Vendredi 161009, journée d'espoir
+29
hamidou
Azzam
AKEL
marzouk
dublin
haakoo
pedro0502
elgeronimo7
Axyz
sousou
iabs
hanane
Dorrahim
cbourse
ABOUAYOUB
Mohamed amine
Joha
Bamoulay
abdel01s
omra
adil79
Yang
belk
lecteur
BOURSICOT
dri maji
Minoucha
bringlla
safari
33 participants
Club privé de la Bourse de Casablanca - Forum By Moulchkara :: Espace opportunistes et spéculateurs (DAY & SWING TRADERS) :: Séances boursières quotidiennes
Page 5 sur 7
Page 5 sur 7 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Vendredi 161009, journée d'espoir
Rappel du premier message :
sbah lkhir
hier le masi a testé une résistance pour la troisième fois depuis le 19/08(10988), 23/09(10980) et hier 10988 nous restons optimiste pour espèrer la poursuite du mouvement pour les raisons invoquées hier .. pp tenez bon.
concernant la taxe sur les produits mobiliers je confirme voila un extrait de l'économiste :
"Le projet introduit également l’uniformisation de l’imposition en cas de taxation d’office en matière de profits de capitaux mobiliers. L’imposition de 20% du prix de cession sera retenue" l'economiste édition du 141009.
sauf que jusqu'a présent la taxe ne frappe pas le prix de cession mais la plus value dégagée ... si on se met à etre taxé juste sur la vente alors là c'est le comble.
sbah lkhir
hier le masi a testé une résistance pour la troisième fois depuis le 19/08(10988), 23/09(10980) et hier 10988 nous restons optimiste pour espèrer la poursuite du mouvement pour les raisons invoquées hier .. pp tenez bon.
concernant la taxe sur les produits mobiliers je confirme voila un extrait de l'économiste :
"Le projet introduit également l’uniformisation de l’imposition en cas de taxation d’office en matière de profits de capitaux mobiliers. L’imposition de 20% du prix de cession sera retenue" l'economiste édition du 141009.
sauf que jusqu'a présent la taxe ne frappe pas le prix de cession mais la plus value dégagée ... si on se met à etre taxé juste sur la vente alors là c'est le comble.
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
VENTRES .....el karchpedro0502 a écrit:OU BIEN DES ACHAT ENORMEfff a écrit:ça sent les gros ventres après les opérations sur ADI,ADH, MNG....
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
fff a écrit:VENTRES .....el karchpedro0502 a écrit:OU BIEN DES ACHAT ENORMEfff a écrit:ça sent les gros ventres après les opérations sur ADI,ADH, MNG....
+1
ABOUAYOUB- Nombre de messages : 1882
Age : 54
Localisation : CASA
Date d'inscription : 06/02/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
fff a écrit:co en profoudeur de MNG?
Achat Vente
Qté Cours Cours Qté
29 259.20 264.95 10
150 259.00 264.95 8
50 258.50 265.00 83
1 258.10 265.00 200
10 258.00 265.00 5
20 258.00 266.00 1
100 258.00 266.00 15
10 257.10 267.00 3
150 257.00 267.00 5
15 256.40 268.00 50
1 256.35 268.00 5
150 256.00 268.00 5
100 255.25 268.95 10
2 255.20 269.00 90
500 255.00 269.00 297
100 254.00 269.00 5
4 253.45 269.00 9
4 253.40 269.50 200
50 253.40 269.90 40
1 000 253.30 269.95 100
500 253.00 270.00 6
5 253.00 270.00 5
120 252.00 270.00 130
500 252.00 270.00 1
100 252.00 272.00 7
20 251.50 272.00 5
100 251.25 274.00 299
100 251.20 274.95 200
40 251.10 275.00 372
110 251.10 275.00 256
ABOUAYOUB- Nombre de messages : 1882
Age : 54
Localisation : CASA
Date d'inscription : 06/02/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
que pensez vous pour ADH
dublin- Nombre de messages : 174
Age : 40
Localisation : rabat
Date d'inscription : 11/06/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
ABOUAYOUB a écrit:fff a écrit:co en profoudeur de MNG?
Achat Vente
Qté Cours Cours Qté
29 259.20 264.95 10
150 259.00 264.95 8
50 258.50 265.00 83
1 258.10 265.00 200
10 258.00 265.00 5
20 258.00 266.00 1
100 258.00 266.00 15
10 257.10 267.00 3
150 257.00 267.00 5
15 256.40 268.00 50
1 256.35 268.00 5
150 256.00 268.00 5
100 255.25 268.95 10
2 255.20 269.00 90
500 255.00 269.00 297
100 254.00 269.00 5
4 253.45 269.00 9
4 253.40 269.50 200
50 253.40 269.90 40
1 000 253.30 269.95 100
500 253.00 270.00 6
5 253.00 270.00 5
120 252.00 270.00 130
500 252.00 270.00 1
100 252.00 272.00 7
20 251.50 272.00 5
100 251.25 274.00 299
100 251.20 274.95 200
40 251.10 275.00 372
110 251.10 275.00 256
merci
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
Budget 2010
Privatisation: Une dizaine d’entreprises sur la liste
· Il s’agit notamment de Marsa Maroc et de Maroc Telecom
· Depuis 1993, 107 opérations ont généré 87,6 milliards de DH
4 milliards de dirhams. C’est le montant attendu des privatisations. Le processus sera relancé durant 2010. Crise économique oblige, celles-ci ont été stoppées en 2009, une période durant laquelle aucune entreprise publique n’a été cédée ni en totalité ni en partie.
Selon des responsables au ministère des Finances, l’année 2010 serait propice aux privatisations puisque les opportunités existent toujours et les signes de reprise sont perceptibles. De plus, le marché boursier de Casablanca a été à l’abri des grandes turbulences.
Au total, dix sociétés sont sur la liste des entreprises à privatiser. Certaines comme la Société des sels de Mohammédia (ndlr: des investisseurs ont déjà manifesté leur intérêt), la Société chérifienne des sels ou encore la Cotef, ont bouclé leur audit et évaluation. D’autres comme Sococharbo et Biopharma ou encore la Sonacos sont toujours en cours d’audit. Sur la liste des privatisables l’on retrouve aussi Maroc Telecom, dans laquelle l’Etat détient encore 30% du capital, et Marsa Maroc. La banque d’affaires sera connue d’ici la fin de l’année.
Généralement, le processus nécessite du temps, car, avant de procéder à toute opération de privatisation certaines procédures sont nécessaires. La première étape à franchir est le pré-transfert durant lequel l’audit et l’évaluation de la société sont menés. Le schéma de transfert et le prix minimum de cession sont fixés à ce moment. Vient par la suite l’étape du transfert proprement dit. Celui-ci s’opère via un appel d’offres ou via le marché financier à travers une offre publique de vente ou par une attribution directe. Tout dépend de l’entreprise. Dans le cas d’activités sensibles, l’Etat peut choisir de garder le contrôle et ouvrir une partie du capital seulement. Salaheddine Mezouar, ministre de l’Economie et des Finances, pencherait pour cette option.
L’opération de privatisation ne s’arrête pas au transfert, un suivi est réalisé sur une durée de 5 à 10 ans. Il permet de contrôler les engagements contractuels de l’acquéreur en matière notamment d’investissements et de sauvegarde de l’emploi.
