la situation reste tendue. Le ratio a dévissé de 8.3% . (Source : L’Economiste)
.L’année devrait se terminer en légère croissance positive pour les cimentiers. Le cumul des ventes à fin novembre affiche une évolution de +2.4%. Toutefois, par rapport aux 11 premiers mois de l’année et ceux de 2008, la situation reste tendue. Le ratio a dévissé de 8.3% . (Source : L’Economiste)
omel_27- Nombre de messages : 955
Age : 44
Localisation : Meknès
Date d'inscription : 29/04/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Maroc : Legler - Enfin un plan de sauvetage !
.Ce n'est plus qu'une question de jours. L'affaire Legler Maroc connaîtra enfin son dénouement. Selon Ahmed Réda Chami, ministre du Commerce et de l'Industrie, la stratégie de sortie de crise de Legler consiste en une restructuration du capital de la fume. «Nous nous orientons vers une augmentation des fonds propres de l'entreprise, avec intégration d'une partie de ses dettes. Nous envisageons également de mettre à contribution le fonds Al Ajial. Celui-ci pourrait augmenter sa participation», annonce le ministre au Club de L'Economiste. Les tractations sont largement avancées et devraient aboutir dans les plus brefs délais. Legler Maroc s'était mis, rappelons-le, en redressement judiciaire suite à des .difficultés financières. «Connaissant bien la culture anglo-saxonne, le redressement judiciaire n'y est pas perçu comme une tare. Au contraire, il peut même donner naissance à des sociétés leaders. Mais il ne faudrait pas que les entreprises en abusent pour autant», explique Chami. Pour le cas de Legler Maroc, le constat est simple: «Il s'agit d'une entreprise qui était extrêmement endettée, avec des intérêts lourds qu'elle devait payer chaque année», poursuit Chami. En somme, une structure financière à la limite déséquilibrée, combinée à la crise économique internationale et à la dévaluation de la livre sterling et du dollar. Par ailleurs, l'on avait reproché au gouvernement Jettou d'avoir déroulé le tapis rouge devant Legler. «Le gouvernement avait une stratégie cohérente, basée sur l'idée que pour avoir un secteur du textile fort, il fallait intégrer toute la filière», rappelle Chami. Ainsi, pour aller plus loin dans l'intégration, il a fallu mettre en place des clusters pour intégrer la filière et tous les acteurs pour la renforcer. Al' époque, on parlait de «grappes». «Le gouvernement d'alors était convaincu que pour avoir une filière textile forte, il fallait intégrer aussi l'amont», poursuit Chami. Raison pour laquelle le fonds de promotion industriel et le fonds Hassan II ont financé la partie de l'investissement nécessaire à la création de Legler Maroc. Le montant de l'investissement global, conclu en 2006 entre l'italien Legler SPA et le marocain Atlantic Group, s'élevait à 1,8 milliard de DH. Le secteur bancaire a également été impliqué dans le financement. Les contributions bancaires se monteraient à quelque 1,1 milliard de DH, répartis entre BMCE, BCP et Attijariwafa bank, Aujourd'hui, pouvoirs publics et dirigeants de l'entreprise estiment que Legler devra rester en activité et repartir sur de nouvelles bases. D'ailleurs, Salaheddine Mezouar, ministre des Finances, a déjà saisi les acteurs financiers à ce sujet. Dans une déclaration accordée à L'Economiste, l'argentier du Royaume a confirmé qu'une «solution serait trouvée et que la recapitalisation des dettes en fait partie». Comme dans toute prise de participation, «il faudra d'abord auditer les comptes pour déterminer la nouvelle reconfiguration du tour de table», indique-t-on auprès de l'Association de l'industrie du textile et de l'habillement (Amith). Premier enseignement de l'affaire Legler: les difficultés financières du textilien représentent un véritable électrochoc pour l'ensemble d'une filière pourtant porteuse. En effet, le jean reste la valeur sûre du textile au Maroc. Cette filière revendique une production de 40 millions de mètres par an. (Source : L'Economiste)
