MARDI 14 AVRIL 2009,LES BAISSIERS N'ONT PLUS LE JUS !!

Rappel du premier message :

Bismillah ,

Un volume qui ne dépasse guère les 10% de la moyenne quotidienne est en général un bon signe( sauf pour les SDB) , qui indique le tarissement des vendeurs pour une raison ou une autre.
Force est de constater que les ATP n'ont pas inondé les co, et encore que les vendeurs ont crampé sur leur positions.Sans doute auront -ils compris enfin que cela ne mène nulle part.
Appremment les braderies d'antan sont finies, il faudra casquer pour avoir ce qu'on veut et nous sommes vraiment loin de la catastrophe du début de l'année.
Les amateurs de la baisse n'ont pas été servis et la plupart des valeurs ont suffisamment consolidé leur baisse a tel point qu'il serait irrationnel d'oser imaginer aller plus bas.
Verront nous la fin du plan C ?
Cette journée sera très probablement la journée décisive pour le savoir,sauf coup fourré de ADH.
C'est ce que je souhaite en tous cas, même s'il est difficile de croire aux miracles.
allaho aâlam.

Bonne journée et bonne séance à tous et à toutes.

· Marjane: Pas d’IPO à l’ordre du jour

Bien qu’elle soit prête, l’entrée en Bourse de la filiale GMS du groupe ONA n’est pas à l’ordre du jour. Au niveau de la qualité des services, un visiteur mystère est délégué une fois par mois sur les différentes surfaces. Selon Tajeddine Guennouni, PDG de Marjane-Acima, les indicateurs ainsi vérifiés montrent que la qualité s’améliore.

· Wafa Assurances et Wafassurances

Wafassurances, société algérienne de courtage, qui vient d’être agréée par le ministère algérien des Finances, n’est liée d’aucune manière à la compagnie marocaine Wafa Assurances.
L’information rapportée par Rabah Boucebha, numéro 2 de l’Union maghrébine des entreprises (UME), est donc sans fondement (cf. L’Economiste du 8 avril 2009).

Addoha : Des guichets uniques pratiques !


Des milliers de dossiers sont traités annuellement au niveau des guichets uniques de Douja Promotion Groupe Addoha.

L’opérateur national dans le domaine de l’immobilier avait lancé cette expérience inédite en 2004 à Casablanca pour assister les acquéreurs de logement dans toutes leurs démarches administratives. Une expérience que le groupe a généralisée aux principales villes où il a des projets. Avec son premier guichet unique qui réunissait sur place une agence commerciale accueillant les clients, le groupe a développé un véritable concept qui porte aujourd’hui ses fruits. Sur place, le client est pris en charge par des commerciaux qui lui exposent l’offre immobilière et l’aident dans le choix de son logement. Une fois le choix effectué, le client réserve le bien en versant une avance. Les commerciaux prennent la relève en instruisant le dossier et le soumettant à l’une des agences bancaires partenaires. Une fois le logement prêt et le crédit débloqué, le client signe son acte d’achat sur place, assisté par l’un des notaires présent en permanence au niveau du guichet. L’enregistrement et la conservation foncière se font sur place et un bureau après-vente est également prévu de même qu’une représentation de Lydec, pour l’établissement et la signature d’un contrat d’abonnement eau et électricité. L’objectif premier de cette démarche est d’assister le client et lui faciliter l’opération d’acquisition d’un logement aux moindres frais administratifs, tout en lui faisant gagner du temps et lui épargner des contraintes inutiles.

Statuts / La BVC cherche une nouvelle formule


Les changements de structure ou de statut à la Bourse de Casablanca devraient encore se poursuivre. Après le passage de la formule SA avec Conseil de surveillance et Directoire à la formule classique (Conseil d’Administration et Directeur général), la BVC devrait résoudre le problème de représentativité.

Du fait que les actionnaires sont composés des sociétés de Bourse au nombre de 12, soit le maximum autorisé par la loi. Alors que le nombre de sociétés opérant sur le marché est de 17. Pour Aomar Ydar, président du Conseil d’Administration de la Bourse, «plusieurs formules sont à l’étude. Nous menons plusieurs réflexions en concertation avec les autorités de tutelle et les opérateurs du marché». L’hypothèse de l’entrée dans le tour de table d’institutionnels est fort probable. Dans ce cadre, la formule la plus préconisée est la formation de collèges d’actionnaires tout en préservant l’équité en matière de participation. D’autres formules qui ont fait leurs preuves dans d’autres places financières sont également sur la table.

Attijariwafa Bank a publié un résultat net consolidé part du groupe de 3,12 MrdDH à fin 2008, en progression de +27,0% par rapport à fin 2007.

Nous avons revu à la hausse notre estimation de résultat net 2009 à 3,50 MrdDH (en hausse de +12,3% par rapport à 2008) suite essentiellement à notre surestimation du coût du risque.

Nous retenons les méthodes d'évaluation par le P/E d'équilibre et le P/B d’équilibre et valorisons Attijariwafa bank dans une fourchette entre 260 DH et 290 DH. NOUS RECOMMANDONS DE CONSERVER LE TITRE ATTIJARIWAFA BANK. Cette recommandation est appuyée par les éléments suivants :
- La croissance attendue du PNB grâce à un renforcement de la part des commissions et une bonne tenue de la marge d’intérêt - Le développement de synergies internes avec les filiales para-bancaires - Une contribution importante des filiales au Maghreb et en Afrique Subsaharienne aux résultats de la banque.

Nous modulons toutefois cette recommandation en fonction de l’évolution du cours en bourse : Acheter si le cours est inférieur à 260 DH, Conserver si le cours est compris entre 260 et 290 DH, Vendre si le cours est supérieur à 290 DH.

Dar Tawfir