Sur les 15 dernières années, soit depuis 1993, 47 sociétés et 26 établissements hôteliers ont été transférés au secteur privé et ce, à travers 107 opérations de privatisation. Ce qui a engendré une manne de plus de 87,6 milliards de dirhams. Le pic est enregistré en 2001 avec 23,3 milliards de dirhams. Ce qui correspond à la cession de 35% de Maroc Telecom à Vivendi Universal. Un deuxième pic est également constaté en 2003 avec des recettes qui ont totalisé 14,1 milliards de dirhams. A l’origine, la cession de 80% du capital de la Régie des Tabacs à Altadis.
Khadija MASMOUDI
Privatisation: Une dizaine d’entreprises sur la liste
· Il s’agit notamment de Marsa Maroc et de Maroc Telecom
· Depuis 1993, 107 opérations ont généré 87,6 milliards de DH
4 milliards de dirhams. C’est le montant attendu des privatisations. Le processus sera relancé durant 2010. Crise économique oblige, celles-ci ont été stoppées en 2009, une période durant laquelle aucune entreprise publique n’a été cédée ni en totalité ni en partie.
Selon des responsables au ministère des Finances, l’année 2010 serait propice aux privatisations puisque les opportunités existent toujours et les signes de reprise sont perceptibles. De plus, le marché boursier de Casablanca a été à l’abri des grandes turbulences.
Au total, dix sociétés sont sur la liste des entreprises à privatiser. Certaines comme la Société des sels de Mohammédia (ndlr: des investisseurs ont déjà manifesté leur intérêt), la Société chérifienne des sels ou encore la Cotef, ont bouclé leur audit et évaluation. D’autres comme Sococharbo et Biopharma ou encore la Sonacos sont toujours en cours d’audit. Sur la liste des privatisables l’on retrouve aussi Maroc Telecom, dans laquelle l’Etat détient encore 30% du capital, et Marsa Maroc. La banque d’affaires sera connue d’ici la fin de l’année.
Généralement, le processus nécessite du temps, car, avant de procéder à toute opération de privatisation certaines procédures sont nécessaires. La première étape à franchir est le pré-transfert durant lequel l’audit et l’évaluation de la société sont menés. Le schéma de transfert et le prix minimum de cession sont fixés à ce moment. Vient par la suite l’étape du transfert proprement dit. Celui-ci s’opère via un appel d’offres ou via le marché financier à travers une offre publique de vente ou par une attribution directe. Tout dépend de l’entreprise. Dans le cas d’activités sensibles, l’Etat peut choisir de garder le contrôle et ouvrir une partie du capital seulement. Salaheddine Mezouar, ministre de l’Economie et des Finances, pencherait pour cette option.
L’opération de privatisation ne s’arrête pas au transfert, un suivi est réalisé sur une durée de 5 à 10 ans. Il permet de contrôler les engagements contractuels de l’acquéreur en matière notamment d’investissements et de sauvegarde de l’emploi.
Sur les 15 dernières années, soit depuis 1993, 47 sociétés et 26 établissements hôteliers ont été transférés au secteur privé et ce, à travers 107 opérations de privatisation. Ce qui a engendré une manne de plus de 87,6 milliards de dirhams. Le pic est enregistré en 2001 avec 23,3 milliards de dirhams. Ce qui correspond à la cession de 35% de Maroc Telecom à Vivendi Universal. Un deuxième pic est également constaté en 2003 avec des recettes qui ont totalisé 14,1 milliards de dirhams. A l’origine, la cession de 80% du capital de la Régie des Tabacs à Altadis.
Khadija MASMOUDI
adil79- Nombre de messages : 1634
Age : 45
Localisation : rabat
Date d'inscription : 17/03/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
Budget 2010
Capitaux mobiliers: Uniformisation de la taxation d’office
· Le taux passe à 20%
· De même pour les actions non cotées
· Ces mesures ne font pas l’unanimité
LE barème de l’IR (impôt sur le revenu) n’en finit pas de subir des réaménagements. Entre autres réaménagements en date, prévus dans la nouvelle loi de Finances, le seuil exonéré d’impôt en matière de profits de capitaux mobiliers, qui passe de 28.000 à 30.000 DH. Mais l’uniformisation de l’imposition en cas de taxation d’office en matière de profits de capitaux mobiliers, à un taux de 20% au lieu de 15, ne fait pas l’unanimité. Elle a même ravivé le débat sur les mesures fiscales relatives à la Bourse. De l’avis des professionnels du secteur financier, déjà lors de la loi de Finances 2008 (qui les avait introduites), ces mesures avaient déstabilisé le marché. Par-delà, «elles ont découragé les investisseurs, tant particuliers qu’institutionnels et porté un coup dur à la place financière casablancaise», renchérit ce chef d’entreprise cotée en Bourse, qui a requis l’anonymat. C’est dire tout le mal qu’a causé l’uniformisation du relèvement de l’impôt sur les plus-values de cessions d’actions (qui était de 15%) et de celui relatif aux OPCVM actions. Les réactions sont les mêmes concernant également la suppression des avantages fiscaux liés à la garde des titres, qui étaient accordés aux institutionnels, et de la mensualisation de la compensation des plus et moins-values boursières.
Le tollé était tel que dans le cadre de la loi de Finances 2009, certaines de ces mesures, jugées incohérentes par les spécialistes, ont été rectifiées par l’administration des Impôts. C’est le cas par exemple en ramenant l’impôt sur les fonds actions à 15% au lieu de 20% ou encore en accordant des avantages supplémentaires aux épargnants dans le sillage de la refonte du barème de l’IR. Notamment en relevant le seuil d’exonération des profits de cessions d’actions de 24.000 à 28.000 DH.
Cependant, le président de la Commission fiscale à la CGEM, Mohamed Hdid, lui, ne voit aucun inconvénient dans ces mesures. Au contraire, «la taxe d’office est une bonne chose, dans la mesure où elle permet à l’administration fiscale de minimiser la déperdition en termes de recouvrement d’impôts». Hdid ne s’en cache pas. Il aurait aimé voir le taux d’imposition sur la plus-value, porté à 100%.
A noter toutefois que la grosse nouveauté introduite par l’actuel projet de loi de Finances, en discussion, en matière d’IR, porte plutôt sur les actions non cotées. Elles ont vu leur taux de taxation passer de 15 à 20%.
Bachir THIAM
Capitaux mobiliers: Uniformisation de la taxation d’office
· Le taux passe à 20%
· De même pour les actions non cotées
· Ces mesures ne font pas l’unanimité
LE barème de l’IR (impôt sur le revenu) n’en finit pas de subir des réaménagements. Entre autres réaménagements en date, prévus dans la nouvelle loi de Finances, le seuil exonéré d’impôt en matière de profits de capitaux mobiliers, qui passe de 28.000 à 30.000 DH. Mais l’uniformisation de l’imposition en cas de taxation d’office en matière de profits de capitaux mobiliers, à un taux de 20% au lieu de 15, ne fait pas l’unanimité. Elle a même ravivé le débat sur les mesures fiscales relatives à la Bourse. De l’avis des professionnels du secteur financier, déjà lors de la loi de Finances 2008 (qui les avait introduites), ces mesures avaient déstabilisé le marché. Par-delà, «elles ont découragé les investisseurs, tant particuliers qu’institutionnels et porté un coup dur à la place financière casablancaise», renchérit ce chef d’entreprise cotée en Bourse, qui a requis l’anonymat. C’est dire tout le mal qu’a causé l’uniformisation du relèvement de l’impôt sur les plus-values de cessions d’actions (qui était de 15%) et de celui relatif aux OPCVM actions. Les réactions sont les mêmes concernant également la suppression des avantages fiscaux liés à la garde des titres, qui étaient accordés aux institutionnels, et de la mensualisation de la compensation des plus et moins-values boursières.