.Ce n'est plus qu'une question de jours. L'affaire Legler Maroc connaîtra enfin son dénouement. Selon Ahmed Réda Chami, ministre du Commerce et de l'Industrie, la stratégie de sortie de crise de Legler consiste en une restructuration du capital de la fume. «Nous nous orientons vers une augmentation des fonds propres de l'entreprise, avec intégration d'une partie de ses dettes. Nous envisageons également de mettre à contribution le fonds Al Ajial. Celui-ci pourrait augmenter sa participation», annonce le ministre au Club de L'Economiste. Les tractations sont largement avancées et devraient aboutir dans les plus brefs délais. Legler Maroc s'était mis, rappelons-le, en redressement judiciaire suite à des .difficultés financières. «Connaissant bien la culture anglo-saxonne, le redressement judiciaire n'y est pas perçu comme une tare. Au contraire, il peut même donner naissance à des sociétés leaders. Mais il ne faudrait pas que les entreprises en abusent pour autant», explique Chami. Pour le cas de Legler Maroc, le constat est simple: «Il s'agit d'une entreprise qui était extrêmement endettée, avec des intérêts lourds qu'elle devait payer chaque année», poursuit Chami. En somme, une structure financière à la limite déséquilibrée, combinée à la crise économique internationale et à la dévaluation de la livre sterling et du dollar. Par ailleurs, l'on avait reproché au gouvernement Jettou d'avoir déroulé le tapis rouge devant Legler. «Le gouvernement avait une stratégie cohérente, basée sur l'idée que pour avoir un secteur du textile fort, il fallait intégrer toute la filière», rappelle Chami. Ainsi, pour aller plus loin dans l'intégration, il a fallu mettre en place des clusters pour intégrer la filière et tous les acteurs pour la renforcer. Al' époque, on parlait de «grappes». «Le gouvernement d'alors était convaincu que pour avoir une filière textile forte, il fallait intégrer aussi l'amont», poursuit Chami. Raison pour laquelle le fonds de promotion industriel et le fonds Hassan II ont financé la partie de l'investissement nécessaire à la création de Legler Maroc. Le montant de l'investissement global, conclu en 2006 entre l'italien Legler SPA et le marocain Atlantic Group, s'élevait à 1,8 milliard de DH. Le secteur bancaire a également été impliqué dans le financement. Les contributions bancaires se monteraient à quelque 1,1 milliard de DH, répartis entre BMCE, BCP et Attijariwafa bank, Aujourd'hui, pouvoirs publics et dirigeants de l'entreprise estiment que Legler devra rester en activité et repartir sur de nouvelles bases. D'ailleurs, Salaheddine Mezouar, ministre des Finances, a déjà saisi les acteurs financiers à ce sujet. Dans une déclaration accordée à L'Economiste, l'argentier du Royaume a confirmé qu'une «solution serait trouvée et que la recapitalisation des dettes en fait partie». Comme dans toute prise de participation, «il faudra d'abord auditer les comptes pour déterminer la nouvelle reconfiguration du tour de table», indique-t-on auprès de l'Association de l'industrie du textile et de l'habillement (Amith). Premier enseignement de l'affaire Legler: les difficultés financières du textilien représentent un véritable électrochoc pour l'ensemble d'une filière pourtant porteuse. En effet, le jean reste la valeur sûre du textile au Maroc. Cette filière revendique une production de 40 millions de mètres par an. (Source : L'Economiste)
omel_27- Nombre de messages : 955
Age : 44
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Date d'inscription : 29/04/2009
Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Maroc : Bourse - La capitalisation s’effondre
.Un marché boursier qui se cherche toujours et une capitalisation particulièrement préoccupante. C'est en substance le constat du comportement boursier de la place en novembre. Cette morosité qui perdure risque, aux dires des analystes, de s'installer sur le très court terme puisque «Casablanca reste toujours située dans un cycle baissier». Toutefois, un léger rebond technique est prévisible, en fin d'année, notamment avec les prises de bénéfices. Il n'en demeure pas moins que le trop peu de liquidités sur la place continue d'alimenter un sentiment d'incertitude et une certaine méfiance des investisseurs. La défaillance de l'Emirat de Dubaï n'est pas là pour arranger les choses. Preuve en est: une capitalisation qui s'effondre. Elle s'érode en 19 séances boursières de plus de 26 milliards de DH, pour s'établir au 30 novembre à 498,9 milliards. Sur ce total, quatre valeurs accaparent un peu moins de la moitié de la valorisation du marché. Il s'agit en premier plan d'Itissalat Al Maghrib qui s'adjuge plus de 119 milliards de DH (23,87%). Attijariwafa bank vient en seconde place avec 45 milliards de DH (9,06%). Occupant le troisième rang. BMCE Bank s'octroie pour sa part 34,9 milliards (7%). A la quatrième place CGI .s'assure près de 30,6 milliards (6,14%). Dans cette tendance baissière générale, les indices ont observé une certaine torpeur au cours de ce mois de novembre. En effet, l'indicateur de toutes les valeurs a terminé le mois sur une grosse contre-performance (-5.26%) à 10.208,45 points. Pis encore pour le baromètre des titres les plus actifs qui s'est, à son tour, affaissé de 5,55% à 8.265,20 points. Partant, leurs pertes annuelles ne cessent de se creuser respectivement à -7,06% pour le Masi et -8,78% pour le Madex. Côté physionomie, le marché a traité, en novembre, 19.342 transactions pour un total de 9,83 millions de titres, soit des reculs respectifs par rapport à octobre estimés à près de 7,55 et 72,1%. En dépit de tous ces replis, le flux transactionnel global du mois s'est tout de même apprécié de 1,7 milliard de DH, pour se fixer à un peu plus de 7,7 milliards de DH. Toutefois, à signaler que cette augmentation a globalement été drainée par les transactions sur les obligations. Au registre de l'activité des valeurs, BMCE Bank se place en tête avec un volume de 1,1 milliard de DH (24,39% du marché). Le titre recule toutefois de près de 10,02% à 220 DH. Itissalat Al Maghrib et Addoha sont second et troisième, avec des flux respectifs de 624,23 et 549,27 millions de DH. Ces valeurs ont cependant terminé le mois sans relief à 142,20 DH (-4,71%) pour l'opérateur historique et à 114,45 DH (-11,75%) pour l'immobilière. (Source : L'Economiste)
.Un marché boursier qui se cherche toujours et une capitalisation particulièrement préoccupante. C'est en substance le constat du comportement boursier de la place en novembre. Cette morosité qui perdure risque, aux dires des analystes, de s'installer sur le très court terme puisque «Casablanca reste toujours située dans un cycle baissier». Toutefois, un léger rebond technique est prévisible, en fin d'année, notamment avec les prises de bénéfices. Il n'en demeure pas moins que le trop peu de liquidités sur la place continue d'alimenter un sentiment d'incertitude et une certaine méfiance des investisseurs. La défaillance de l'Emirat de Dubaï n'est pas là pour arranger les choses. Preuve en est: une capitalisation qui s'effondre. Elle s'érode en 19 séances boursières de plus de 26 milliards de DH, pour s'établir au 30 novembre à 498,9 milliards. Sur ce total, quatre valeurs accaparent un peu moins de la moitié de la valorisation du marché. Il s'agit en premier plan d'Itissalat Al Maghrib qui s'adjuge plus de 119 milliards de DH (23,87%). Attijariwafa bank vient en seconde place avec 45 milliards de DH (9,06%). Occupant le troisième rang. BMCE Bank s'octroie pour sa part 34,9 milliards (7%). A la quatrième place CGI .s'assure près de 30,6 milliards (6,14%). Dans cette tendance baissière générale, les indices ont observé une certaine torpeur au cours de ce mois de novembre. En effet, l'indicateur de toutes les valeurs a terminé le mois sur une grosse contre-performance (-5.26%) à 10.208,45 points. Pis encore pour le baromètre des titres les plus actifs qui s'est, à son tour, affaissé de 5,55% à 8.265,20 points. Partant, leurs pertes annuelles ne cessent de se creuser respectivement à -7,06% pour le Masi et -8,78% pour le Madex. Côté physionomie, le marché a traité, en novembre, 19.342 transactions pour un total de 9,83 millions de titres, soit des reculs respectifs par rapport à octobre estimés à près de 7,55 et 72,1%. En dépit de tous ces replis, le flux transactionnel global du mois s'est tout de même apprécié de 1,7 milliard de DH, pour se fixer à un peu plus de 7,7 milliards de DH. Toutefois, à signaler que cette augmentation a globalement été drainée par les transactions sur les obligations. Au registre de l'activité des valeurs, BMCE Bank se place en tête avec un volume de 1,1 milliard de DH (24,39% du marché). Le titre recule toutefois de près de 10,02% à 220 DH. Itissalat Al Maghrib et Addoha sont second et troisième, avec des flux respectifs de 624,23 et 549,27 millions de DH. Ces valeurs ont cependant terminé le mois sans relief à 142,20 DH (-4,71%) pour l'opérateur historique et à 114,45 DH (-11,75%) pour l'immobilière. (Source : L'Economiste)
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Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Maroc : La Bourse voit toujours rouge !