Le tollé était tel que dans le cadre de la loi de Finances 2009, certaines de ces mesures, jugées incohérentes par les spécialistes, ont été rectifiées par l’administration des Impôts. C’est le cas par exemple en ramenant l’impôt sur les fonds actions à 15% au lieu de 20% ou encore en accordant des avantages supplémentaires aux épargnants dans le sillage de la refonte du barème de l’IR. Notamment en relevant le seuil d’exonération des profits de cessions d’actions de 24.000 à 28.000 DH.
Cependant, le président de la Commission fiscale à la CGEM, Mohamed Hdid, lui, ne voit aucun inconvénient dans ces mesures. Au contraire, «la taxe d’office est une bonne chose, dans la mesure où elle permet à l’administration fiscale de minimiser la déperdition en termes de recouvrement d’impôts». Hdid ne s’en cache pas. Il aurait aimé voir le taux d’imposition sur la plus-value, porté à 100%.
A noter toutefois que la grosse nouveauté introduite par l’actuel projet de loi de Finances, en discussion, en matière d’IR, porte plutôt sur les actions non cotées. Elles ont vu leur taux de taxation passer de 15 à 20%.
Bachir THIAM
adil79- Nombre de messages : 1634
Age : 45
Localisation : rabat
Date d'inscription : 17/03/2009
adil79- Nombre de messages : 1634
Age : 45
Localisation : rabat
Date d'inscription : 17/03/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
adil79 a écrit:
...............
Cependant, le président de la Commission fiscale à la CGEM, Mohamed Hdid, lui, ne voit aucun inconvénient dans ces mesures. Au contraire, «la taxe d’office est une bonne chose, dans la mesure où elle permet à l’administration fiscale de minimiser la déperdition en termes de recouvrement d’impôts». Hdid ne s’en cache pas. Il aurait aimé voir le taux d’imposition sur la plus-value, porté à 100%.
ach kaygoul had bnadem ... il est fou ou koi !!! taxé à 100% il vient d'où ce
iwa safi on fait des plus value et on les donne à l'Etat sadaqqa
est ce que la CGEM est supposé défendre l'interet des entreprise ou celui de l'Etat !!!!
qu'est ce qu'on peut attendre de plus ... lakhlifa 3la lah
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
merrakchi a écrit:Cependant, le président de la Commission fiscale à la CGEM, Mohamed Hdid, lui, ne voit aucun inconvénient dans ces mesures. Au contraire, «la taxe d’office est une bonne chose, dans la mesure où elle permet à l’administration fiscale de minimiser la déperdition en termes de recouvrement d’impôts». Hdid ne s’en cache pas. Il aurait aimé voir le taux d’imposition sur la plus-value, porté à 100%.
ach kaygoul had bnadem ... il est fou ou koi !!! taxé à 100% il vient d'où ce
est ce que la CGEM est supposé défendre l'interet des entreprise ou celui de l'Etat !!!!
qu'est ce qu'on peut attendre de plus ... lakhlifa 3la lah
c'est claire, il faut lire 10% : une simple erreur de frappe
dans la presse ceux qui s'occupent de la vérif. d'orthographe ne sont pas en mesure de corriger la cohérence
wallaho a3lam
marzouk- Nombre de messages : 67
Age : 66
Localisation : ici
Date d'inscription : 01/05/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
merrakchi a écrit:adil79 a écrit:
...............
Cependant, le président de la Commission fiscale à la CGEM, Mohamed Hdid, lui, ne voit aucun inconvénient dans ces mesures. Au contraire, «la taxe d’office est une bonne chose, dans la mesure où elle permet à l’administration fiscale de minimiser la déperdition en termes de recouvrement d’impôts». Hdid ne s’en cache pas. Il aurait aimé voir le taux d’imposition sur la plus-value, porté à 100%.
ach kaygoul had bnadem ... il est fou ou koi !!! taxé à 100% il vient d'où ce
iwa safi on fait des plus value et on les donne à l'Etat sadaqqa
est ce que la CGEM est supposé défendre l'interet des entreprise ou celui de l'Etat !!!!
qu'est ce qu'on peut attendre de plus ... lakhlifa 3la lah
wallahi en lisant ça vous nous faites peur
est ce qu'il ne faut pas quitter cette bourse avant la fin de l'année ????
Mohamed amine- Nombre de messages : 338
Age : 59
Localisation : Rabat
Date d'inscription : 20/04/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
merrakchi a écrit:Cependant, le président de la Commission fiscale à la CGEM, Mohamed Hdid, lui, ne voit aucun inconvénient dans ces mesures. Au contraire, «la taxe d’office est une bonne chose, dans la mesure où elle permet à l’administration fiscale de minimiser la déperdition en termes de recouvrement d’impôts». Hdid ne s’en cache pas. Il aurait aimé voir le taux d’imposition sur la plus-value, porté à 100%.
ach kaygoul had bnadem ... il est fou ou koi !!! taxé à 100% il vient d'où ce
il n'est pas fou. il con et ignorant. ca montre aussi le niveau de nos patrons. effectivement, il a l'impression d'etre en avance et d,instaurer ce que d'autre pays pense mettre en place. en effet, on a lu dans des media que certains pays propose d'imposer a 100 % les plus value gagné par les traiders. et c'est de la ou vient la confusion; ce ne sont pas les plus value dégagées par les traders pour le compte de leurs clients mais c'est plutot la part du traders dans la plus value et qui constitue le fameux bonus. et ceci afin de limiter la speculation et la prise de risque qui engendre toutes ces montagnes russes qu'on voit dans les bourses. et notre patron des patrons n'y va pas par deux chemin il veut carrement fermer la bourse de casablanca.
mon dieu quel con et en plus a la presidence de la commission fiscale du CGEM.