.A Bourse poursuit sur sa tendance baissière. Les indices clôturent, ainsi, la séance en léger recul, même s'ils ont passé la majeure partie de la journée dans le vert. Par conséquent l'indicateur de toutes les valeurs s'effrite de -0,07% à 10.200,99 points. Dans une même proportion, le baromètre des titres les plus liquides termine sur un petit -0,08% à 8.259 points. Partant, les contre- performances annuelles se creusent à -7,13% pour le Masi et -8,85% pour le Madex. Mais la capitalisation se fixe, elle, à 498,8 milliards de DH. Côté variation, le classement des plus fortes hausses est dominé par Papelera de Tetuan qui se bonifie de 4,77% à 143,75 DH. CGI est second avec une performance de 3,30% à 1.720 DH. Delta Holding n'est pas en reste. Le titre progresse de 3,23% à 73,46 DH. Maghreb Oxygène et Snep ferment la marche respectivement avec 1,31% à 189 DH et 1,23% à 489,95 DH. A l'inverse, au palmarès des plus fortes baisses, on retrouve CTM qui se déleste de 4,21 % à 268,20 DH. Elle est suivie de Delattre Levivier qui régresse de 4,13% à 603 DH. Troisième Crédit du Maroc perd 3,64% à 741 DH. Enfin SCE et Médiaco se replient de 3,52% à 326,05 DH et 3,42% à 179,50 DH. Au niveau de la physionomie, le marché n'a traité que 42 valeurs lors de cette journée. Dans ce total, 12 titres progressent, 24 régressent et 6 stagnent, ce qui n'arrange en rien le niveau de volume. Un flux transactionnel qui s'affaiblit pour s'établir à 128 millions de DH. Les valeurs à la une sont alliances Développement (41 millions de DH), Attijariwafa bank (23 millions de DH) et IAM (20 millions de DH). (Source : L'Economiste)
.A Bourse poursuit sur sa tendance baissière. Les indices clôturent, ainsi, la séance en léger recul, même s'ils ont passé la majeure partie de la journée dans le vert. Par conséquent l'indicateur de toutes les valeurs s'effrite de -0,07% à 10.200,99 points. Dans une même proportion, le baromètre des titres les plus liquides termine sur un petit -0,08% à 8.259 points. Partant, les contre- performances annuelles se creusent à -7,13% pour le Masi et -8,85% pour le Madex. Mais la capitalisation se fixe, elle, à 498,8 milliards de DH. Côté variation, le classement des plus fortes hausses est dominé par Papelera de Tetuan qui se bonifie de 4,77% à 143,75 DH. CGI est second avec une performance de 3,30% à 1.720 DH. Delta Holding n'est pas en reste. Le titre progresse de 3,23% à 73,46 DH. Maghreb Oxygène et Snep ferment la marche respectivement avec 1,31% à 189 DH et 1,23% à 489,95 DH. A l'inverse, au palmarès des plus fortes baisses, on retrouve CTM qui se déleste de 4,21 % à 268,20 DH. Elle est suivie de Delattre Levivier qui régresse de 4,13% à 603 DH. Troisième Crédit du Maroc perd 3,64% à 741 DH. Enfin SCE et Médiaco se replient de 3,52% à 326,05 DH et 3,42% à 179,50 DH. Au niveau de la physionomie, le marché n'a traité que 42 valeurs lors de cette journée. Dans ce total, 12 titres progressent, 24 régressent et 6 stagnent, ce qui n'arrange en rien le niveau de volume. Un flux transactionnel qui s'affaiblit pour s'établir à 128 millions de DH. Les valeurs à la une sont alliances Développement (41 millions de DH), Attijariwafa bank (23 millions de DH) et IAM (20 millions de DH). (Source : L'Economiste)
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Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
BONJOUR
je viens de voir le résultat du sandage d'hier
c'est pas la joie
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c'est pas la joie
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Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Maroc : La capitalisation boursière perd 25 milliards de DH en un mois