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
abk a écrit:merrakchi a écrit:Cependant, le président de la Commission fiscale à la CGEM, Mohamed Hdid, lui, ne voit aucun inconvénient dans ces mesures. Au contraire, «la taxe d’office est une bonne chose, dans la mesure où elle permet à l’administration fiscale de minimiser la déperdition en termes de recouvrement d’impôts». Hdid ne s’en cache pas. Il aurait aimé voir le taux d’imposition sur la plus-value, porté à 100%.
ach kaygoul had bnadem ... il est fou ou koi !!! taxé à 100% il vient d'où ce
il n'est pas fou. il con et ignorant. ca montre aussi le niveau de nos patrons. effectivement, il a l'impression d'etre en avance et d,instaurer ce que d'autre pays pense mettre en place. en effet, on a lu dans des media que certains pays propose d'imposer a 100 % les plus value gagné par les traiders. et c'est de la ou vient la confusion; ce ne sont pas les plus value dégagées par les traders pour le compte de leurs clients mais c'est plutot la part du traders dans la plus value et qui constitue le fameux bonus. et ceci afin de limiter la speculation et la prise de risque qui engendre toutes ces montagnes russes qu'on voit dans les bourses. et notre patron des patrons n'y va pas par deux chemin il veut carrement fermer la bourse de casablanca.
mon dieu quel con et en plus a la presidence de la commission fiscale du CGEM.
tout à fait d'accorda avec toi mr Abk la taxation à 100% à laquelle ont pensé des pays concerne les bonus résultat des activités spéculatives des traders et encore une telle décision reste lettre sur papier si jamais les Etats pensent à son application on assistera à un exode des traders vers la chine.
il a dû faire trop d'effort le pauvre pour nous dénicher une telle idée de taxation à 100%.
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
j'ai envoyé un message a l'economiste pour verifiaction,. j'espere que d'autre le feront.
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
[quote="abk"][quote="Joha"][quote="adil79"][b]DES INVESTISSEMENTS SONT DÉJÀ LANCÉS ALORS QUE LE MARCHÉ STAGNE
Cimenteries : surcapacité
de 40%d’ici deux ans ![/b]
Mauvais temps pour le secteur du ciment. Un mois de septembre catastrophique et une
année 2009 qui se soldera, au plus, par une croissance de 1%. 2010 ne sera pas mieux
et, en 2011, on atteindra au plus 5% de hausse alors que les investissements d’extension
ou de nouvelles unités sont déjà engagés. Résultat : à fin 2011, la demande sera de 15 millions
de tonnes pour une capacité installée de 21 millions. Les cimenteries, qui ne sont rentables
qu’au-delà de 80% d’utilisation, tourneront, en moyenne, à 70%. Pour corser le tout,
les droits de douane sur les importations passeront à 0% en 2012...
lavieeco[/quote]
les investissements lancés par chaabi, doha et un autre à kénitra sont en stand by[/quote]
et dire que c'est de l'information. un journal qui ne verifie pas ses information,ou il manipule aussi ou il cherche a remplir ses page.[/quote]
le projet de SEFRIOUI à Tlat lawlad (près de Ben Ahmed) a déjà commencé, le prix du foncier en ce village a flambé, toutes les banques y sont installées. J'aurais dû y acheter un lot de terrain au lieu d'acheter HOL ou CMA.
Cimenteries : surcapacité
de 40%d’ici deux ans ![/b]
Mauvais temps pour le secteur du ciment. Un mois de septembre catastrophique et une
année 2009 qui se soldera, au plus, par une croissance de 1%. 2010 ne sera pas mieux
et, en 2011, on atteindra au plus 5% de hausse alors que les investissements d’extension
ou de nouvelles unités sont déjà engagés. Résultat : à fin 2011, la demande sera de 15 millions
de tonnes pour une capacité installée de 21 millions. Les cimenteries, qui ne sont rentables
qu’au-delà de 80% d’utilisation, tourneront, en moyenne, à 70%. Pour corser le tout,
les droits de douane sur les importations passeront à 0% en 2012...
lavieeco[/quote]
les investissements lancés par chaabi, doha et un autre à kénitra sont en stand by[/quote]
et dire que c'est de l'information. un journal qui ne verifie pas ses information,ou il manipule aussi ou il cherche a remplir ses page.[/quote]
le projet de SEFRIOUI à Tlat lawlad (près de Ben Ahmed) a déjà commencé, le prix du foncier en ce village a flambé, toutes les banques y sont installées. J'aurais dû y acheter un lot de terrain au lieu d'acheter HOL ou CMA.
AKEL- Nombre de messages : 42
Age : 57
Localisation : Ghisser
Date d'inscription : 21/04/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
wa malek sakram, +1 ssafiABOUAYOUB a écrit:fff a écrit:VENTRES .....el karchpedro0502 a écrit:OU BIEN DES ACHAT ENORMEfff a écrit:ça sent les gros ventres après les opérations sur ADI,ADH, MNG....
+1
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
je vois qu'on n'a pas encore de reponse definitive a la question que j'ai posé hier soir,il faut dire que l'aticle parle de cession et je n'ai pas trouve les motsPLUS VALUE
D'un autre coté,on m'a dit que lorsque on a fixé leS 15 % ,l'annee suivante devrait etre 20%
avec les miseres de la bourse c'est le coups de grace
D'un autre coté,on m'a dit que lorsque on a fixé leS 15 % ,l'annee suivante devrait etre 20%
avec les miseres de la bourse c'est le coups de grace
Azzam- Nombre de messages : 870
Age : 54
Localisation : Casa
Date d'inscription : 11/06/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
Azzam a écrit:je vois qu'on n'a pas encore de reponse definitive a la question que j'ai posé hier soir,il faut dire que l'aticle parle de cession et je n'ai pas trouve les motsPLUS VALUE
D'un autre coté,on m'a dit que lorsque on a fixé leS 15 % ,l'annee suivante devrait etre 20%
avec les miseres de la bourse c'est le coups de grace
rappeler nnous de quoi vous parliez hier?
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
fff a écrit:Azzam a écrit:je vois qu'on n'a pas encore de reponse definitive a la question que j'ai posé hier soir,il faut dire que l'aticle parle de cession et je n'ai pas trouve les motsPLUS VALUE
D'un autre coté,on m'a dit que lorsque on a fixé leS 15 % ,l'annee suivante devrait etre 20%
avec les miseres de la bourse c'est le coups de grace
rappeler nnous de quoi vous parliez hier?
bien enttendu je parlai de la taxe sur les plus value
Azzam- Nombre de messages : 870
Age : 54
Localisation : Casa
Date d'inscription : 11/06/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
Nouvelles technologies : Les fortes ambitions de Maroc numeric 2013 [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image] * Le Plan vise quatre priorités stratégiques : l’accessibilité de l’Internet haut débit, l’informatisation des entreprises, le renforcement du e-gov et le développement des filières locales des technologies de l’information. * Il prévoit 27 Mds de DH de valeur ajoutée et 25.000 emplois pour un investissement de 5,2 Mds de DH. * Création d’un fonds d’investissement dans les NTIC doté de 100.000 DH. L e Maroc a fait de grands pas en matière de société de l’information et d’économie numérique par rapport à des pays similaires, notamment au niveau de l’accès à Internet ou le développement de l’offshoring. Le Royaume veut consolider davantage ses réalisations et doper un secteur qui présente des atouts favorables pour le pays. A cet égard, le Maroc numérique a un autre plan ou une sorte de feuille de route avec des objectifs et un échéancier précis qui table sur l’augmentation de la valeur ajoutée du secteur en 2013 pour atteindre 2,7 Mds de DH et la création de plus de 25.000 emplois. Pour ce faire, 5,2 Mds de DH sont prévus pour la réalisation de cette vision. Outre l’Etat et les collectivités locales, le plan fait appel à un partenariat renforcé avec le privé. Au programme figure l’intégration de l’entreprise marocaine, notamment les PME, dans le monde du numérique. «Le Maroc numérique veut positionner le Royaume parmi les pays émergents dynamiques dans les Technologies de l'Information. Il s'agit de faire de celles-ci un des piliers de l'économie, une source de valeur ajoutée pour les autres secteurs économiques et pour l'Administration publique ainsi qu'un vecteur de développement humain, dans la perspective de positionner le Maroc en hub technologique régional», a indiqué Ahmed Réda Chami, ministre du Commerce, de l’Industrie et des Nouvelles Technologies. Le Plan vise quatre priorités stratégiques : l’accessibilité à l’Internet haut débit, l’informatisation des entreprises, le renforcement du e-gov et le développement des filières locales des technologies de l’information. Pour ce faire, quatre conventions ont été signées récemment en présence du Souverain entre le gouvernement, les banques et des acteurs institutionnels. Pour rendre l’Internet accessible aux citoyens, plusieurs mesures sont prises comme des prix incitatifs pour certaines catégories de la population. Pour les étudiants, surtout les ingénieurs et assimilés, l’Etat prendra en charge 85% du prix d’un pc portable et l’accès à l’Internet. L’étudiant ne payera en fin de compte que 650 DH. 80.000 étudiants sont visés. L’opération va concerner, dans sa première année universitaire 2009-2010, 18.000 bénéficiaires. L’opération Nafida destinée au corp enseignant a connu un immense succès. «Nafida avait ciblé dans un premier temps 50.000 enseignants et elle touche actuellement plus de 150.000», a souligné Chami. En matière de e-gov, le Maroc reste à la traîne : «Notre pays est classé par l’ONU à la 140ème place sur un total de 192, mais nous nous efforçons d’améliorer notre positionnement», a expliqué Chami lors d’un point de presse à l’issue du lancement du plan numérique. «La compétition avec les autres pays qui sont eux aussi dans la course, ne sera pas facile, reconnaît-il, mais le Maroc a toutes les conditions requises pour réussir un tel défi». Le e-gov est déjà en marche à travers certains services publics comme les déclarations pour le paiement d’impôts et au niveau des opérations avec la Sécurité sociale. Dans ce cadre, 89 services publics ont été identifiés sur lesquels devrait travailler le programme. «La mise en place des 89 projets et services e-gov permettra d'atteindre un indice e-gov Onu de 0,8 à l'horizon 2013 contre 0,2 en 2008», a rapporté Chami La troisième convention signée dans le cadre du plan numérique appelé «plan impact» a pour objectif la création de 400 centres d’accès communautaires surtout dans les régions enclavées. Pour la période 2009-2010, 100 centres seront créés. La quatrième convention est dédiée à l’entreprise, elle prévoit la création d’un fonds d’amorçage public-privé. Doté de 100 MDH, ce fonds qui a vu la contribution de l’Etat de la CDG, de la BCP, d’Attijariwafa bank et de BMCE Bank avec un apport de 2 Mds de DH chacun, vise à développer des projets technologiques innovants au Maroc. «C’est très difficile de créer des géants comme Airbus, vu le niveau capitalistique et logistique élevé mais c’est possible de créer des géants comme Google ou Skype», a lancé Chami. Il a révélé que «la nouvelle stratégie mettra en place une subvention à destination des PME, laquelle peut atteindre 60% de l’investissement pour les inciter à intégrer la société de l’information». Mohamed Horani a soutenu l’initiative en mettant en exergue le rôle des PME dans l’économie nationale. Pour sa part, Mohamed Lakhlifi, président de l’Association professionnelle des technologies de l’information (APEBI), a salué la stratégie. «Ce plan va donner une nouvelle impulsion au secteur des nouvelles technologies. Il permettra la création d’emplois et la mise à niveau des PME». En matière d’organisation, Chami a soulevé la question du renforcement du cadre juridique et des mesures d’accompagnement pour la réussite de Maroc numeric. C. J. | |
15-10-2009 | |
adil79- Nombre de messages : 1634
Age : 45
Localisation : rabat
Date d'inscription : 17/03/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
on dit que ça reste inchangé à 15%, après un malentendu de lecture:Azzam a écrit:fff a écrit:Azzam a écrit:je vois qu'on n'a pas encore de reponse definitive a la question que j'ai posé hier soir,il faut dire que l'aticle parle de cession et je n'ai pas trouve les motsPLUS VALUE
D'un autre coté,on m'a dit que lorsque on a fixé leS 15 % ,l'annee suivante devrait etre 20%
avec les miseres de la bourse c'est le coups de grace
rappeler nnous de quoi vous parliez hier?
bien enttendu je parlai de la taxe sur les plus value
: Le gouvernement maintient ses promesses
La réforme de l’impôt sur le revenu avec un réaménagement du barème sera poursuivie. Ainsi, le seuil exonéré passe de 28.000 à 30.000 DH. Le plafond déductible au titre des frais professionnels atteint 30.000 DH contre 28.000 actuellement, avec le maintien du taux de 20%. Ainsi, le nouveau barème modifie les tranches intermédiaires et les taux correspondants tout en réduisant le taux marginal d’imposition de 40% à 38% applicables aux tranches supérieures à 180.000 DH (voir tableau ci-contre).
En outre, le seuil exonéré en matière de profits de capitaux mobiliers sera relevé : 28.000 à 30.000 DH. Toujours sur le chapitre de l’IR, il est proposé d’appliquer le taux de 20% au lieu de 18% aux revenus des administrateurs des banques offshore et des salariés des banques offshore et des sociétés holding offshore. Ce même taux sera également applicable au personnel salarié résidant au Maroc au titre desdits revenus à condition qu’il justifie la contrepartie de sa rémunération en monnaie étrangère convertible et cédée à une banque marocaine.
En outre, l’Administration fiscale exigera des employeurs qui accordent des stock-options ou qui distribuent des actions gratuites à leurs salariés et dirigeants d’annexer à la déclaration des traitements et salaires un état mentionnant les titres acquis et/ou distribués gratuitement, les dates d’attribution, leur prix d’acquisition et le montant de l’abondement pour chacun des bénéficiaires.
Cette déclaration doit être accompagnée également d’un état comportant les indications lorsqu’il s’agit de plans d’option de souscription ou d’achat d’actions ou de distribution d’actions gratuites attribuées à leurs salariés et dirigeants par d’autres sociétés résidentes au Maroc ou non. Le projet introduit également l’uniformisation de l’imposition en cas de taxation d’office en matière de profits de capitaux mobiliers. L’imposition de 20% du prix de cession sera retenue.
sources : [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
Budget 2010
Toujours trop de niches fiscales!
· 28,7 milliards de DH pour cette année
· L’immobilier toujours en tête
· La TVA concentre le plus gros des dérogations
Le poids des dérogations fiscales grossit d’année en année. Pour 2009, la direction générale des Impôts a évalué le montant de ces exonérations fiscales à 28,734 milliards de DH contre 26,9 milliards l’année dernière. Cette enveloppe, qui représente 3,9% du PIB, part chaque année en fumée. Dans les recettes fiscales, la part de ces dépenses représente 16,3% contre 14,7% en 2008. Le travail fait par les services de Noureddine Bensouda depuis près de quatre ans a réduit de 64 le nombre de mesures dérogatoires. L’impact de cet élargissement de l’assiette fiscale est estimé à 6,570 milliards de DH. Et beaucoup reste à faire.