.La Bourse de Casablanca clôture le mois de novembre avec des indices en retrait et des performances annuelles en baisse. En effet, le Masi se déleste de 5,26% à 10.208,45 points tandis que le Madex perd 5,55 % à 8.265,20 points. En conséquence, leurs pertes annuelles se creusent à - 7,06% pour le Masi et à -8,78% pour le Madex. Pour sa part, la capitalisation boursière perd 25 milliards de DH en un mois et s'établit à 498,9 milliards de DH. Le flux transactionnel du mois se monte à 7,74 milliards de DH, dont 4,5 milliards de DH en actions et 3,14 milliards de DH en obligations, brassé sur le Marché Central. Le Marché de Blocs, quant à lui, a drainé 34 millions de DH durant ce mois. Au terme des 19 séances écoulées, Involys s'adjuge la première position parmi les plus fortes hausses mensuelles avec une variation de 34,32% à 200 DH. Matel PC Market progresse de 12,28% à 358,80 DH et Ciments du Maroc gagne, quant à elle, 10,76% à 1.750 DH. A l'opposé, Managem s'effrite de 14,61 % à 228 DH. Dans une moindre mesure, CGI se défait de 11,81 % à 1.665 DH. Enfin, Douja Promotion se replie de 11,75 % à 101 DH. Par ailleurs, durant ce mois BMCE Bank, Maroc Telecom et Douja Promotion sont les valeurs les plus actives, accaparant conjointement plus de 50% du négoce global avec des flux respectifs de 1,1 milliard de DH, 624 millions de DH et 549 millions. Au palmarès des plus fortes capitalisations de ce mois, Maroc Telecom accapare 23,87%, soit 119 milliards de DH. Elle est suivie de loin par Attijariwafa bank et BMCE Bank, qui affichent une capitalisation de 45 milliards et 34 milliards de DH respectivement avec des parts de 9,06 et 7%. Pour ce qui est des compartiments en hausse, le secteur des boissons semble bénéficier d'une conjoncture économique favorable, enregistrant une progression de 3,66% à 16 597,60 DH et une performance annuelle de 100,24%. (Source : Le Soir Eco)
.La Bourse de Casablanca clôture le mois de novembre avec des indices en retrait et des performances annuelles en baisse. En effet, le Masi se déleste de 5,26% à 10.208,45 points tandis que le Madex perd 5,55 % à 8.265,20 points. En conséquence, leurs pertes annuelles se creusent à - 7,06% pour le Masi et à -8,78% pour le Madex. Pour sa part, la capitalisation boursière perd 25 milliards de DH en un mois et s'établit à 498,9 milliards de DH. Le flux transactionnel du mois se monte à 7,74 milliards de DH, dont 4,5 milliards de DH en actions et 3,14 milliards de DH en obligations, brassé sur le Marché Central. Le Marché de Blocs, quant à lui, a drainé 34 millions de DH durant ce mois. Au terme des 19 séances écoulées, Involys s'adjuge la première position parmi les plus fortes hausses mensuelles avec une variation de 34,32% à 200 DH. Matel PC Market progresse de 12,28% à 358,80 DH et Ciments du Maroc gagne, quant à elle, 10,76% à 1.750 DH. A l'opposé, Managem s'effrite de 14,61 % à 228 DH. Dans une moindre mesure, CGI se défait de 11,81 % à 1.665 DH. Enfin, Douja Promotion se replie de 11,75 % à 101 DH. Par ailleurs, durant ce mois BMCE Bank, Maroc Telecom et Douja Promotion sont les valeurs les plus actives, accaparant conjointement plus de 50% du négoce global avec des flux respectifs de 1,1 milliard de DH, 624 millions de DH et 549 millions. Au palmarès des plus fortes capitalisations de ce mois, Maroc Telecom accapare 23,87%, soit 119 milliards de DH. Elle est suivie de loin par Attijariwafa bank et BMCE Bank, qui affichent une capitalisation de 45 milliards et 34 milliards de DH respectivement avec des parts de 9,06 et 7%. Pour ce qui est des compartiments en hausse, le secteur des boissons semble bénéficier d'une conjoncture économique favorable, enregistrant une progression de 3,66% à 16 597,60 DH et une performance annuelle de 100,24%. (Source : Le Soir Eco)
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Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
M.C. a écrit:@3P
Tu maintiens touours que ce n'est pas Canni qui soutient CGI?
Alors tu te trompes....lourdement.
La réanimation est intensive 247/247.