Il est incontestable que le système fiscal est marqué par une multitude d’exonérations, totales (50%) ou partielles, des réductions, des abattements ou taux préférentiels, de taxation forfaitaire et de facilités de trésorerie. Ces dérogations sont plus connues sous le nom générique de «dépenses fiscales» parce que leur «effet sur le budget général de l’Etat est comparable à celui des dépenses publiques». Pour ses auteurs, «connaître le coût budgétaire des dépenses fiscales devient nécessaire pour une meilleure transparence du budget et pour une grande rationalisation en matière d’allocation des ressources».
L’évaluation par secteur d’activité fait ressortir la prédominance des dérogations au profit des activités immobilières (voir le tableau ci-contre). Les 38 mesures évaluées représentent 14,2% des dépenses fiscales. Elles totalisent près de 4,1 milliards de DH cette année contre 4,5 milliards en 2008, soit une baisse de 10%. Il est à rappeler que l’essentiel de ces dépenses concerne les conventions conclues avec l’Etat pour l’exonération de tous impôts et taxes au profit des programmes de logements sociaux en cours. Ces exonérations s’élèvent à 1,19 milliard de DH dont 699 millions pour la TVA et 488 millions pour l’IS.
L’agriculture et la pêche arrivent en deuxième position avec 13,2% des dépenses fiscales. Les 21 mesures évaluées génèrent 3,8 milliards de DH. L’énergie (4e position précédée par la prévoyance sociale) n’est pas en reste puisque les dépenses fiscales consenties ont atteint 2,64 milliards de DH, soit 9,2% de l’ensemble des dépenses fiscales. Le plus gros provient de la TVA pour 2,12 milliards de DH. Les mesures additionnelles en faveur des entreprises exportatrices totalisent 2,353 milliards de DH dont 1,896 concernent l’IS.
Le transport bénéficie de 20 mesures dérogatoires. Les 13 mesures évaluées dans ce secteur représentent 1,259 milliard de DH. Une part importante provient de la TIC (956 millions de DH). 178 millions de DH sont au titre du taux de la TVA de 14%. De son côté, le tourisme a bénéficié de 433 millions de DH d’exonérations qui proviennent de la réduction de 50% sur les bénéfices au prorata du chiffre d’affaires en devises des entreprises hôtelières. Les régions ont également des régimes fiscaux préférentiels qui atteignent 875 millions de DH en 2009. En grande partie, ces dépenses concernent la zone franche de Tanger avec 459 millions de DH pour l’IS et 55 millions pour l’IR.
Par type d’impôt, c’est la TVA qui arrive en tête avec 49,7% avec 14,272 milliards de DH. Elle est suivie par l’IS dont le montant des dépenses fiscales est estimé à 4,822 milliards de DH. La plupart de ces dépenses bénéficient aux entreprises (4,7 milliards de DH dont 1,896 concerne les exportateurs). L’impôt sur le revenu totalise 3,439 milliards de DH dont 1,691 en faveur des ménages. Quant aux droits d’enregistrement et de timbre, les exonérations atteignent 3,470 milliards de DH. Elles portent sur les activités immobilières pour 1,885 milliard. Loin derrière, la TIC pour 1,5 milliard de DH et les droits de douane pour 1,3 milliard.
Il est à préciser que pour 2009, le nombre des exonérations totales recensées représente 63% des dérogations, suivi des réductions (17%) et des déductions (11%). Les mesures fiscales dérogatoires liées aux impôts indirects représentent 60% du total dont 33% pour la TVA, 24% pour les droits d’enregistrement et de timbre et 3% pour la TIC et les droits de douane. Quant aux impôts directs, ils représentent 40% de mesures incitatives dont 22% au titre de l’IS et 19% pour l’IR.
Le rapport sur les dépenses fiscales présente une ventilation des mesures selon les objectifs. Ainsi, c’est la promotion de l’économie sociale qui absorbe 10,4% des mesures. Elle est suivie par la facilitation de l’accès au logement (8,7%), le soutien au pouvoir d’achat (7,4%), le développement du secteur agricole (7,1%) et l’allègement du coût de la santé (7,1%). Viennent après notamment la mobilisation de l’épargne intérieure (6,6%), l’encouragement des exportations et la réduction des coûts des facteurs. La culture et loisirs arrivent derrière avec à peine 3,6%.
--------------------------------------------------------------------------------
l economiste
Toujours trop de niches fiscales!
· 28,7 milliards de DH pour cette année
· L’immobilier toujours en tête
· La TVA concentre le plus gros des dérogations
Le poids des dérogations fiscales grossit d’année en année. Pour 2009, la direction générale des Impôts a évalué le montant de ces exonérations fiscales à 28,734 milliards de DH contre 26,9 milliards l’année dernière. Cette enveloppe, qui représente 3,9% du PIB, part chaque année en fumée. Dans les recettes fiscales, la part de ces dépenses représente 16,3% contre 14,7% en 2008. Le travail fait par les services de Noureddine Bensouda depuis près de quatre ans a réduit de 64 le nombre de mesures dérogatoires. L’impact de cet élargissement de l’assiette fiscale est estimé à 6,570 milliards de DH. Et beaucoup reste à faire.
Il est incontestable que le système fiscal est marqué par une multitude d’exonérations, totales (50%) ou partielles, des réductions, des abattements ou taux préférentiels, de taxation forfaitaire et de facilités de trésorerie. Ces dérogations sont plus connues sous le nom générique de «dépenses fiscales» parce que leur «effet sur le budget général de l’Etat est comparable à celui des dépenses publiques». Pour ses auteurs, «connaître le coût budgétaire des dépenses fiscales devient nécessaire pour une meilleure transparence du budget et pour une grande rationalisation en matière d’allocation des ressources».
L’évaluation par secteur d’activité fait ressortir la prédominance des dérogations au profit des activités immobilières (voir le tableau ci-contre). Les 38 mesures évaluées représentent 14,2% des dépenses fiscales. Elles totalisent près de 4,1 milliards de DH cette année contre 4,5 milliards en 2008, soit une baisse de 10%. Il est à rappeler que l’essentiel de ces dépenses concerne les conventions conclues avec l’Etat pour l’exonération de tous impôts et taxes au profit des programmes de logements sociaux en cours. Ces exonérations s’élèvent à 1,19 milliard de DH dont 699 millions pour la TVA et 488 millions pour l’IS.
L’agriculture et la pêche arrivent en deuxième position avec 13,2% des dépenses fiscales. Les 21 mesures évaluées génèrent 3,8 milliards de DH. L’énergie (4e position précédée par la prévoyance sociale) n’est pas en reste puisque les dépenses fiscales consenties ont atteint 2,64 milliards de DH, soit 9,2% de l’ensemble des dépenses fiscales. Le plus gros provient de la TVA pour 2,12 milliards de DH. Les mesures additionnelles en faveur des entreprises exportatrices totalisent 2,353 milliards de DH dont 1,896 concernent l’IS.