@Mc
c ki les promoteurs qui ont invité les actrices de "desprate housewives" & "sex in the city"
les desprate wives à la rescousse des desprate promoteurs
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Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Maroc : Le crédit à la consommation se maintient difficilement
.Le marché des crédits à la consommation commence à laisser paraître quelques signes d'essoufflement. Est-ce ce qui motive la visite du wali de Bank Al Maghrib aux locaux de l'Association professionnelle des sociétés de financement (APSF)? C'est en effet la première fois que Abdellatif Jouahri présidera le conseil d'administration de cette association professionnelle devant se tenir demain jeudi et qui sera l'occasion pour les professionnels de débattre de la situation du secteur. Bien que l'encours de ces crédits s'élève à 38,5 milliards de DH à fin septembre 2009, soit une progression de l 6,4% par rapport à la même période en 2008, des professionnels estiment que le marché est pénalisé par certaines mesures qui privent les établissements de crédit d'une clientèle potentielle non négligeable. Première cible impactée: les fonctionnaires. Alors que ces derniers pouvaient contracter un crédit à condition de ne pas descendre sous le seuil de 1000 DH, hors allocations familiales, ce seuil a été revu à la hausse pour atteindre 1500 DH, suite à une décision de la Trésorerie générale du royaume. «Avant, nous pouvions accorder des crédits à des personnes dont le revenu ne dépassait pas les 1500 DH. Maintenant, les établissements de crédit sont privés de cette clientèle, bien qu'elle dispose tout de même d'une capacité de remboursement de 500 DH» déplore Younes Tahiti, responsable de la direction des contrôles des risques au sein d'Eqdom. Même constat pour les crédits auto. Une progression de 9,8% a été réalisée à fin septembre 2009, pour un encours supérieur à 13 milliards de DH Bien que la performance soit positive, ce résultat inquiète quelque peu les professionnels. Certains y voient les signes précurseurs de la saturation du marché automobile. Cependant, d'autres imputent la « mollesse» du marché à la majoration de la TVA sur la location avec option d'achat (LOA). Une hausse qui va du simple au double puisque la TVA est passée de 10 à 20%. Et la crise dans tout cela? Les crédits à la consommation auraient-ils été épargnés ? « Il est certain que notre secteur en a pâtit», nous précise Y. Tahiri. « La majoration de la TVA a certes eu un impact négatif sur l’encours des crédits auto, mais les effets de la crise se sont aussi fait ressentir » Pour illustrer les propos du responsable de la direction des contrôles des risques d'Eqdom, l'exemple le plus frappant concerne les crédits pour équipements domestiques et autres crédits (hors prêts personnels). A fin septembre 2009, l’encours de ces crédits n'a pas dépassé 1,139 milliards de DH, accusant ainsi un repli de 27,2%. Un résultat négatif qui confirme que la crise mondiale n'a pas épargné le Maroc, malgré des discours officiels se voulant rassurants. La réunion de Abdellatif Jouahri avec l'APSF sera peut-être l'occasion de donner un second souffle au secteur. Elle permettra aux professionnels de se montrer proactifs avant que la situation ne se dégrade vraiment En effet, la fermeture voire la faillite de plusieurs unités de production a eu de facto un impact négatif sur les créances en souffrance. Des milliers de salariés s'étant retrouvés du jour au lendemain sans ressources, et donc dans l'incapacité d'honorer leurs traites. Autant de dossiers que les établissements de crédit pourront consulter sur la centrale des risques, quand elle sera à 100 opérationnelle en janvier 2010. La centrale présenterait encore des bugs, d'après les professionnels. Toutefois, ces derniers s'étonnent du coût de la consultation des dossiers. «Chaque consultation est facturée en moyenne entre 12 et 18 DH. Vous imaginez le surcoût que cela engendre pour un établissement qui gère des milliers de dossiers ? C’est une option qui n'est pas réaliste»• Pour Younès Tahiri, il faut réfléchir d'urgence à des mesures qui empêcheraient le secteur du crédit à la consommation de sombrer dans le marasme, tant qu'il est encore temps. (Source : Les Echos)
.Le marché des crédits à la consommation commence à laisser paraître quelques signes d'essoufflement. Est-ce ce qui motive la visite du wali de Bank Al Maghrib aux locaux de l'Association professionnelle des sociétés de financement (APSF)? C'est en effet la première fois que Abdellatif Jouahri présidera le conseil d'administration de cette association professionnelle devant se tenir demain jeudi et qui sera l'occasion pour les professionnels de débattre de la situation du secteur. Bien que l'encours de ces crédits s'élève à 38,5 milliards de DH à fin septembre 2009, soit une progression de l 6,4% par rapport à la même période en 2008, des professionnels estiment que le marché est pénalisé par certaines mesures qui privent les établissements de crédit d'une clientèle potentielle non négligeable. Première cible impactée: les fonctionnaires. Alors que ces derniers pouvaient contracter un crédit à condition de ne pas descendre sous le seuil de 1000 DH, hors allocations familiales, ce seuil a été revu à la hausse pour atteindre 1500 DH, suite à une décision de la Trésorerie générale du royaume. «Avant, nous pouvions accorder des crédits à des personnes dont le revenu ne dépassait pas les 1500 DH. Maintenant, les établissements de crédit sont privés de cette clientèle, bien qu'elle dispose tout de même d'une capacité de remboursement de 500 DH» déplore Younes Tahiti, responsable de la direction des contrôles des risques au sein d'Eqdom. Même constat pour les crédits auto. Une progression de 9,8% a été réalisée à fin septembre 2009, pour un encours supérieur à 13 milliards de DH Bien que la performance soit positive, ce résultat inquiète quelque peu les professionnels. Certains y voient les signes précurseurs de la saturation du marché automobile. Cependant, d'autres imputent la « mollesse» du marché à la majoration de la TVA sur la location avec option d'achat (LOA). Une hausse qui va du simple au double puisque la TVA est passée de 10 à 20%. Et la crise dans tout cela? Les crédits à la consommation auraient-ils été épargnés ? « Il est certain que notre secteur en a pâtit», nous précise Y. Tahiri. « La majoration de la TVA a certes eu un impact négatif sur l’encours des crédits auto, mais les effets de la crise se sont aussi fait ressentir » Pour illustrer les propos du responsable de la direction des contrôles des risques d'Eqdom, l'exemple le plus frappant concerne les crédits pour équipements domestiques et autres crédits (hors prêts personnels). A fin septembre 2009, l’encours de ces crédits n'a pas dépassé 1,139 milliards de DH, accusant ainsi un repli de 27,2%. Un résultat négatif qui confirme que la crise mondiale n'a pas épargné le Maroc, malgré des discours officiels se voulant rassurants. La réunion de Abdellatif Jouahri avec l'APSF sera peut-être l'occasion de donner un second souffle au secteur. Elle permettra aux professionnels de se montrer proactifs avant que la situation ne se dégrade vraiment En effet, la fermeture voire la faillite de plusieurs unités de production a eu de facto un impact négatif sur les créances en souffrance. Des milliers de salariés s'étant retrouvés du jour au lendemain sans ressources, et donc dans l'incapacité d'honorer leurs traites. Autant de dossiers que les établissements de crédit pourront consulter sur la centrale des risques, quand elle sera à 100 opérationnelle en janvier 2010. La centrale présenterait encore des bugs, d'après les professionnels. Toutefois, ces derniers s'étonnent du coût de la consultation des dossiers. «Chaque consultation est facturée en moyenne entre 12 et 18 DH. Vous imaginez le surcoût que cela engendre pour un établissement qui gère des milliers de dossiers ? C’est une option qui n'est pas réaliste»• Pour Younès Tahiri, il faut réfléchir d'urgence à des mesures qui empêcheraient le secteur du crédit à la consommation de sombrer dans le marasme, tant qu'il est encore temps. (Source : Les Echos)
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Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
Maroc : 2 MMDH pour soutenir les PME
.Trois conventions ont été signées hier à Rabat, en présence du chef du gouvernement, Abbas El Fassi. Ces dernières portent sur la mise en place de plateformes de rating conventionnées entre le Ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, et la Banque Centrale Populaire, BMCE Bank et Attijariwafa Bank. Ces conventions visent la mise en place par les trois banques de plateformes de notation interne, qui permettront une évaluation des performances annuelles des entreprises se basant sur une approche quantitative et qualitative. Cette plateforme permettra aussi à l'Etat d'utiliser des résultats de la notation comme référence pour un meilleur accompagnement des PME à travers les programmes Imtiaz et Moussanada. Par ailleurs, les trois conventions de partenariat entre l'Agence Nationale pour la Promotion de la PME (ANPME) et chacune des trois banques partenaires, ont été ratifiées pour la mise en œuvre des programmes Imtiaz et Moussanada. Ce dernier est composé de programmes d'accompagnement pour la mise à niveau de la PME, il vise aussi à améliorer la productivité de 500 PME par an et à renforcer leurs facteurs de compétitivité en termes notamment de coût, de délai et de qualité lmtiaz est, quant à lui, un appui financier de l'Etat sous forme d'une prime d'investissement permettant de concrétiser un projet de développement. Une cinquantaine d'entreprises seront retenues chaque année pour bénéficier du Programme Imtiaz. L'objectif de ces accords est de définir le cadre de partenariat pour l'accompagnement des entreprises candidates aux programmes Imtiaz et Moussanada. Ces conventions s'inscrivent dans le cadre de l'opérationnalisation des mesures du Pacte National pour l'Emergence Industrielle (PNEI), signé en février 2009 L'Etat s'est engagé aussi à injecter plus de 2 milliards de Dirhams sur la période 2009-2015 pour les dispositifs d'aide aux PME. Selon Ahmed Reda Chami, ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, qui s'exprimait lors du point de presse qui a suivi la signature des conventions: «la PME tient une place importante dans le tissu économique marocain avec plus de 95% des entreprises. Ce tissu de PME est fragile, fragmenté et globalement figé avec une capacité d'investissement limitée». L'accès au financement reste difficile pour les PME qui soufrent d'une sous-capitalisation et d'un niveau d'endettement élevé, a souligné le ministre. Il faut signaler aussi que plus de 90% des entreprises marocaines ont un CA inférieur à 50 Millions de Dirhams. (Source : Les Echos)
.Trois conventions ont été signées hier à Rabat, en présence du chef du gouvernement, Abbas El Fassi. Ces dernières portent sur la mise en place de plateformes de rating conventionnées entre le Ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies, et la Banque Centrale Populaire, BMCE Bank et Attijariwafa Bank. Ces conventions visent la mise en place par les trois banques de plateformes de notation interne, qui permettront une évaluation des performances annuelles des entreprises se basant sur une approche quantitative et qualitative. Cette plateforme permettra aussi à l'Etat d'utiliser des résultats de la notation comme référence pour un meilleur accompagnement des PME à travers les programmes Imtiaz et Moussanada. Par ailleurs, les trois conventions de partenariat entre l'Agence Nationale pour la Promotion de la PME (ANPME) et chacune des trois banques partenaires, ont été ratifiées pour la mise en œuvre des programmes Imtiaz et Moussanada. Ce dernier est composé de programmes d'accompagnement pour la mise à niveau de la PME, il vise aussi à améliorer la productivité de 500 PME par an et à renforcer leurs facteurs de compétitivité en termes notamment de coût, de délai et de qualité lmtiaz est, quant à lui, un appui financier de l'Etat sous forme d'une prime d'investissement permettant de concrétiser un projet de développement. Une cinquantaine d'entreprises seront retenues chaque année pour bénéficier du Programme Imtiaz. L'objectif de ces accords est de définir le cadre de partenariat pour l'accompagnement des entreprises candidates aux programmes Imtiaz et Moussanada. Ces conventions s'inscrivent dans le cadre de l'opérationnalisation des mesures du Pacte National pour l'Emergence Industrielle (PNEI), signé en février 2009 L'Etat s'est engagé aussi à injecter plus de 2 milliards de Dirhams sur la période 2009-2015 pour les dispositifs d'aide aux PME. Selon Ahmed Reda Chami, ministre de l'Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, qui s'exprimait lors du point de presse qui a suivi la signature des conventions: «la PME tient une place importante dans le tissu économique marocain avec plus de 95% des entreprises. Ce tissu de PME est fragile, fragmenté et globalement figé avec une capacité d'investissement limitée». L'accès au financement reste difficile pour les PME qui soufrent d'une sous-capitalisation et d'un niveau d'endettement élevé, a souligné le ministre. Il faut signaler aussi que plus de 90% des entreprises marocaines ont un CA inférieur à 50 Millions de Dirhams. (Source : Les Echos)
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Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
merrakchi a écrit:M.C. a écrit:@3P
Tu maintiens touours que ce n'est pas Canni qui soutient CGI?
Alors tu te trompes....lourdement.
La réanimation est intensive 247/247.
@Mc
c ki les promoteurs qui ont invité les actrices de "desprate housewives" & "sex in the city"
les desprate wives à la rescousse des desprate promoteurs
groupe palmeraie developpement ( berrada)
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Re: MERCREDI 02 DECEMBRE : Après le mouton, toujours le mou-temps..?
y a rien a mettre sous la dent
c'est le calme plat
a 15h25 bye
c'est le calme plat
a 15h25 bye
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