Le transport bénéficie de 20 mesures dérogatoires. Les 13 mesures évaluées dans ce secteur représentent 1,259 milliard de DH. Une part importante provient de la TIC (956 millions de DH). 178 millions de DH sont au titre du taux de la TVA de 14%. De son côté, le tourisme a bénéficié de 433 millions de DH d’exonérations qui proviennent de la réduction de 50% sur les bénéfices au prorata du chiffre d’affaires en devises des entreprises hôtelières. Les régions ont également des régimes fiscaux préférentiels qui atteignent 875 millions de DH en 2009. En grande partie, ces dépenses concernent la zone franche de Tanger avec 459 millions de DH pour l’IS et 55 millions pour l’IR.
Par type d’impôt, c’est la TVA qui arrive en tête avec 49,7% avec 14,272 milliards de DH. Elle est suivie par l’IS dont le montant des dépenses fiscales est estimé à 4,822 milliards de DH. La plupart de ces dépenses bénéficient aux entreprises (4,7 milliards de DH dont 1,896 concerne les exportateurs). L’impôt sur le revenu totalise 3,439 milliards de DH dont 1,691 en faveur des ménages. Quant aux droits d’enregistrement et de timbre, les exonérations atteignent 3,470 milliards de DH. Elles portent sur les activités immobilières pour 1,885 milliard. Loin derrière, la TIC pour 1,5 milliard de DH et les droits de douane pour 1,3 milliard.
Il est à préciser que pour 2009, le nombre des exonérations totales recensées représente 63% des dérogations, suivi des réductions (17%) et des déductions (11%). Les mesures fiscales dérogatoires liées aux impôts indirects représentent 60% du total dont 33% pour la TVA, 24% pour les droits d’enregistrement et de timbre et 3% pour la TIC et les droits de douane. Quant aux impôts directs, ils représentent 40% de mesures incitatives dont 22% au titre de l’IS et 19% pour l’IR.
Le rapport sur les dépenses fiscales présente une ventilation des mesures selon les objectifs. Ainsi, c’est la promotion de l’économie sociale qui absorbe 10,4% des mesures. Elle est suivie par la facilitation de l’accès au logement (8,7%), le soutien au pouvoir d’achat (7,4%), le développement du secteur agricole (7,1%) et l’allègement du coût de la santé (7,1%). Viennent après notamment la mobilisation de l’épargne intérieure (6,6%), l’encouragement des exportations et la réduction des coûts des facteurs. La culture et loisirs arrivent derrière avec à peine 3,6%.
--------------------------------------------------------------------------------
l economiste
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
Mohamed amine a écrit:merrakchi a écrit:adil79 a écrit:
...............
Cependant, le président de la Commission fiscale à la CGEM, Mohamed Hdid, lui, ne voit aucun inconvénient dans ces mesures. Au contraire, «la taxe d’office est une bonne chose, dans la mesure où elle permet à l’administration fiscale de minimiser la déperdition en termes de recouvrement d’impôts». Hdid ne s’en cache pas. Il aurait aimé voir le taux d’imposition sur la plus-value, porté à 100%.
ach kaygoul had bnadem ... il est fou ou koi !!! taxé à 100% il vient d'où ce
iwa safi on fait des plus value et on les donne à l'Etat sadaqqa
est ce que la CGEM est supposé défendre l'interet des entreprise ou celui de l'Etat !!!!
qu'est ce qu'on peut attendre de plus ... lakhlifa 3la lah
wallahi en lisant ça vous nous faites peur
est ce qu'il ne faut pas quitter cette bourse avant la fin de l'année ????
les temps sont durs et pourtant quilque entrprises ce portent bien
on peut que rester de marbre
soit on rentre de le jeu soit on laisse.
a vous de voire
haakoo- Nombre de messages : 231
Age : 51
Localisation : casablanca
Date d'inscription : 05/02/2009
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
Conjoncture: Les premiers signes de reprise
• Légère amélioration du déficit commercial
• Fin 2009, le secteur agricole devrait soutenir la croissance à hauteur de 24%
Regain doptimisme pour léconomie mondiale et nationale. Pour la première fois en un an, le FMI a revu ses prévisions à la hausse en ce mois doctobre. Linstitution financière internationale table toujours sur un repli de léconomie internationale denviron 1,1% pour lannée 2009, contre 1,4% en 2008. Pour 2010, le FMI nannonce pas la fin de la crise économique, mais confirme les signes dune reprise globale et prévoit un PIB mondial de 3,1% contre 2,5% en juillet. Quant à léconomie marocaine, selon la dernière note de conjoncture du département des Finances, les effets de la crise internationale sy sont fait sentir de deux manières. Il y a dabord la diminution des exportations en volume du fait de la baisse de la demande mondiale. Les phosphates et dérivés sont passés par là. Le deuxième vecteur lié à la crise internationale sest traduit par une baisse des ressources provenant de létranger. Cest le cas notamment des recettes touristiques, des transferts des MRE et des investissements (IDE) et autres prêts privés étrangers, qui ont accusé des baisses respectives de 4,1 milliards de DH (9,9%), de 4,2 milliards de DH (11,1%) et de 8,5 milliards (36%) sur les 8 premiers mois de 2009.
Cependant, à la fin du premier trimestre, des signes encourageants de reprise sont apparus. En témoigne latténuation du rythme de baisse des indicateurs de lensemble des secteurs exposés: recettes touristiques (-9,9% au lieu de -21%), transferts des MRE (11,1% au lieu de -14,3%). Plus encore, le rythme de baisse des exportations des phosphates a également ralenti, passant de 24 à 18% à fin août.
Quant aux prévisions pour fin 2009, le secteur agricole devrait soutenir la croissance nationale avec près de 24%.
Selon les statistiques du ministère de lAgriculture, la production céréalière a atteint un record historique de 102 millions de quintaux, dont 45 millions de blé tendre. A fin août, la collecte des céréales, globalement constituées de blé tendre, sest établie à 19,8 millions de quintaux, en hausse de 94% par rapport à la campagne précédente et de 61% par rapport à la moyenne quinquennale (2004-2008). Le secteur agricole devrait également bénéficier, au cours des prochaines années, de la constitution dimportantes réserves hydriques, qui seraient de lordre de 11,4 milliards de m3 contre 6 milliards à la même date de lannée précédente. Le taux de remplissage des barrages atteint 73% au lieu de 38,8% à la même période de lan dernier.
Pour sa part, la pêche, qui a repris depuis le mois davril, a clôturé les huit premiers mois de 2009 sur une progression du volume des débarquements de 16,8% par rapport à fin août 2008. Mais sur le plan de la valeur des captures de la pêche côtière, celle-ci sest dépréciée de 11,5% sous leffet notamment du fléchissement de 41% des recettes générées par la vente du poulpe.
Sagissant des exportations des produits de la mer au terme des huit premiers mois, elles ont affiché une baisse de 1,7 milliard de DH (-19%). Quant aux secteurs non agricoles, lactivité à lexport du groupe OCP a généré, au terme des huit premiers mois, un chiffre daffaires de 13,3 milliards de DH contre 37,7 milliards à fin août 2008, date à laquelle les cours avaient atteint des records historiques. Pour sa part, la consommation de lénergie électrique a connu, à fin août, une hausse de 2,7% par rapport à la même période de lannée précédente. Cette évolution concerne laugmentation de 6,2% de la production de lONE (30% de lénergie consommée) et de 2,1% de la production concessionnelle (52% de lénergie consommée).
Par ailleurs, la production hydraulique a enregistré une forte hausse de 150%. Elle avoisine la quantité produite au niveau thermique, qui représente la première source et ce, grâce à labondance des précipitations.
Au niveau du BTP, les ventes du ciment à fin août dernier ont enregistré une hausse de 2% par rapport à la même période en 2008. Le retard observé en début dannée a été compensé par les ventes cumulées sur les huit premiers mois, qui sont en progression de 1,1% par rapport à la même période de lannée 2008.
Dans un contexte caractérisé par une faible demande étrangère, le déficit commercial na connu quune légère amélioration. Ainsi, au terme des huit premiers mois, la balance commerciale sest soldée par un déficit de 96 milliards de DH contre 108,9 milliards à la même période de 2008 (soit une amélioration de 12,8 milliards de DH). Cette situation, marquée par la dégradation de 6,9% du taux de couverture, passant de 50,9 à 44,1%, résulte des fortes baisses enregistrées à la fois au niveau des importations (-22,6%) et des exportations (-33%).
La nette dégradation des exportations sexplique aussi par la baisse du chiffre daffaires de lOCP de 24,4 milliards de DH et le recul des exportations hors OCP (de lordre de 12,9 milliards de DH).
Hassan EL ARIF
• Légère amélioration du déficit commercial
• Fin 2009, le secteur agricole devrait soutenir la croissance à hauteur de 24%
Regain doptimisme pour léconomie mondiale et nationale. Pour la première fois en un an, le FMI a revu ses prévisions à la hausse en ce mois doctobre. Linstitution financière internationale table toujours sur un repli de léconomie internationale denviron 1,1% pour lannée 2009, contre 1,4% en 2008. Pour 2010, le FMI nannonce pas la fin de la crise économique, mais confirme les signes dune reprise globale et prévoit un PIB mondial de 3,1% contre 2,5% en juillet. Quant à léconomie marocaine, selon la dernière note de conjoncture du département des Finances, les effets de la crise internationale sy sont fait sentir de deux manières. Il y a dabord la diminution des exportations en volume du fait de la baisse de la demande mondiale. Les phosphates et dérivés sont passés par là. Le deuxième vecteur lié à la crise internationale sest traduit par une baisse des ressources provenant de létranger. Cest le cas notamment des recettes touristiques, des transferts des MRE et des investissements (IDE) et autres prêts privés étrangers, qui ont accusé des baisses respectives de 4,1 milliards de DH (9,9%), de 4,2 milliards de DH (11,1%) et de 8,5 milliards (36%) sur les 8 premiers mois de 2009.
Cependant, à la fin du premier trimestre, des signes encourageants de reprise sont apparus. En témoigne latténuation du rythme de baisse des indicateurs de lensemble des secteurs exposés: recettes touristiques (-9,9% au lieu de -21%), transferts des MRE (11,1% au lieu de -14,3%). Plus encore, le rythme de baisse des exportations des phosphates a également ralenti, passant de 24 à 18% à fin août.
Quant aux prévisions pour fin 2009, le secteur agricole devrait soutenir la croissance nationale avec près de 24%.
Selon les statistiques du ministère de lAgriculture, la production céréalière a atteint un record historique de 102 millions de quintaux, dont 45 millions de blé tendre. A fin août, la collecte des céréales, globalement constituées de blé tendre, sest établie à 19,8 millions de quintaux, en hausse de 94% par rapport à la campagne précédente et de 61% par rapport à la moyenne quinquennale (2004-2008). Le secteur agricole devrait également bénéficier, au cours des prochaines années, de la constitution dimportantes réserves hydriques, qui seraient de lordre de 11,4 milliards de m3 contre 6 milliards à la même date de lannée précédente. Le taux de remplissage des barrages atteint 73% au lieu de 38,8% à la même période de lan dernier.
Pour sa part, la pêche, qui a repris depuis le mois davril, a clôturé les huit premiers mois de 2009 sur une progression du volume des débarquements de 16,8% par rapport à fin août 2008. Mais sur le plan de la valeur des captures de la pêche côtière, celle-ci sest dépréciée de 11,5% sous leffet notamment du fléchissement de 41% des recettes générées par la vente du poulpe.
Sagissant des exportations des produits de la mer au terme des huit premiers mois, elles ont affiché une baisse de 1,7 milliard de DH (-19%). Quant aux secteurs non agricoles, lactivité à lexport du groupe OCP a généré, au terme des huit premiers mois, un chiffre daffaires de 13,3 milliards de DH contre 37,7 milliards à fin août 2008, date à laquelle les cours avaient atteint des records historiques. Pour sa part, la consommation de lénergie électrique a connu, à fin août, une hausse de 2,7% par rapport à la même période de lannée précédente. Cette évolution concerne laugmentation de 6,2% de la production de lONE (30% de lénergie consommée) et de 2,1% de la production concessionnelle (52% de lénergie consommée).
Par ailleurs, la production hydraulique a enregistré une forte hausse de 150%. Elle avoisine la quantité produite au niveau thermique, qui représente la première source et ce, grâce à labondance des précipitations.
Au niveau du BTP, les ventes du ciment à fin août dernier ont enregistré une hausse de 2% par rapport à la même période en 2008. Le retard observé en début dannée a été compensé par les ventes cumulées sur les huit premiers mois, qui sont en progression de 1,1% par rapport à la même période de lannée 2008.
Dans un contexte caractérisé par une faible demande étrangère, le déficit commercial na connu quune légère amélioration. Ainsi, au terme des huit premiers mois, la balance commerciale sest soldée par un déficit de 96 milliards de DH contre 108,9 milliards à la même période de 2008 (soit une amélioration de 12,8 milliards de DH). Cette situation, marquée par la dégradation de 6,9% du taux de couverture, passant de 50,9 à 44,1%, résulte des fortes baisses enregistrées à la fois au niveau des importations (-22,6%) et des exportations (-33%).
La nette dégradation des exportations sexplique aussi par la baisse du chiffre daffaires de lOCP de 24,4 milliards de DH et le recul des exportations hors OCP (de lordre de 12,9 milliards de DH).
Hassan EL ARIF
Invité- Invité
Re: Vendredi 161009, journée d'espoir
j ai consulté le site des finances mais le projet de la loi de finances est intelechargable, y a k les photos de mezouar
Invité- Invité
Page 5 sur 7 • 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7
Sujets similaires
» vendredi 20/ 06 / 2014 journée de vérité
» VENDREDI 19112010, UNE JOURNEE QUI NE COMPTE PAS ?
» [résolu]vendredi 17 février 2012 journée minoucha
» Journee vendredi 11/09/09 Douja le jugement de plus en plus proche
» VENDREDI 24092010,Journée noire pour les baissiers (Sad & Co)
» VENDREDI 19112010, UNE JOURNEE QUI NE COMPTE PAS ?
» [résolu]vendredi 17 février 2012 journée minoucha
» Journee vendredi 11/09/09 Douja le jugement de plus en plus proche
» VENDREDI 24092010,Journée noire pour les baissiers (Sad & Co)
Club privé de la Bourse de Casablanca - Forum By Moulchkara :: Espace opportunistes et spéculateurs (DAY & SWING TRADERS) :: Séances boursières quotidiennes
Page 5 sur 7
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum